Je veux être vivant plus qu’il ne le faudrait.
Que ma muse m’emporte, il me faut plus songer.
Les rêves colorent le cœur, Ô peintres en son âme
Fresques de l’infini aux champs de sésames.
Virevoltantes, chahutées de malice
Les couleurs se mélangent aux grés des caprices.
Le trouble s’en vient et découpe la toile grise
De courbes rieuses pour lâcher notre emprise.
Le décor s’installe et la pièce se joue
A la fois spectateur, et sur scène debout
L’esprit libre s’évade. Jouons. Soyons futiles.
L’ivresse de la vie, d’anis et volatile
Par les portes sucrées d’une cuillère, charge
La folie de l’absinthe, que je mettais en marge.
Que ma muse m’emporte, il me faut plus songer.
Les rêves colorent le cœur, Ô peintres en son âme
Fresques de l’infini aux champs de sésames.
Virevoltantes, chahutées de malice
Les couleurs se mélangent aux grés des caprices.
Le trouble s’en vient et découpe la toile grise
De courbes rieuses pour lâcher notre emprise.
Le décor s’installe et la pièce se joue
A la fois spectateur, et sur scène debout
L’esprit libre s’évade. Jouons. Soyons futiles.
L’ivresse de la vie, d’anis et volatile
Par les portes sucrées d’une cuillère, charge
La folie de l’absinthe, que je mettais en marge.