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la pleine lune

#1
dans le coeur de la foret, a la nuit tombée, je m'assis par terre, je fermai les yeux et écoutai tous ces bruits magiques...

une chouette s'envola et me surpris, j'ouvris les yeux me retournai et vis une ombre dans l'obscurité des arbres, je me levai rapidement en demandant qui est là.

tu t'avancas à la clarté de la lune, et me dis: "bonsoir p'tit coeur" la brise souleva une mèche de mes cheveux.

cédant au merveilleux de l'instant, tu tendis ta main et la referma sur quelques mèches.tu t'approchas encore, comme si les cheveux que tu avais enroulé autours de tes doigts

formait une corde que j'étais en train de tirer.

maintenant, tu repoussa les cheveux qui me tombaient sur le visage. tandis que tes lèvres se rapprochaient des miennes, je frissonnai.

tu t'approchas de moi, doucement, tu tournas la tete, très légèrement, de sorte que tes lèvres m'éfleurent la joue, puis la tempe, je sentis mes jambes fondre sous moi.

mon corps etait sans force quand je me laissais glisser dans tes bras. rejetant la tete en arrière, je t'offris ma bouche. tu voulais la prendre avec douceur.

c'est ce que la nuit semblait imposer, avec ses brises parfumées et la musique envoutante de la mer contre les rochers.

tu me tenais dans tes bras d'une façon si douce, délicate, que j'avais l'impression que tu avais peur de me faire mal. le mince tissu de soie de mon peignoir etait frais sur la

chaleur de ma peau satinée.

mais comme tu buvais à mes lèvres de velours et que mon parfum t'ennivrais, tu m'attiras contre toi et te mis à me butiner. désespérément, avec une avidité que tu t'ignorais

jusqu'à présent.

aucune pensée rationnelle ne pouvais s'immiscer dans le flot de sensations dont je te submergais.

tu etais incapable de t'écarter de moi et d'empecher ta bouche d'en demander encore plus à la mienne. tu avais peur, peur que je disparaisse comme de la fumée si tu me lachais.

peur de ne plus ressentir ce que tu ressent.

mes mains tremblantes éffleuraient ton visage avant de plonger dans tes cheveux et de s'y attarder. tout mon etre se pressait contre ton corps puissant.

d'une voix haletante, je murmurais ton nom. tu t'écarta de moi, dans un baiser passionné, je te regardais dans les yeux, tu y vis le désir et l'envie que j'avais.

tu posa tes mains sur ma taille, je fermai les yeux. "faisons l'amour..." me murmuras tu d'une voix rauque, tu effleura mon cou du bout des lèvres. "je ne te ferais pas mal petit coeur."

tu posa tes lèvres sur les miennes, tu embrassa mes lèvres, qui se sont ouvertent sous les tiennes. elles sont si douces.

mes lèvres au gout fruité, te réchauffent, t'appaisent. au moment ou je pousse un soupir de plaisir, un frisson te parcouru. abandonnée dans tes bras, je respire rapidement, c'est

si bon d'etre blotti contre toi, de sentir tant de délicatesse mélangée à ce violent désir que je ne peux ignorer.

tu me caresse d'une main aussi douce que persuasive.

quand ta bouche s'éloigna pour vagabonder sur ma joue et ma gorge, je sentis mon corps se tendre malgré moi.

tu fermas les yeux. dans tes bras, je commençais à succomber. tu le sentais aussi surement que la brise nocturne, qui n'arrivait pas à appaiser tes tempes brulantes.

tu te laissa aller à l'envie dévorante de me caresser. mon coeur battait frénétiquement sous ta main.

ma peau avait la texture de la soie. tu en imagina le gout sur tes lèvres, sur ta langue. sentant durcir sous tes doigts la pointe de mes seins, tu poussas un petit gémissement et

reprit ma bouche avec une avidité décuplée.

la mienne était aussi exigeante, aussi désesepérée. mes mains se déplacaient sur toi avec la meme qurgence que les tiennes sur mon corps.

prise de vertige, je tentai de retrouver mon souffle. je te dis d'une voix rauque: " j'ai envie de toi..." tu ne me laissa pas finir ma phrase et me transporta comme si j'étais aussi

fragile que du cristal. je te demandais ou tu m'emmenai, et tu ne répondis d'um mouvement de tete.

une magnifique clairière, un immense arbre était planté au milieu, un rideau de feuillage en faisait le tour, je m'appercu que c'était un saule pleureur, mais il devait avoir des

miliers d'années... pour seule lumière, il y avais des bougies et des lucioles, c'était un endroit magique...

une couverture était étendue sur le sol, quelques bougies tout autour et des pétales de rose dégageait une magnifique odeur.

tu me déposa délicatement sur la couverture de soie. je restais silencieuse. ma respiration se fit soudainement plus rapide. c'était idiot d'etre tendue maintenant.

mais mes mains tremblèrent légèrement quand je les tendit pour t'enlacer. je te désirais et, cependant, la certitude paisible que je ressentais quelques instants plus tot s'étaient

évanouie, faisant place à une vague d'anxiété et de désir melés.

tu plongeas ton regard flamboyant dans le mien, tu pouvais y lire mes désirs, ma nervosité.

j'étais si fragile. c'était vital pour toi comme pour moi que tu fasse avant tout preuve de tendresse..

je nouai mes doigts aux tiens et pris une profonde inspiration. montre moi mon coeur... tu baissa la tete lentement pour m'embrasser. je te couvais des yeux.

et brusquement le temps s'arreta. il n'y avais pourtant que ta bouche sur la mienne. tu me caressa les cheveux, tes doigts entortillant une meche. promenant lentement tes lèvres

sur mon visage, tu sentis bientot ta nervosité se transformer en impatience. mais bien que tu me sente mons anxieuse, tu continua à m'embrasser lentement.

je t'entendis murmurer des paroles réconfortantes, des promesses.

ta voix grave me faisait flotter. je souris, tandis que ma bouche se tendait vers la tienne. avec des gestes très doux, tu me fis glisser le peignoir de mes épaules je me delectais de

la sensation de tes lèvres sur ma peau nue.

je t'enlevais ta chemise, tu te mis à gémir lorsque mes mains se posèrent sur ton dos nu.

domptant non sans mal ta frénésie, tu ouvris mon peignoir. ma peau t'attirais comme le nectar attire les abeilles, t'invitant à t'y désaltérer.

tandis que tu refermais les lèvres sur mon sein, le son étranglé qui sortit de ma gorge résonna comme un tonerre dans ta tete. doucement, tu te servis de ta langue et de tes

lèvres pour m'amener au degré suivant du plaisir, sentant tes propres passions te mordre, exigeant que tu te hate.

j'avais le vertige, mes paupières lourdes ne voulaient pas s'ouvrir. comment peux tu savoir à quel endroit précis où me toucher pour me faire perdre le souffle?

l'air était lourd du parfum des roses. la couverture se froissait, notre peau devenait humide sous les assaut de la passion.

soulevée par la magie de notre acte, je flottais, et mon souffle s'accelérait à chaque étape où tu me faisait monter. puis une chaleur torride fit irruption au plus profond de moi, avec

une telle violence et une telle rapidité que je poussai un cri et me débattit contre toi. "non, non, mon coeur, je..." ensuite un éclair, une déchirure lumineuse de plaisir me laissa

sans force, éblouie et tremblante.

" mon ange", tu enfonca tes poings dans le sol pour t'empecher de plonger en moi. il fallait attendre encore, ne pas me brusquer.

"tu es si douce". tu m'embrassa, t'ennivrant de mon souffle haletant. "tu es si douce... n'ai pas peur."

"je n'ai pas peur." je te tenais serré contre moi. ton coeur battait le tambour contre le mien, et ton corps était tellement tendu. "montre moi encore plus," chuchotais je. tu me ota

complètement le peignoir et admira mon corps.

abasourdi par la façon dont je réagissais à chaque baiser, au moindre éffleurement, tu te retins, savourant les plaisirs que je connaissais.

mon innocence était aussi la tienne.respirant à peine, le sang battait à tes tempes, tu me pénétra. sans un souffle, je murmurai ton nom alors que mes bras te serraient encore

plus fort.

le bref acces de douleur fut immédiatement adoucit par un plaisir plus grand, plus complet que ce que je n'avais jamais revé.

j'étais à toi, a toi, et je bougeais contre toi avec un instinct vieux comme le monde.

tu glissa plus profondément, m'emplissant et me conduisant tout en haut de cet ultime sommet. quand je pouusai un cri et que mon corps frémissant se tendis de toute son

énergie, tu enfouis ta tetes dans mes cheveux et te laissa aller...

tu écoutais mon coeur qui battait doucement. allongé sous toi, ta tete sur ma poitrine, je t'enlacais et te caressais les cheveux...


pour toi mon coeur...
ma source d'inspiration...
 
#3
waw il est super ton poéme je lé zé lit mot par mot vraiment il est long et biien bravo !! bonne continuation.Amitié bisou