LE TEMPS N’A PAS D’IMPORTANCE
Qu’importe les jours, les années,
Qui nous regarde avoir nos premières rides,
Toi, mon bel amour,
Que les humeurs changent au grès des heures.
Le temps s’arrange de ma patience,
Tu as su me tempérer, comme le sont les tropiques,
Toutes ces îles où, je voudrai m’envoler.
Pourquoi se déchirer pour des petits riens,
Qui n’ont d’importance qu’à tes yeux,
Je ne peux que te pardonner.
Cependant tombent les larmes,
Laissant quelques écorchures,
Comme un enfant, qui tombe sur les cailloux,
Quand il apprend à marcher,
Il reste quelques égratignures.
Aimer jusqu’à oublier,
Le mal que l’on se fait, souvent à tort,
Et ne plus compter qu’à travers l’autre,
C’est peut être, cela l’amour !
Me perdre dans tes yeux verts,
Comme la mer, lorsqu’elle est en colère,
Aimer jusqu’au silence,
Rien que le souffle rapide de nos cœurs,
Qui battent la chamade pendant l’amour.
Aimer jusqu’à s’oublier, sans compter,
C’est sans doute cela, le grand amour !
Et je reste des heures à regarder la mer,
Elle est là, qui me rassure,
Sur notre amour, si difficile à construire.
Bien sûr, il y eut quelques tempêtes,
Pardonnées bien vite, par quelques fleurs,
La mer est là, murmure son doux secret,
Celui de te guider dans mes pas,
Et de te garder, comme un précieux présent,
Enfermé dans un coffret, bien caché,
Dont on aurait perdu la clef pour toujours.
Qu’importe les jours, les années,
Qui nous regarde avoir nos premières rides,
Toi, mon bel amour,
Que les humeurs changent au grès des heures.
Le temps s’arrange de ma patience,
Tu as su me tempérer, comme le sont les tropiques,
Toutes ces îles où, je voudrai m’envoler.
Pourquoi se déchirer pour des petits riens,
Qui n’ont d’importance qu’à tes yeux,
Je ne peux que te pardonner.
Cependant tombent les larmes,
Laissant quelques écorchures,
Comme un enfant, qui tombe sur les cailloux,
Quand il apprend à marcher,
Il reste quelques égratignures.
Aimer jusqu’à oublier,
Le mal que l’on se fait, souvent à tort,
Et ne plus compter qu’à travers l’autre,
C’est peut être, cela l’amour !
Me perdre dans tes yeux verts,
Comme la mer, lorsqu’elle est en colère,
Aimer jusqu’au silence,
Rien que le souffle rapide de nos cœurs,
Qui battent la chamade pendant l’amour.
Aimer jusqu’à s’oublier, sans compter,
C’est sans doute cela, le grand amour !
Et je reste des heures à regarder la mer,
Elle est là, qui me rassure,
Sur notre amour, si difficile à construire.
Bien sûr, il y eut quelques tempêtes,
Pardonnées bien vite, par quelques fleurs,
La mer est là, murmure son doux secret,
Celui de te guider dans mes pas,
Et de te garder, comme un précieux présent,
Enfermé dans un coffret, bien caché,
Dont on aurait perdu la clef pour toujours.
