Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

le temps du bonheur

aurel33

Nouveau poète
#1

Aujourd’hui je voudrais écrire des vers
Comme jacques pervers
Versatiles mots de mon emispheres
Avec ma plume boire un verre
V’aijes être sévère ?

Le choix du thème et le tempo du texte
Pour la thématique c’est complexe
Ecrire du positif, je reste perplexe
Bien sur je ne vous parlerai pas de mon ex

Coca vodka c’est fini pour moi
Il est temps de passer à autre chose
Si par mon désarroi
Je peux éviter la cirrhose

Tout mes problèmes ont au moins un point positif
Fini pour moi le pétard, le joint, le splif
Maintenant je serai aussi solide que le « IF »
ET le moment de me coucher ne sera plus aussi tardif

Mon optimisme aussi minime soit-il
Est plus rapide que mon pessimisme
Plus rapide que damon hill
J’vous promets c’est un vrai séisme

Prendre le temps soit dit-en passant
Avant que la tempête ne t’emporte
Et n’emmène avec elle les mots passants
Sinon s’en va et claque la porte
Sur un futur qui aurait pu être croissant
Crois en moi et tu verras ma horde

Horticulturel de plantes savantes
Sachantes chasser le chat noir
Des nuits sombres et sans espoir
Pour pouvoir en fin se regarder dans un miroir

Flammes de l’enfer qui consume notre existence
Par les flèches flamboyantes
Pas de chance j’ai miroiter mon reflet
Non flétrit car j’ai ma bienveillance

Une âme qui m’aide
Et elle ne s’appelle pas à l’aide
Elle a sur moi le même effet que du savon d’alep
Je l’appellerais sonnette

Ca peut paraître louche mais pour moi c’est très clair
C’est ma sonnette d’alarme
Car il est temps de ne plus verser de larme
Pauser les armes ranger nos lames
Pour enfin libérer nos âmes

Mes amis je suis la ptite voix des seigneurs
Pour qu’à nos heures
Et par ailleurs crier sans heurts
Que c’est le temps du bonheur.