Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Le con finement

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Le con finement

Le con finement où l’art du con posé,
En confinement ou l’art de composer.
Car ces histoires à la con, posées ça et là,
Ça ou son inverse, on en est bien las.

Pendant la crise, une première élection,
Marquée par un surplus d’abstentions,
Avec vote et dépouillement plus que douteux,
Sans contrôle pour assurer un gain fructueux.

Et l’on continue dans cette folle crise,
Mais on le sait, leur credo c’est la bêtise.
On va maintenant à la plage, on divague,
Séparé en attendant la deuxième vague.

Pour un rayon de soleil, prenez un rendez-vous,
Jusqu’à cent bornes, vous ne ferez pas de remous,
Pour l’étranger, faudra que s’ouvrent les barrières,
Tout en appliquant et respectant les gestes barrières.

Alors, aujourd’hui, prenez la vie du bon coté,
Ecrivez vite, un concours vous est concocté,
De chez soi ou d’ailleurs, les textes sont bienvenus,

Pour un demain biscornu, peu importe le contenu.
 

lilasys

Maître Poète
#2
Le con finement
Le finement con

Le con finement où l’art du con posé,
Mais le finement con est élu à l'Elysée
En confinement ou l’art de composer.

Dans l'air une odeur de virus préparé
Car ces histoires à la con, posées ça et là
Font des morts en challenge est ce la loi?
Ça ou son inverse, on en est bien las
Ils nous font un lâcher de masques voilà!


Pendant la crise, une première élection,

Seul les vieux n'avaient pas l'invitation
Marquée par un surplus d’abstentions,

A un poil du cul on perdait la bénédiction
Avec vote et dépouillement plus que douteux,

L'église était ouverte fallait demander au bon Dieu
Sans contrôle pour assurer un gain fructueux.

Quelques pièces au curé, on a fermé les yeux.

Et l’on continue dans cette folle crise,

Ben voyons j'en aie les cheveux qui frisent
Mais on le sait, leur credo c’est la bêtise.

Non ! Le fric, les bourses pas encore acquises
On va maintenant à la plage, on divague,

Les citoyens a la côte qui font la vague ?
Séparé en attendant la deuxième vague.

Le carnaval de pigeons sans bagues

Pour un rayon de soleil, prenez un rendez-vous,

Pendez les haut et court disent les plus fous !
Jusqu’à cent bornes, vous ne ferez pas de remous,

Mais à pieds , bonjours les ampoules en choux
Pour l’étranger, faudra que s’ouvrent les barrières,

Ô ciel ! Mon Dieu ouvrez aussi les frontières
Tout en appliquant et respectant les gestes barrières.

Ayant la panoplie de l'astronaute , c'est bien la guerre.

Alors, aujourd’hui, prenez la vie du bon coté,

Les pieds en éventail ; un casque et stromaé
Ecrivez vite, un concours vous est concocté,

J'ai la plume féroce, c'est pas une bonne idée !
De chez soi ou d’ailleurs, les textes sont bienvenus,

Le masque est trop parfait, il couvre la tête et le cul
Pour un demain biscornu, peu importe le contenu.

Je ferme les entrées et franchement on ne connait le menu.....

LILASYS

 

lilasys

Maître Poète
#3
Avec toute mon amitié Jean Daniel .......Merci
Pour me sortir de ma tanière faut vraiment que je t'adore !!! Eh oui
Je suis mon Maître de loin même si je dis rien ....
BISOUS A VOUS DEUX
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#5
Le con finement
Le finement con

Le con finement où l’art du con posé,
Mais le finement con est élu à l'Elysée Comme l’affirme la populasse.
En confinement ou l’art de composer.

Dans l'air une odeur de virus préparé, On hume des relents d’angélus si coriace
Car ces histoires à la con, posées ça et là

Font des morts en challenge est-ce la loi ?
Faire les forts dérange la bamboula
Ça ou son inverse, on en est bien las

Ils nous font un lâcher de masques voilà ! Finiront par nous fâcher en basquaise en guérilla.



Pendant la crise, une première élection,
Seul les vieux n'avaient pas l'invitation Seul les dieux se passent d’objections
Marquée par un surplus d’abstentions,

A un poil du cul on perdait la bénédiction A un voile du nez, on s’égare d’aberrations.
Avec vote et dépouillement plus que douteux,

L'église était ouverte fallait demander au bon Dieu Religions ne fait pas de beau vieux
Sans contrôle pour assurer un gain fructueux.

Quelques pièces au curé, on a fermé les yeux. Avec des nièces enfermées dans d’autres lieux


Et l’on continue dans cette folle crise,
Ben voyons j'en aie les cheveux qui frisent Regardons, des gays en chevaux se déguisent.
Mais on le sait, leur credo c’est la bêtise.

Non ! Le fric, les bourses pas encore acquises Oui, les briques des bourges leur semblent acquises.
On va maintenant à la plage, on divague,

Les citoyens a la côte qui font la vague ? Des concitoyens leur décote est comme une dague.
Séparé en attendant la deuxième vague.

Le carnaval de pigeons sans bagues Polichinelle sauvageon devient pastenague.


Pour un rayon de soleil, prenez un rendez-vous,
Pendez les haut et court disent les plus fous ! Dépendez ces saucissons qui brisent nos bijoux.
Jusqu’à cent bornes, vous ne ferez pas de remous,

Mais à pieds , bonjours les ampoules en choux Dès demain, de revoir les foules en voyou.
Pour l’étranger, faudra que s’ouvrent les barrières,

Ô ciel ! Mon Dieu ouvrez aussi les frontières Haut fiel odieux ne fermez pas vos arrières.
Tout en appliquant et respectant les gestes barrières.

Ayant la panoplie de l'astronaute, c'est bien la guerre. Pantin en faute, comme vos précédents naguère


Alors, aujourd’hui, prenez la vie du bon coté,
Les pieds en éventail ; un casque et Stromaé Les mains au travail avec un masque adapté.
Ecrivez vite, un concours vous est concocté,

J'ai la plume féroce, c'est pas une bonne idée ! De ton style haut si véloce, tu peux nous dérider.
De chez soi ou d’ailleurs, les textes sont bienvenus,

Le masque est trop parfait, il couvre la tête et le cul Le casque à l’imparfait détruit le cuir charnu
Pour un demain biscornu, peu importe le contenu.

Je ferme les entrées et franchement on ne connaît le menu. J’ouvre en ce pastiche cette aventure menue.
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#7
Le pastiche et le pastiche du pastiche

Le finement con

Mais le finement con est élu à l'Elysée
Dans l'air une odeur de virus préparé,
Font des morts en challenge est-ce la loi ?
Ils nous font un lâcher de masques voilà !


Seul les vieux n'avaient pas l'invitation
A un poil du cul on perdait la bénédiction
L'église était ouverte fallait demander au bon Dieu
Quelques pièces au curé, on a fermé les yeux.


Ben voyons j'en aie les cheveux qui frisent
Non ! Le fric, les bourses pas encore acquises
Les citoyens à la côte qui font la vague ?
Le carnaval de pigeons sans bagues


Pendez-les haut et court disent les plus fous !
Mais à pied, bonjour les ampoules en choux
Ô ciel ! Mon Dieu ouvrez aussi les frontières
Ayant la panoplie de l'astronaute, c'est bien la guerre.


Les pieds en éventail ; un casque et Stromaé
J'ai la plume féroce, c'n’est pas une bonne idée !


Le masque est trop parfait, il couvre la tête et le cul
Je ferme les entrées et franchement on ne connaît le menu.


LILASYS

Le pastiche du pastiche (A la votre)

Comme l’affirme la populace,
On hume des relents d’angélus si coriace,
Faire les forts dérange la bamboula,
Finiront par nous fâcher en basquaise en guérilla.


Seul les dieux se passent d’objections,
A un voile du nez, on s’égare d’aberrations,
Religions ne fait pas de beau vieux,
Avec des nièces enfermées dans d’autres lieux.


Regardons, des gays en chevaux se déguisent.
Oui, les briques des bourges leur semblent acquises
Des concitoyens leur décote est comme une dague.
Polichinelle sauvageon devient pastenague.


Dépendez ces saucissons qui brisent nos bijoux.
Dès demain, de revoir les foules en voyou.
Haut fiel odieux ne fermez pas vos arrières.
Pantin en faute, comme vos précédents naguère.


Les mains au travail avec un masque adapté.
De ton style haut si véloce, tu peux nous dérider.
Le casque à l’imparfait détruit le cuir charnu
J’ouvre en ce pastiche cette aventure menue.


Luron1er
 

lilasys

Maître Poète
#8
Le rateau masqué

Comme l’affirme la populace,
Parlons en la moitié figée en glace
On hume des relents d’angélus si coriace,
On pollue le vague à l'âme sur scène en place
Faire les forts dérange la bamboula,
Par le mini-tre de l'ex-térieur et son kamasutra
Finiront par nous fâcher en basquaise en guérilla.
Nous sommes des pions à 100 kms, mis au pas


Seul les dieux se passent d’objections,
Il y a les imbéciles en grande méditation
A un voile du nez, on s’égare d’aberrations,
Une poutre sur le dos en pleines hallucinations
Religions ne fait pas de beau vieux,
Un bon bout de chêne fait un sacré pieu
Avec des nièces enfermées dans d’autres lieux.
Les Euros font leur chemin, l'Europe des mafieux


Regardons, des gays en chevaux se déguisent.
Ils font leurs choix en Marquis de Guise
Oui, les briques des bourges leur semblent acquises
Celles de Toulouse, nous en avons les mains mises
Des concitoyens leur décote est comme une dague.
La fine lame d'une épée attend de faire du vague
Polichinelle sauvageon devient pastenague.
Les Pinocchios gouvernent, des rigolos sans blagues !


Dépendez ces saucissons qui brisent nos bijoux.
Les poux, genoux, cailloux, hiboux, joujoux, choux
Dès demain, de revoir les foules en voyou.
Les blacks bloks sont des manges à tout ?
Haut fiel odieux ne fermez pas vos arrières.
Pas la peine, ils sont les jouets, des lanceurs de pierres
Pantin en faute, comme vos précédents naguère.
Ils rient bien en Ô Lieu quand on voit leurs derrières


Les mains au travail avec un masque adapté.
Les pieds en éventail comme les Dieu de l’Élysée
De ton style haut si véloce, tu peux nous dérider.
Si on les embroche, je veux surtout participer
Le casque à l’imparfait détruit le cuir charnu
Le pet au crâne c'est "cass" ta mère premier en retenu
J’ouvre en ce pastiche cette aventure menue.
Je poursuis Mon Maître dans les grandes avenues .


Luron1er § Lilasys






 
Dernière édition par un modérateur:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#12
Le rateau masqué

Comme l’affirme la populace,
Parlons en la moitié figée en glace
On hume des relents d’angélus si coriace,
On pollue le vague à l'âme sur scène en place
Faire les forts dérange la bamboula,
Par le mini-tre de l'ex-térieur et son kamasutra
Finiront par nous fâcher en basquaise en guérilla.
Nous sommes des pions à 100 klm mis au pas


Seul les dieux se passent d’objections,
Il y a les imbéciles en grande méditation
A un voile du nez, on s’égare d’aberrations,
Un poutre sur le dos en pleines hallucinations
Religions ne fait pas de beau vieux,
Un bon bout de chêne fait un sacré pieu
Avec des nièces enfermées dans d’autres lieux.
Les Euros font leur chemin, l'Europe des mafieux


Regardons, des gays en chevaux se déguisent.
Ils font leurs choix en Marquis de Guise
Oui, les briques des bourges leur semblent acquises
Celles de Toulouse nous en avons les mains mises
Des concitoyens leur décote est comme une dague.
La fine lame d'une épée attend de faire du vague
Polichinelle sauvageon devient pastenague.
Les pinocchios gouvernent, des rigolos sans blagues !


Dépendez ces saucissons qui brisent nos bijoux.
Les poux,genoux,cailloux,hiboux,joujoux, choux
Dès demain, de revoir les foules en voyou.
Les blacks bloks sont des manges à tout ?
Haut fiel odieux ne fermez pas vos arrières.
Pas la peine, ils sont les jouets des lanceurs de pierres
Pantin en faute, comme vos précédents naguère.
Ils rient bien en Ô Lieu quand on voit leurs derrières


Les mains au travail avec un masque adapté.
Les pieds en éventail comme les Dieu de l’Élysée
De ton style haut si véloce, tu peux nous dérider.
Si on les embroche je veux surtout participer
Le casque à l’imparfait détruit le cuir charnu
Le pet au crâne c'est cass ta mère premier en retenu
J’ouvre en ce pastiche cette aventure menue.
Je poursuis Mon Maître dans les grandes avenues .


Luron1er § Lilasys






Super...........
Mére veilleuse..........
 
Dernière édition:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#13
Le rateau masqué

Comme l’affirme la populace,
Parlons en la moitié figée en glace
On hume des relents d’angélus si coriace,
On pollue le vague à l'âme sur scène en place
Faire les forts dérange la bamboula,
Par le mini-tre de l'ex-térieur et son kamasutra
Finiront par nous fâcher en basquaise en guérilla.
Nous sommes des pions à 100 kms, mis au pas


Seul les dieux se passent d’objections,
Il y a les imbéciles en grande méditation
A un voile du nez, on s’égare d’aberrations,
Une poutre sur le dos en pleines hallucinations
Religions ne fait pas de beau vieux,
Un bon bout de chêne fait un sacré pieu
Avec des nièces enfermées dans d’autres lieux.
Les Euros font leur chemin, l'Europe des mafieux


Regardons, des gays en chevaux se déguisent.
Ils font leurs choix en Marquis de Guise
Oui, les briques des bourges leur semblent acquises
Celles de Toulouse, nous en avons les mains mises
Des concitoyens leur décote est comme une dague.
La fine lame d'une épée attend de faire du vague
Polichinelle sauvageon devient pastenague.
Les Pinocchios gouvernent, des rigolos sans blagues !


Dépendez ces saucissons qui brisent nos bijoux.
Les poux, genoux, cailloux, hiboux, joujoux, choux
Dès demain, de revoir les foules en voyou.
Les blacks bloks sont des manges à tout ?
Haut fiel odieux ne fermez pas vos arrières.
Pas la peine, ils sont les jouets, des lanceurs de pierres
Pantin en faute, comme vos précédents naguère.
Ils rient bien en Ô Lieu quand on voit leurs derrières


Les mains au travail avec un masque adapté.
Les pieds en éventail comme les Dieu de l’Élysée
De ton style haut si véloce, tu peux nous dérider.
Si on les embroche, je veux surtout participer
Le casque à l’imparfait détruit le cuir charnu
Le pet au crâne c'est "cass" ta mère premier en retenu
J’ouvre en ce pastiche cette aventure menue.
Je poursuis Mon Maître dans les grandes avenues .


Luron1er § Lilasys







Et de quatre….

Le marteau remarqué.

Chantons un tiers affligée bien en place,
On salue les blagues à lame obscène, j’agace,
Par le mini hiatus en extérieur d’un carma sous drap,
La somme d’espions qui restent à dix pas.


Il y a les indociles en petite lévitation,
Me foutre sur l’ado en foules apparitions,
Ces cons fous déchaînent des faits odieux,
Les bravos font leur route, la France des vicieux.


Ils ont leurs doigts, mal lavés à leur guise,
Comme une perlouse, nous les laissons dans leur méprise,
Une fine larme à l’œil attend d’les mettre au bagne,
Ces pantins en baliverne, des drôles, sans bague.


En acajou ou bambou, de trous pour l’écrou ou des clous,
Les starting-block les démangent ces filous.
Pas la veine, ils sont les rouets des lanceurs de barrières,
Je prie bien plus haut, vieux qui prévoit la dernière.


Des jambes en détail pour un foot comme improvisé,
De tous leurs proches, je ne peux pas expliquer,
Respect au crâne dégarni, ils cassent la vie sans contenue,
Je rigole de ma maîtresse et ses textes bienvenus.


Luron1er

Le râteau masqué

Parlons en la moitié figée en glace
On pollue le vague à l'âme sur scène en place
Par le miniature de l'ex-térieur et son kamasutra
Nous sommes des pions à 100 km mis au pas


Il y a les imbéciles en grande méditation
Une poutre sur le dos en pleines hallucinations
Un bon bout de chêne fait un sacré pieu
Les Euros font leur chemin, l'Europe des mafieux


Ils font leurs choix en Marquis de Guise
Celles de Toulouse nous en avons les mains mises
La fine lame d'une épée attend de faire du vague
Les Pinocchios gouvernent, des rigolos, sans blagues !


Les poux, genoux, cailloux, hiboux, joujoux, choux,
Les blacks bloks sont des manges à tout ?
Pas la peine, ils sont les jouets, des lanceurs de pierres
Ils rient bien en Ô Lieu quand on voit leurs derrières


Les pieds en éventail comme les Dieu de l’Élysée
Si on les embroche, je veux surtout participer
Le pet au crâne, c'est «cass» ta mère premier en retenu
Je poursuis Mon Maître dans les grandes avenues.


Lilasys
 
Dernière édition:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#15
Pour mettre un peu d'humour,
On peut s'envoyer en l'air, sauf les postillons, car leurs véhicules d'aujourd'hui sont à cocher...
Mais attention à la mouche du coche qui est à cheval et survole les 100 bornes.
 

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#16
Vous formez vraiment un beau couple de duettistes, duotistes, sans dentiste, ni balistes, vos mots sont des armes désarmantes, j'ai adoré vous lire, bravo :)