Comme les peintres j`ai mes modèles...
Assis dans cet autobus qui s`était immobilisé
Mes pensées se laissaient séduire de par ce qui l`entourait
Comme pour puiser de mon imagination chaque séquelle...
Les murs étaient gris et les gens aussi...
Les nuages annonçaient leurs larmes
Et les dames sortaient leurs parapluies
Je me trouvais à Amsterdam...
A son tour s`immobilisait le temps
Lorsque cette fille su captiver mon attention...
Submergé par son tout et sa beauté
Cette fille me subjuguait de par ce qu`elle dégageait...
Comme envouté par sa clareté
L`inspiration me venait...
De sa silhouette parfaite
A ses ses doigts de fées
Aussi pure qu`était-elle
Sur elle très lourd semblait se pencher cet horrible gris ciel...
Comme cette pluie, arnachiquement ces goutes d`encre, je lançais sur mon papier...
Je ne la quittais plus des yeux
Ne souhaitant manquer aucun instant de cette harmonie imitative des cieux
Les gens courraient pour s`abriter pendant qu`elle, exhibait sous cette pluie inexorable son indifférence...
Comme pour leur manifester d`un ton inévitable sa tendre différence...
Qu`elle était belle...
Cette fille aux cheveux bruns...
Qui pouvait presque laisser définir le contour de son visage doux-amer
Et la couleur de ses yeux verts...
Par sa démarche coquine et sereine...
Anodine d`un geste
Soudain se retournait-elle enfin....
Lorsque dans cette foule abîmée
Elle laissait transparaitre la courbe de ce visage aux airs familier...
..C`était la mienne...
...J`étais content.....
Assis dans cet autobus qui s`était immobilisé
Mes pensées se laissaient séduire de par ce qui l`entourait
Comme pour puiser de mon imagination chaque séquelle...
Les murs étaient gris et les gens aussi...
Les nuages annonçaient leurs larmes
Et les dames sortaient leurs parapluies
Je me trouvais à Amsterdam...
A son tour s`immobilisait le temps
Lorsque cette fille su captiver mon attention...
Submergé par son tout et sa beauté
Cette fille me subjuguait de par ce qu`elle dégageait...
Comme envouté par sa clareté
L`inspiration me venait...
De sa silhouette parfaite
A ses ses doigts de fées
Aussi pure qu`était-elle
Sur elle très lourd semblait se pencher cet horrible gris ciel...
Comme cette pluie, arnachiquement ces goutes d`encre, je lançais sur mon papier...
Je ne la quittais plus des yeux
Ne souhaitant manquer aucun instant de cette harmonie imitative des cieux
Les gens courraient pour s`abriter pendant qu`elle, exhibait sous cette pluie inexorable son indifférence...
Comme pour leur manifester d`un ton inévitable sa tendre différence...
Qu`elle était belle...
Cette fille aux cheveux bruns...
Qui pouvait presque laisser définir le contour de son visage doux-amer
Et la couleur de ses yeux verts...
Par sa démarche coquine et sereine...
Anodine d`un geste
Soudain se retournait-elle enfin....
Lorsque dans cette foule abîmée
Elle laissait transparaitre la courbe de ce visage aux airs familier...
..C`était la mienne...
...J`étais content.....
