LE COUPLE DU 3ème MILLENAIRE
Tu me dis que tu m’aimes,
Et j’ose le croire,
C’est encore un de ces soirs,
Où je me retrouve seule devant mon miroir,
Une bouffée d’angoisse me sert la poitrine,
Lorsque je me trouve seule dans ma cuisine.
Chaque nuit, nous vivons séparés,
Avec nos deux vies en parallèle,
Je cherche ma place dans cette vie nouvelle,
Pour combler mon ennui,
De toutes ces nuits,
J’écrie des pamphlets,
Comme une enfant sage,
Par obligations, je te partage,
Entre Caen, la douleur d’un passé,
Que je voudrais tant effacer,
Et Varaville, une vie à tout construire,
Comment faire pour ne pas souffrir,
De toutes ces absences,
Qui fond de moi,
Une enfant sans défense,
Il me reste à vivre pour moi,
J’apprends à organiser mes soirées,
Qui me paraissent si banales sans toi,
Vers lui vont toutes mes pensées.
Chez moi, je fais semblant d’être bien,
Je me contente de petits riens,
Eh voilà ! Que ta voix résonne au téléphone,
D’un bonne nuit, tu me marmonnes.
Les douze coups de minuit ont sonné,
Je gagne mon lit, seule abandonnée.
Comment ferais-je pour m’endormir,
Sans la chaleur de ton corps,
Qui doucement m’effleure.
Sans le regard de tes yeux charmeurs,
Je compte les heures jusqu’à l’aurore,
Ecoutant de la musique douce pour m’assoupir.
Mais je me fais une raison,
Dans l’espoir de te revoir le lendemain,
Qui me paraît toujours si lointain,
Le jour se pointe à l’horizon,
Et je me love dans mon édredon…
Tu me dis que tu m’aimes,
Et j’ose le croire,
C’est encore un de ces soirs,
Où je me retrouve seule devant mon miroir,
Une bouffée d’angoisse me sert la poitrine,
Lorsque je me trouve seule dans ma cuisine.
Chaque nuit, nous vivons séparés,
Avec nos deux vies en parallèle,
Je cherche ma place dans cette vie nouvelle,
Pour combler mon ennui,
De toutes ces nuits,
J’écrie des pamphlets,
Comme une enfant sage,
Par obligations, je te partage,
Entre Caen, la douleur d’un passé,
Que je voudrais tant effacer,
Et Varaville, une vie à tout construire,
Comment faire pour ne pas souffrir,
De toutes ces absences,
Qui fond de moi,
Une enfant sans défense,
Il me reste à vivre pour moi,
J’apprends à organiser mes soirées,
Qui me paraissent si banales sans toi,
Vers lui vont toutes mes pensées.
Chez moi, je fais semblant d’être bien,
Je me contente de petits riens,
Eh voilà ! Que ta voix résonne au téléphone,
D’un bonne nuit, tu me marmonnes.
Les douze coups de minuit ont sonné,
Je gagne mon lit, seule abandonnée.
Comment ferais-je pour m’endormir,
Sans la chaleur de ton corps,
Qui doucement m’effleure.
Sans le regard de tes yeux charmeurs,
Je compte les heures jusqu’à l’aurore,
Ecoutant de la musique douce pour m’assoupir.
Mais je me fais une raison,
Dans l’espoir de te revoir le lendemain,
Qui me paraît toujours si lointain,
Le jour se pointe à l’horizon,
Et je me love dans mon édredon…