Je vous relate, ce jour, les faits,
D’incidents qui se sont passés,
Aux alentours d’un hopital,
Episodes, pas du tout banals.
Sujets franchement douloureux…
Allez savoir lequel des deux ?
Une petite rose dans un panier,
Par une génitrice délaissée,
Sur le perron horizontal,
Des urgences chirugicales.
Abandonner un nouveau né…
Moyen qui devrait être damné ?
Sous prétexte, d’une vie difficile
Ou du temps d’un plaisir facile.
Quel cœur ! accepte : cette déchirure ?
Négliger sa progéniture…
Où es-tu mère ? Voilà mes cris…
Où es-tu père ? Je suis une fille…
Un médecin l’a prise en salle,
Ausculter cette rose médiévale.
Emmaillotée d’une couverture,
En bonne santé , elle était pure.
Son avenir sera radieux…
Prise à son âge par un chanceux…
Qui se chargera de l’orphelin…
Sera aidé par le Divin.
Aimer un enfant en bas âge,
Est signe d’un merveilleux présage…
Enfant allaité par autrui,
Enfant au sentiment détruit…
Régler sentiment du petit
Qui doit être par les pères suivis.
Sur lui une prière dévolue,
Par le Seigneur entretenue.
Quant au deuxième évènement
Est plus banal, certainement.
Dans l’immeuble, au rez de chaussée,
Habitait une dame agée,
Avec sa petite fille ado
Dont mère avait tourné le dos.
Perturbée à cause des virées…
Orgueilleuse de stupidités…
Satisfaite d’adopter un chat,
De plaisir riait aux éclats.
Grand-mère ne pouvant retenir
La fille d’incertain devenir.
Finalement, chassée chez mère
Qui était avec elle sévère.
Le chat est resté chez vieille dame,
Dans une vraie luxure se pavane.
La femme d’un âge trop avancé,
A fini par un A V C.
Maitresse du chat en cavale,
Que faire pour le pauvre animal ?
L’esprit d’abandon est acquis.
Donc, il ne faut pas être surpris
La grossesse, pour elle, est un jeu
La voisine, le cœur entre deux.
Le chat, comme la rose, s’est trouvé,
Aux petites marches des escaliers.
Pour le chat la vie est d’instinct,
Il peut vivre dans tous les chemins.
Pour un humain, c’est plus complexe,
Une fragilité du cortex…
D’incidents qui se sont passés,
Aux alentours d’un hopital,
Episodes, pas du tout banals.
Sujets franchement douloureux…
Allez savoir lequel des deux ?
Une petite rose dans un panier,
Par une génitrice délaissée,
Sur le perron horizontal,
Des urgences chirugicales.
Abandonner un nouveau né…
Moyen qui devrait être damné ?
Sous prétexte, d’une vie difficile
Ou du temps d’un plaisir facile.
Quel cœur ! accepte : cette déchirure ?
Négliger sa progéniture…
Où es-tu mère ? Voilà mes cris…
Où es-tu père ? Je suis une fille…
Un médecin l’a prise en salle,
Ausculter cette rose médiévale.
Emmaillotée d’une couverture,
En bonne santé , elle était pure.
Son avenir sera radieux…
Prise à son âge par un chanceux…
Qui se chargera de l’orphelin…
Sera aidé par le Divin.
Aimer un enfant en bas âge,
Est signe d’un merveilleux présage…
Enfant allaité par autrui,
Enfant au sentiment détruit…
Régler sentiment du petit
Qui doit être par les pères suivis.
Sur lui une prière dévolue,
Par le Seigneur entretenue.
Quant au deuxième évènement
Est plus banal, certainement.
Dans l’immeuble, au rez de chaussée,
Habitait une dame agée,
Avec sa petite fille ado
Dont mère avait tourné le dos.
Perturbée à cause des virées…
Orgueilleuse de stupidités…
Satisfaite d’adopter un chat,
De plaisir riait aux éclats.
Grand-mère ne pouvant retenir
La fille d’incertain devenir.
Finalement, chassée chez mère
Qui était avec elle sévère.
Le chat est resté chez vieille dame,
Dans une vraie luxure se pavane.
La femme d’un âge trop avancé,
A fini par un A V C.
Maitresse du chat en cavale,
Que faire pour le pauvre animal ?
L’esprit d’abandon est acquis.
Donc, il ne faut pas être surpris
La grossesse, pour elle, est un jeu
La voisine, le cœur entre deux.
Le chat, comme la rose, s’est trouvé,
Aux petites marches des escaliers.
Pour le chat la vie est d’instinct,
Il peut vivre dans tous les chemins.
Pour un humain, c’est plus complexe,
Une fragilité du cortex…