Sous ma jupe toute légère toute flottante
Je te regarde d’une attitude qui tente
Elle remonte du bout de mes doigts
Pour t’amuser, pour que tu vois
Le sourire aux lèvres, elle se soulève
Vient te tenter, dessous en tenue d’Ève
Elle flotte, et elle te laisse entrevoir
Qui clignotent, mes fesses ivoire
Sur le chemin ouvert, campagnard
Mes lèvres rieuses te donnent rencard
Elle t’aguichent de leurs petites dentelles
T’excitent, de leurs tons chair, pastel
Oh ! dis tu ‘‘laisse moi voir d’avantage
Cette magnifique Orchidée sauvage’’
Remontant de plus belle, portant à ta vue
Mon Mont de Vénus à la peau nue
Le rideau retombe, instantané frugal
Juste t’aguicher un peu de son vélin pâle
Juste pour voir tes yeux si désireux
Et ta langue dire ‘‘s’il te plaît fais mieux !’’
Adossée contre un chêne, là je t’assène
Mes jambes un peu ouvertes, sur ma scène
Ma jupe, somme toute levée, audacieuse
A genoux! Devant mes lèvres victorieuses
Allant m’allonger sur l’herbe verte
Pieds déchaussés, jambes nues, ouvertes
Ma jupe rabattue, posée sur mon nombril
Je te vois désireux, les yeux qui brillent
Mes lèvres bées, luxurieuses, vicieuses
Attendent tes lèvres audacieuses
C’est par mes pieds nus que tu aimes tant
Que commencent tes baisers envoûtants
Mes petits pieds qui te font tant fantasmer
Des baisers aux plantes, mes orteils sucés
Tu les adores quand ils sont sans souliers
Cet étrange fantasme vraiment me plaît
Viennent mes mollets qu’aussi tu mordilles
Derrière mes genoux, je pars en vrille
Tout autour de mes cuisses, tu joues
Tu joues avec mes jambes, tu joues
Tantôt élancées vers l’azur, tantôt renversées
Tantôt grandes ouvertes, tantôt accolées
C’est ouvertes et renversées, tant attendu
Ton baiser langoureux sur mes lèvres nues
L’éden bleu dans mes yeux tantôt mi-clos
Ta langue vive tel un lézard, quand il faut
Langoureuse, officieuse dans l’abysse
Malicieuse, minutieuse sur mon clitoris
C’est sur l’herbe verte sous le grand chêne
Que les plaisirs fous, en moi tu déchaînes
Je partirais encore turgescentes et en fièvre
Nue sous ma jupe, sourire radieux aux lèvres
Je te regarde d’une attitude qui tente
Elle remonte du bout de mes doigts
Pour t’amuser, pour que tu vois
Le sourire aux lèvres, elle se soulève
Vient te tenter, dessous en tenue d’Ève
Elle flotte, et elle te laisse entrevoir
Qui clignotent, mes fesses ivoire
Sur le chemin ouvert, campagnard
Mes lèvres rieuses te donnent rencard
Elle t’aguichent de leurs petites dentelles
T’excitent, de leurs tons chair, pastel
Oh ! dis tu ‘‘laisse moi voir d’avantage
Cette magnifique Orchidée sauvage’’
Remontant de plus belle, portant à ta vue
Mon Mont de Vénus à la peau nue
Le rideau retombe, instantané frugal
Juste t’aguicher un peu de son vélin pâle
Juste pour voir tes yeux si désireux
Et ta langue dire ‘‘s’il te plaît fais mieux !’’
Adossée contre un chêne, là je t’assène
Mes jambes un peu ouvertes, sur ma scène
Ma jupe, somme toute levée, audacieuse
A genoux! Devant mes lèvres victorieuses
Allant m’allonger sur l’herbe verte
Pieds déchaussés, jambes nues, ouvertes
Ma jupe rabattue, posée sur mon nombril
Je te vois désireux, les yeux qui brillent
Mes lèvres bées, luxurieuses, vicieuses
Attendent tes lèvres audacieuses
C’est par mes pieds nus que tu aimes tant
Que commencent tes baisers envoûtants
Mes petits pieds qui te font tant fantasmer
Des baisers aux plantes, mes orteils sucés
Tu les adores quand ils sont sans souliers
Cet étrange fantasme vraiment me plaît
Viennent mes mollets qu’aussi tu mordilles
Derrière mes genoux, je pars en vrille
Tout autour de mes cuisses, tu joues
Tu joues avec mes jambes, tu joues
Tantôt élancées vers l’azur, tantôt renversées
Tantôt grandes ouvertes, tantôt accolées
C’est ouvertes et renversées, tant attendu
Ton baiser langoureux sur mes lèvres nues
L’éden bleu dans mes yeux tantôt mi-clos
Ta langue vive tel un lézard, quand il faut
Langoureuse, officieuse dans l’abysse
Malicieuse, minutieuse sur mon clitoris
C’est sur l’herbe verte sous le grand chêne
Que les plaisirs fous, en moi tu déchaînes
Je partirais encore turgescentes et en fièvre
Nue sous ma jupe, sourire radieux aux lèvres
Dernière édition:
je les comprends !