Crane immaculé drapé d'un linge mortuaire,
D'une main osseuse, il manipule les rouages de l'éphémère,
Disposant d'une machine aux apparences millénaires,
Faite de bois d'ébène et de morceaux de chairs,
Messager du scribe et du destin,
A chaque mouvement de sa lugubre main,
Il fait descendre du haut firmament
La lame de la justice et du désoeuvrement,
De sa guillotine coupante raisonne les hurlements
De tout ces morts à travers le temps,
De toutes les époques de l'humanité
Jusqu'à nos jours, il ne fait que commencer,
Il est la roue du hasard quand le destin ne sait plus,
Alors en fermant ses yeux noirs il nous tue,
Se transformant en cyclone meurtrier
Ou inondant les vallées de milliers d'affamés,
Sachez, que le soir dans vos chambres,
Il se poste au dessus de vos têtes et se cambre,
Là, juste à vos côtés il vous regarde,
Alors, mesdames et messieurs, prenez garde!
D'une main osseuse, il manipule les rouages de l'éphémère,
Disposant d'une machine aux apparences millénaires,
Faite de bois d'ébène et de morceaux de chairs,
Messager du scribe et du destin,
A chaque mouvement de sa lugubre main,
Il fait descendre du haut firmament
La lame de la justice et du désoeuvrement,
De sa guillotine coupante raisonne les hurlements
De tout ces morts à travers le temps,
De toutes les époques de l'humanité
Jusqu'à nos jours, il ne fait que commencer,
Il est la roue du hasard quand le destin ne sait plus,
Alors en fermant ses yeux noirs il nous tue,
Se transformant en cyclone meurtrier
Ou inondant les vallées de milliers d'affamés,
Sachez, que le soir dans vos chambres,
Il se poste au dessus de vos têtes et se cambre,
Là, juste à vos côtés il vous regarde,
Alors, mesdames et messieurs, prenez garde!