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le petit navigateur amoureux sur son radeau de boi

joel9742

Nouveau poète
#1
Sur un radeau de bois,
Je regarde au loin d'en l'espoir d'atteindre l'île, l'île de ton cœur.
Aucune carte ni même mais l aventurier que je suis relève le défi, l’exploit de naviguer sur cette mer bleue, la mer de tes yeux
Pirate dans l’âme, j’aborderai ces navires qui prétendent là trouver avant moi.
Se ne sont que des voleurs de grands chemins qui ne pensent qu’aux butins, à ce trésor enterré sur cette île.
Crédule qu’ils sont ne voyant pas que le trésor s'est toi, j’y mettrais le feu à ces embarcations avant qu'ils ne fassent de dégâts sur l’île de ton cœur. Je les brûlerais avec la flamme de mon cœur.

Comme un marin souvent je serai ivre, ivre de toi.
Je verrai ainsi les sirènes qui tenteront en vains de m’attirer dans leurs pièges, mais ils verront bien que je n’aime que toi. Malgré moi je m’endormirai, et tous les soirs je rêverai de la rose des vents, des vents du bonheur, des vents de ton cœur, qui soufflent, soufflent sur mon petit radeau de bois et aux matins je ne serai qu ‘un naufragé sur tes plages dans tes bras.

Soudain j’entends des tambours qui battent aux rythmes de mon cœur. Je reprends peu à peu mon esprit, cet esprit même qui m’a conduit là, dans cette quête de l’amour.
Prenant mon courage à deux mains, je continue cette folle recherche du bonheur, me faisant chevalier à l’insu de tous, à un pas conquérant, je pars à la découverte des merveilles de ta vie. Mais le soleil qui te jalouse, me freine, j ai soif et faim de toi et je ne vois que des montagnes de sables blanches à pertes de vue, me rappelant que tu es si loin, si loin de moi.
Et voilà que la nuit s’avance, épuiser, je m’allonge sur cette terre pure et vierge de façon tels que j’aie l’impression de ne faire qu’un avec elle, avec toi.
Je me lève avec des douleurs qui nourrit mon désespoir, mais je ne suis pas seul, au loin j’aperçois une jungle, où s’élève toute une lumière d’étoiles, elle m’appelle d’une voix douce, si douce qu’elle m’attire malgré moi et je m’enfonce dans cette forêt, qui me procurent un bien être inégalable. Ces arbres couleur châtains me rappelle la splendeur de tes cheveux. Après la dureté de mes épreuves aurai-je atteint le nirvana, mais mon destin était tout autre, cette voix ma laisser ici, perdu dans tes cheveux, au milieu de nulle part, mais dans la douceur.
Comme si elle voulait que je reprenne des forces pour que je repousse chemin !
Mais l’esprit guerrier reprend le dessus, de rage je dérobe la flèche de cupidon. Incapable de faire son travail correctement. Et je cours, cours comme pour accélérer le temps ; Cours, cours ! Pour ne pas perdre de temps ; Cours, cours ! Pour t’aimer à temps.
Mais une branche par malheur se mets à travers mon chemin, et mon corps se fracasse contre un amas de boue. La nature m’a proclamé chevalier, elle m’enlève ce privilège par cette aura de boue, et je m’évanouis, un instinct de protection du cœur, qui évite de salir mon honneur.
Une amazone très belle soit, me secours et m’emmène chez son marabout. Elle espérait m’amadouer avec son charme "sauvagesse". Mais mon cœur appartient à la princesse, elle détient la clé de mon avenir, elle connaît le secret de mon âme, c’est à dire l’amour que je porte
Complètement abasourdir, je reprends doucement mes sens. Le vieux marabout se trouve près de moi et me parle « bois ceci jeune fou, cela va te remettre de tes émotions. » Et je bois ce breuvage nom moins étrange, il me dit que cela contient les sept merveilles du monde, le venin du scorpion, une goutte de ton sang, une pincée de tes pensées, un zeste de ton amitié, une larme de yeux qui donne cette couleur bleue, si bleue à cette potion que je n’y vois pas le fond.
Soudain ce vieux sage commence à me parler de l’île, il m’a dit qu’il était le premier sur l’île, qu’elle est âgée de dix huit ans, il m’a dit qu’il avait vu bien des hommes avant moi, il m’a dit qu’ il fallait être patient, patient et je m’endormis comme pour me réfugier dans mes rêves, me renfermer et oublier ce vieux prétentieux.
Ce soir, une cérémonie devait t’avoir lieu en mon honneur, je m’en souviens plus très bien, ses fameux tamtam, c’était cette tribu, qui aux sons de leurs tambours prévenait leur déesse qui n’est que toi ma princesse de toutes intrusions sur les terres sacrée.
Au réveille tous m’étaient devenus plus clairs, ce vieil homme plein de sagesse, s’appelai mémoire, et je lui accordai maintenant tout mon respect. Cette clairvoyance ait du à une vision pendant la transe que ma procurait ce breuvage.
Retrouvant mes sensations atteignant même le sixième sens, je décide de m’ entraîner à l’ arc pour quand arrivera l’ ultime combat avec ma meilleure ennemie, en l’ occurrence ma meilleure amie. Malgré toute ma concentration je n’étais pas très au point, la pensée même braver un de mes principes, c’est à dire prouver que je t aime, me fait mal au cœur. Après tout si tu ne veux qu’être mon amie je n’aie le droit de te flécher pour que tu m’aime, ce duel n’a plus lieu d’être. Alors je pleure, pleure toutes les larmes de mon cœur, pleure, pleure si fort que la pluie m’accompagne dans mon désarroi, pleure, pleure tellement que l’océan se remplir et l’île s’enfonce s’engloutir comme l’Atlantide.
Mon petit radeau de bois me sauve encore une fois, petit cœur de bois heureusement que tu es là, tel l’arche de Noé, je me rabats sur toi .
Au matin même, après des vents de folies.
Je me demande si s’était un rêve ou était ce la réalise ?
Est ce un récit légendaire que le petit navigateur amoureux sur son petit radeau de bois a invente, pour oublier la solitude sur la mer bleue la mer de tes yeux ?
Alors je scrute l horizon, où sont les goélands ?
Alors j’ausculte le ciel où sont les étoiles ?
Alors j’écoute le vent où sont les sons ?
L’amour m’a rendu aveugle, un voile de nuage cache l’espoir de rentrer chez moi, je suis prisonnier dans ton océan de penser, dont je ne connais la profondeur. Mais à la surface j’aperçois des secrets inestimables tels que « j’ai besoin de toi », m’évadez serait alors encensez, retourner dans mon monde ou je répète sans cesse

Y a des gens qui m aime
ce sont toujours les mêmes souvent on ne les voit pas
On les attend et ils ne viennent pas
Mais que veulent t- il ?
Je ne sais que leur offrir
Moi je suis un roi de misère, je possède un château en ruine. Mes soldats de pacotilles avec leurs armes fait de bois, ils font n’importe quoi, ils attaquent tous ce qui bougent.
Oui se sont eux les pantins de bois, je n’ai point de reine je la cherche, dans les oublies, les oublies de la vie.
.Et mon cœur il traîne, je ne sais plus ou je l’ai mis mais qu’elle importance personne n’en veut.
Dés fois j’erre dans les donjons dans l’espoir de trouver une princesse emprisonner qu’un prince aurait oublié de délivrer.
Il m’arrive aussi de partir loin de mon château, puis, je cherche la plus haute colline. Et je mi-aventure tous en haut j’essaie de toucher les nuages, s’est étrange à chaque fois, je me surprends à me dire que depuis mon château je peux toucher les nuages et qu ici je ne peux. Je regarde mes soldats qui se demandent ce que je viens faire ici, je retiens mes larmes, un roi ne pleure pas devant ces soldats.
Souvent je déclare la guerre a mes adversaires...

Bref, je ne veux plus revivre ça. Alors je jette l’ancre et j’attends ! mais bien vite, je me rends compte que mon petit radeau de bois n’ en dispose alors je bricole, rafistole
Comme j’en ai bien l’habitude avec mon petit cœur, cela n’est pas bien difficile.
Un bout de ficelle de ma vie, ma plume et je jette l’encre, avec un peu de chance, je pourrai remonter ton île.
A mon grand étonnement, la mer est devenue blanche à l’effigie d’une page.
Alors là j’hallucine, où est la mer ! Complètement déboussoler, je reprends le fils de mon histoire, à l’aide de ma plume que je plonge dans mon encre et gloupss ! Elle glisse de mes doigts comme mon courage.
Alors de mes doigts délicats, je m’apprête à farfouiller dans cette mixture bleue, mais je vois tout au fond une petite lumière qui brille, s’est ton cœur j’en suis sure, mon corps se laisse entraîner, gloupss ! Et je glisse et m’élance vers toi. Même si je ne suis pas un as de la plongée, je sais que le jeu vaut, même rallume la chandelle et je m’accrocherais à toi si fort que la terre tremblera, créant une faille, qui aspirera tous ces pleures et souffrances inutiles.
Revenant à la normale main dans la main tu me feras visiter ton île,
au coucher du soleil, je t’embraserai d’un baiser éternel.
Et à l aube, je t’embraserai d’un petit baiser, rien que pour faire pâlir de jalousie le soleil, qui ne pourra plus nous ennuyer, avec le voile d’amour qu’on formera tous les deux.
Au cœur de la journée, je serai ton esclave, à ta merci, ainsi tu changeras ma vie au gré de tes idées et même au-delà de tes sentiments inexplorés pour atteindre la plénitude a mon égard.
ainsi je pourrai être ton bouffon et te faire rire, ton bourreau pour en finir avec tes peurs
Ton chevalier pour te servir mon cœur.
Mais la nuit quand réapparaîtront les étoiles, là je verrai une pluie d’étoiles filantes qui dansent, dansent dans le ciel, y en a une qui passe si bas, qu’elle tombe dans mes bras, et c’est toi ma princesse. Car ce soir et tous les soirs je serai ton prince auprès de toi et tu t’endormiras si près de moi que j’entendrai le murmure de ton cœur.
Regardant ton sommeil je reste émerveiller.
Mais mes angoisses ressurgissent ses peurs qui sortent soudainement de l’ombre pour m’effrayer, je sais qu’elles ne vivent que pour moi, il m’est déjà arriver de penser que ces monstres sortent tout droit ancré dans ma tête, eux ils attendent plus que le vent, pour les décrocher et être en perdition dans mon océan de penser. Oui ce vent, c’est ce frisson qui vous ferez fondre, en pleine nuit dans une atmosphère glacial, votre corps s’enfuit mais votre âme est tourmenté par cette mer déchaîner ces images qui percute les moindres recoins de votre esprit se répercute sur votre corps qui s emballent, ne courait pas vous ne faites que remuer les démons du monde oublié, ils sont réveiller maintenant ils tirent sur vos membres et vous ralentissent, vous êtes à bouts, ils le sentent, et puis l’océan en rejoignent une autre, la mer se calme et les vagues sont douces, étrange cette sensation de déséquilibre, vous respirer cette bonne vieille odeur qui est l’air. L’oxygène de la vie, un plaisir qu i vous revient après cette folle pensée, d’où vous n’espérer plus vous en sortir, vous n’êtes pas sur la plage,
Vous ramez perdu dans cette vaste masse d’eau, la houle se calme et d’autres pensées s’en mêlent, vous les oubliés mais rester prudent car les vagues s’écrasent sur la plage mais elles reviennent toujours.

Marchand de rêve, laisse-moi encore un peu de temps pour profiter de ces derniers instants avec ma princesse.
Avant que ne sonne le glass.
Que ton sable ne se répand sur moi, avant que la journée ne se finisse.
Je souhaite lui dire que je l’aime.
Car qui s’est ce qui se passera demain.
je t aime