L'écho de mes mots
Sous l'ombre des étoiles, la nuit nous enserre,
Je me perds en mes songes, où l'âme se terre.
Je cherche en vain le sens, l'écho de ma présence,
Le vide m'envahit, lourde est ma conscience.
Dans le miroir du temps, mon reflet s'évanouit,
Et je me fonds en l'ombre, mon être s'amoindrit.
Les pensées se diluent dans un néant profond,
L'existence s'efface, tel un rêve sans fond.
Que suis-je en cet instant, qu'un souffle illusoire?
L'âme cherche son but, en un monde sans gloire.
L'absence de raison, l'oubli de ma nature,
Me plongent dans l'abîme, en une sombre allure.
Ô douce poésie, éclaire mon chemin,
Délivre-moi des doutes, des tourments inhumains.
Mais l'écho de mes mots se perd dans le silence,
Et le non-être alors triomphe de ma lance.
Ainsi, dans la nuit noire, je pleure l'existence,
Le vide me répond, sourd à mon espérance.
Et dans cette errance, je me fais étranger,
Un spectre sans écho, dans l'ombre allongé.
©Matthale 2024
Sous l'ombre des étoiles, la nuit nous enserre,
Je me perds en mes songes, où l'âme se terre.
Je cherche en vain le sens, l'écho de ma présence,
Le vide m'envahit, lourde est ma conscience.
Dans le miroir du temps, mon reflet s'évanouit,
Et je me fonds en l'ombre, mon être s'amoindrit.
Les pensées se diluent dans un néant profond,
L'existence s'efface, tel un rêve sans fond.
Que suis-je en cet instant, qu'un souffle illusoire?
L'âme cherche son but, en un monde sans gloire.
L'absence de raison, l'oubli de ma nature,
Me plongent dans l'abîme, en une sombre allure.
Ô douce poésie, éclaire mon chemin,
Délivre-moi des doutes, des tourments inhumains.
Mais l'écho de mes mots se perd dans le silence,
Et le non-être alors triomphe de ma lance.
Ainsi, dans la nuit noire, je pleure l'existence,
Le vide me répond, sourd à mon espérance.
Et dans cette errance, je me fais étranger,
Un spectre sans écho, dans l'ombre allongé.
©Matthale 2024