- Quelle bonheur irais-je ébranlé par ces moments que j'aimerais partager -
Vision cachée du bonheur :
Quand par le froid, elle se blottie contre moi sous la couette,
Nous nous offrons des pirouettes de chaleur, inscrivant dans nos coeurs la joie au marqueur.
Quand, dès le matin on sent la texture de la neige arriver dans nos odeurs semé par nos ardeurs.
Quand par envie nous échangions les mots, qui nous ont unit à l'unisson jusque la folie,
Nous ressentons cette magie que l'ont éprouve, l'autre pour soi.
Un, avec toi.
UNIS
- Et pourtant j'ai vécu la bonté du mal -
Je t'ais vu épuisé mon coeur comme:
- J'ai vu le feu ravager des terres par ses flâmmes dont rien n'a résisté.
- L'air, dévastant les champs et les fôrèts, d'un courant que personne n'aurait pu affronter.
- J'ai senti le vent souffler mon corps comme s'il voulait re-créer un dessert,
comme cette terre aride qui chauffe les esprits au point de les piéger par manque d'air.
- Fatalitée libérée -
Depuis:
J'ai nagé l'océan de mes pensées pour que se noie ma rage,
Quelle me pardonne de n'être fait pour elle, je retourne à la plage.
Faire mourir cette envie de fuir comme unique désir.
Je vis mon mirage, car le seul qui soit, me fait écrire ses pages,
Et marque une époque de mon âge.
Vision cachée du bonheur :
Quand par le froid, elle se blottie contre moi sous la couette,
Nous nous offrons des pirouettes de chaleur, inscrivant dans nos coeurs la joie au marqueur.
Quand, dès le matin on sent la texture de la neige arriver dans nos odeurs semé par nos ardeurs.
Quand par envie nous échangions les mots, qui nous ont unit à l'unisson jusque la folie,
Nous ressentons cette magie que l'ont éprouve, l'autre pour soi.
Un, avec toi.
UNIS
- Et pourtant j'ai vécu la bonté du mal -
Je t'ais vu épuisé mon coeur comme:
- J'ai vu le feu ravager des terres par ses flâmmes dont rien n'a résisté.
- L'air, dévastant les champs et les fôrèts, d'un courant que personne n'aurait pu affronter.
- J'ai senti le vent souffler mon corps comme s'il voulait re-créer un dessert,
comme cette terre aride qui chauffe les esprits au point de les piéger par manque d'air.
- Fatalitée libérée -
Depuis:
J'ai nagé l'océan de mes pensées pour que se noie ma rage,
Quelle me pardonne de n'être fait pour elle, je retourne à la plage.
Faire mourir cette envie de fuir comme unique désir.
Je vis mon mirage, car le seul qui soit, me fait écrire ses pages,
Et marque une époque de mon âge.
