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le monde disparu

1988

Nouveau poète
#1
Tout est glace sous la pointe des pieds, ça gène paisiblement et froidement, c'est le jour qui s'annonce comme une griffe de soleil, il y avait du tam-tam, du cora, un balafon, oui un balafon et des cerceaux-a-son sans fin; la musique. Mais pas de danseurs, tous étaient mineurs de singe, des singes, des gorilles. Ils ne danssaient pas la musiq chantée. Le moment inquiète, le vent gifle, la poussière se rebelle et tout devient flou. Aucun bruit de pas signifiant que la souplesse d'une génération vielle de feuilles et branches qui s'arrachaient de leurs domiciles originels et s'adonnaient au grand vent. C'est un silence qui s'annonce avantageux et le tam-tam et le cora et le balafon reprennent, les cerceaux-a-son suivirent et toujours pas de danseurs dignes, tous ont la langue sous les pieds et le coeur dans la nuque. Nos acteurs, nos tapeurs, nos dignes musicien-du-son-culture continuaient de nourrir cette lueur de la septième heure quand une voie scandée venant d'ailleurs apostropha.





-Aujourd'hui , un jour...un jour , ce jour naitra d'une eau poissonneuse. Loin de lui...naitra ce jour le jour. il viendra au monde le temps.
Soudain, une foudre, une vapeur d'eau melée à de la fumée mettait tout en confusion tel un esprit en quête d'une demeure inhabitée. On entendait un gazouillement et gémissement d'une fillette de moins de douze ans.
-C'est un enfant!
-Toi, un enfant! ENFANT? reprit Djegka, le Roi.
et le Grand-parlé se prononce
-Si juste est Dieu, Dieu est juste,justice est lui,tout vient de Lui. Tout se claici de Lui car Dieu est juste, si juste est Dieu
-Ainsi, Dieu permettra t-il de violer ses propre Lois, replique le ROI
Le tapeur tapait quand un instant, tout le village fit reuni autour du Roi et ses notables et des intellectuels venus de tout part pour prendre part a cette ceremonie seculaire et annuelle. Parmis eux ont trouvait Moussa Ouédrago le bourkinabé, Jacque le français, Lence l'anglais et Yu Yong le chinois. Et comme tous était présant tous étaient étonnés. Dali, le prémier notable donna son opinion
-Si tout vient de lui, tout part de lui la loi violée par lui n'est que desir de sa volonté car Grand roi ce Roi est encore plus roi que vous mon roi.
-Dali n'a pas tord , soutient Gnohité, vous savez j'ai été autrefois bon chretien avant d'être gardient des fetiches, ceci pour dire que mon roi, la Bible en parle...
-Que dit elle? Interrogea le Roi.
- La Bible, celle des Chrétiens, dit que j'établirais des Lois et il affime encore que tout ce que Dieu fait est bon.
Moins de quinze minutes passaient et l'on remarqait un silence interpellateur comme si tout monde pensait, repensait et reflachissait. c'est alors que Moussa brise ce silence.
-Chef, grand roi, avec votre permission, pourrais je donner mon avis?
Zeguiba, deuxieme grand-parlé, prend la parole en faveur de Moussa.
-Roi, chef de Cotysouth,chef de chez moi. Roi,roi d'hospitalité,Moussa...Moussa a le coeur plein, Les mains blanches, Moussa à la langue qui boue.
-Qu'il se vide donc, agréa le roi. comme la cuvette bourrée de recipiants ne cloche sans son font, parle...
-Merci chef...
-Parle vite
- Une loi bravé par un roi servira sans aucun doute d'exemple
-C'est d'ailleur un bon exemple, c'est un model
-Il faut fait comme le père. continua Moussa, les lois ne sont pas faites pour être violer car Allah puni toujours les Hommes de mauvaise foi, accorde la lune aux obeïssants et le soleil aux autres.
-Tu dis toujours Vrai.
Le bruit coulait de partout, tout le monde bouleversé par cette terrible problematique. "Que nous reserve le demais si aujaurd'hui est ainsi ? "
La nuit porte conseille, le village innondé de desespoir esperait regagner espoir dans cette nuit sans étoile,.et le sommeil gagnait toujours.


Des jours, des nuits puis des années filaient comme une flèche. Djekpa a doublé en âge, licencier du trone, parcequ'il a nourri les theorèmes de Moussa Ouedrago, le burkinabé de Burkina Faso, attenté par Zowourwu. Zowourwu, jadis, conferencier, professeur de Droit puis Avocat dans l'une des localités de l'exagone est soutenu par les villageois. Homme riche, raison de plus à le soutenir. Tous et tout se tournaient vers le nouveaux roi. Le soleil debout, les enfants roulaient deja pour l'école, les femmes vaquent à leurs travaux monotones et les hommes à leurs occupations quotidiennes. Le sol pouciereux, le feuilles pleuraient et les banches la se vidaient de leurs sang, les plantes commestibles inquietent de leurs esperance de vie. Mais la saison paraissait avantageux pour la reunion de tout à heure.
C'est bientôt dix huit heure trente, assuré que les concernés sont présent; le tam-tam sacré la annoncée une semaine au paravant, preuve pour laquelle tout le monde est vraiment présent. Le chef du village, comme d'accoutumence imposée, tous sont concerné quand le village va mal. Il decida des lors et d'une position categorique, que seul les personnes les plus habiles ont ceux desa clergée car competants qu'ils sont sont choisir par le peuple alors ce peuples ne peut qu'écouter et leur faire une ample confiance. La coutume exigeait également les consignes et conseils, il devait prendre part a toutes reunions, Au respect de la culture, djekpa est bien là.
Les douzes notables reduient à cinq plus Djekpa et le roi transpirent d'une forte pression due au comportement de la jeunesse. Filles et gaçons sont critiqués par nombres de familles et cela abarsoudait l'atmosphère de tout la tribune. Après un longue chant sacré interpelateur du tam-tam sacré, Zowourwu ouvre le pourparlé.

Zowourwu
Notre village est entre les mains du diable, les filles ne s'habille presque plus, les hommes sont des filles. Vous avez remarqué commes moi cette génération. Pis encore, la jeunesse nous envoie dans une voie sinistrée. Cette soirée nous reuni à ce sujet si indignants.
1er notable
Les filles, ce sont des enfant, et cela s'est vecu par nous.
2eme notable
Ces enfants sont nos enfants, et s'il le sont c'est à cause de nous, nous ...
Zowourwu
Alors, Zakié, 1er notable, ne vois tu pas trop de mots blanches, parlez en , parler des paroles justes et necessaires, parlez maintenant de ces paroles blanche, celle de France.
1er notable
L'éducation, reéduquer nos jeunes Homme, un lavement de sang. Grand Chef , chef la mentalité de chez nous s'est étiolée, nos lampe ne sont plus qu'un leurre.
3eme notable
Grand Chef, chef et notables... A force d'éduquer nos enfants, les enfants ont abdigués l'éducation vraie à l'éducation, la maison de la sagesse immigrée.
2eme notable
Vous dites vrai, la verité vous connait, il y trouve en dehors de cette source veridicte, un verité verifiée; les étrangers
3eme notable
Je veus comprendre...
2eme notable
Je dit, Grand Chef et chef, l'école n'est passeule, il y a ceux qui l'on transporté, les Djoubalha et tout le reste que nous citoyen,appellons les Clown-de-la-pédagogie.
4eme notable
Parler de Clown-de-la-Pédagogie, les accuser et étrangers et écoles n'est il pas mettre les mains à travers le mur? Questionnons nous un peu, accusons nous nous même apres nous verons d'autre fin.
C'est plein de bruit , Zowourwu est comme s'il y en avait rien de sonore genant, Djepka reste soucieux avec un regard fixe et pensif cherchant un pensement à ces maux . Quelqu'un brise ce bruit en un rien.
5eme notable
Ecole, l'école... Vous le savez j'ai été, naguère, un maitre assistant au Cafop et l'enseignement, ça me connait. a vrai dire, l' école presque m'éloignait de mon village, même vivant dans mon village, je disait ce village, comme si je ne suis pas d'ici. Grand chef, chef, chaque pas dans l'école...tut notre coutume oui notre culture.
tout le village ensemble abonde en choeur
-oui, l'école tut notre culture! elle tut nous tut!
1er notable
Voilà que tout est résumé, l'école nous spoile de nous même, nous vide de tout ce qui doit être en nous même. Nos enfants ne parle plus le Tébé, le Gnia et Beguié, tous reduitent au français comme si jamais ce village, notre village n'a jamais été la phagocyte de ses trois tribues, ses trois tribues...
Zowourwu
J'ai écouté et tout mon village aussi, le village semble accuser les établissement, le forgerons moral de la planête.
1er notable
Nous, grand Chef, ne semblons pas accuser cette forge blanche. Nous, le village, l'accuson, n'est pas freres et soeurs ?
Tout le village en choeur
-Oui, nous l'accusons! nous l'accusons!
4eme notable
Vous consentiez la gravité des sons qui se forment, un vent terrible qui ne finira presque pas. Il vient à grand pas et ses pas sont si-len-cieux. Je craint d'en dire plus.
2eme notable
Oui, le futur de notre vie en communauté est en terre, elle ne poussera qu'apres l'allée de celle-cI (Il indexe l'établissement scolaire Centre II). celle la nous chosifie et
3eme notable
Nous rend étranger de nous même. On meurt
5eme notable
On survit et
4eme notable
Si on vit mieux, c'est pour eux et grace à eux
3eme notable
On ne vit plus mais on vit, pas vrai... on vit pour eux!
1er notable
Tout a fait leur Vie, vit en nous.
Zowourwu
Chef Djékpa, je veux conclure au plus vite et surement cette pertinente assoupissement, j'ai fort besoin de tes mots.
Djekpa
J'ai tout écouté mais je pense pas comprendre celà tel que vous en voulez... J'aimerais jouir d'une petite minute en privé avec le roi.
Zowourwu
J'accepte mon grand frere,
.Par l'exemple des notables,le monde se met en jambe vers leurs domiciles. C'est onze heures du soir et nuit devait être bonne. Pendant ce temps, Zowourwu et Djekpa roulaient dans la salle Noire.

La nuit est longue, on ne voit presque plus la lune et le soleil ne s'est pas encore levé, les ennemis devenus amis.
Zowourwu
Nous s' y sommes, le volume est soud en dehors, parons en freere.
Djekpa