Petit Shill a grandit, il est devenu fort
Petit garçon de sept ans, il vole vers son destin.
Tel un petit papillon qui sens venir sa fin,
Dans la vie à pleines dents, il mord.
Le regard perdu, parce qu'il ne voit plus,
Le petit Shill attend, patiemment sa maman.
Il ne voit pas le monde, il a perdu la vue,
Mais il sent son odeur, elle est là maintenant.
Tora et Tharamis apportent leur amour,
A leur fils maudit, selon la prophétie.
Tora espère, en secret, qu'un jour,
Son fils reverra la lumière de la vie.
Quelques jours après avoir fêté ses huit ans,
Le petit Shill ressent, une douleur intense.
Tora ne sait que faire pour soulager sa peine immense.
Le malheur s'abat sur une famille s'aimant.
Plus tard, Tharamis comprend, il ressent la douleur
Celle de tous ces gens, ces pauvres âmes qui meurent.
La prophétie disait que l'union de race,
Apporterait malheur et douleur sur ses traces.
Un jour, le petit Shill, de son lit se relève,
Il est encore fragile, mais son heure approche,
Celle où il devra combattre son ennemi si proche.
Il voit par la fenêtre, que le mal se relève.
Il n'a plus vraiment mal, il ne sent presque rien,
Il a peur, il s'emballe et son coeur s'éteint.
Il ne va pas mourir, il sait qu'il va renaître.
Il ne va pas mourir, mais survivre, peut-être...
Petit garçon de sept ans, il vole vers son destin.
Tel un petit papillon qui sens venir sa fin,
Dans la vie à pleines dents, il mord.
Le regard perdu, parce qu'il ne voit plus,
Le petit Shill attend, patiemment sa maman.
Il ne voit pas le monde, il a perdu la vue,
Mais il sent son odeur, elle est là maintenant.
Tora et Tharamis apportent leur amour,
A leur fils maudit, selon la prophétie.
Tora espère, en secret, qu'un jour,
Son fils reverra la lumière de la vie.
Quelques jours après avoir fêté ses huit ans,
Le petit Shill ressent, une douleur intense.
Tora ne sait que faire pour soulager sa peine immense.
Le malheur s'abat sur une famille s'aimant.
Plus tard, Tharamis comprend, il ressent la douleur
Celle de tous ces gens, ces pauvres âmes qui meurent.
La prophétie disait que l'union de race,
Apporterait malheur et douleur sur ses traces.
Un jour, le petit Shill, de son lit se relève,
Il est encore fragile, mais son heure approche,
Celle où il devra combattre son ennemi si proche.
Il voit par la fenêtre, que le mal se relève.
Il n'a plus vraiment mal, il ne sent presque rien,
Il a peur, il s'emballe et son coeur s'éteint.
Il ne va pas mourir, il sait qu'il va renaître.
Il ne va pas mourir, mais survivre, peut-être...