aquatique femme unique Somarienne au ciel, elle devienne la nuit de noce, du père Amien catastrophe la coutume qu'elle adopte coutume ronde, coutume Amandine le cercle joue, à la buvette mon fer férial mon fer férié inscrite entre nombre tendre.. et un bruit bruit tallent bruit sergent bruit concerto bruit adorant son déodorant.. à bise frimant.. effervescent.. content ne pas l'être elle t'éclipse, entre ses dents de joie riante formant conte mise à tante, elle devient flattante.. malgrés fermente elle compte.. deux à cinq.. puis comtesse ruisselante maman à moi maman pour nous deux parfois elle n'avait besoin de roi.. elle est allaitante elle sourit.. et nourrit.. la fin de la nuit.. elle glisse au charpente elle sort toute rose.. filant des causes et elle aime ne pas faire des liens ni à un sifflet.. ni aux actes d'un burin elle secoue elle tombe à genou elle danse le terme.. elle fait le fou la rue fleurisse d'elle même quand la tartine s'argente.. c'est son goût mieux que la tombée de la neige mieux que l'appuie à une fente beige accord à la rentrée des enfants de leurs cortège je sens qu'elle étai beige qu'elle fournit des nuages que sa robe trainait avec elle une flute qu'elle avance qu'elle peut.. et danse sa danse sortait les pièges anonymes aux couleurs du village elle fascine le doux neigre et la France.. lui était cortège