Jouons avec les corps….
Tout d’abord plantons le décor
Pour pouvoir jouer avec les corps
Car sans attendre votre accord,
Je vous narre l’histoire de mon cor.
Au son d’une cornemuse,
Pour que jamais mon record n’abuse
Et que mon corps ne m’use
Quand la chorégraphie m’amuse.
Car c’est quand ton corps danse
Que je suis en concordance
Change le corbeau en cygne,
Une corbeille de chance, un signe.
Et si le corporel doit être corrigé
L’incorrect serait un cormoran érigé,
Correspondant à l’oiseau au corset
Picorant une écorce trop corsée
Je ne suis que le petit cornichon
Veut que concorde ne devienne chiffon
Où bientôt l’on tirera la corde
Du corbillard de la discorde.
Il nous faut décorder les petites écorchures,
Pour édulcorer toutes ces vilaines morsures,
Obtenons la miséricorde, encore et encore
Restons encordés, non encornés aux scores.
Restons incorruptibles, évitons les corrompus
Ecorchons la corruption, refermons la cornue,
Soyons raccord contre tous ces pécores
Pour que notre décor soit un record plus fort.
Il opéra en juste au corps
Pour un ballet en corps à corps
Ces ballerines lui évitant les cors,
Quand résonnait le son du cor.
J’aurai pu parler de corps nus enfermés dans la cornue
J’aurai pu aussi vous dire que le décor n’était pas celui des cors
J’aurai pu vous dire que chez le podologue corrompu, fut mon cor rompu
J’aurai pu vous dire que pour faire un raccord, j’n’ai pas fait le record surtout sans votre accord **
Et bien sur quand le con cor danse, il ne fait pas la concordance
Mais cette danseuse au corps beau ne ressemble pas au noir corbeau
Et pour que jamais mon cor ne m’use, je joue de la cornemuse
Et sans être malsain, je ne vous narre pas ce cornichon.
Qui est celui du politicien dont le cor « es » pond.
Tout d’abord plantons le décor
Pour pouvoir jouer avec les corps
Car sans attendre votre accord,
Je vous narre l’histoire de mon cor.
Au son d’une cornemuse,
Pour que jamais mon record n’abuse
Et que mon corps ne m’use
Quand la chorégraphie m’amuse.
Car c’est quand ton corps danse
Que je suis en concordance
Change le corbeau en cygne,
Une corbeille de chance, un signe.
Et si le corporel doit être corrigé
L’incorrect serait un cormoran érigé,
Correspondant à l’oiseau au corset
Picorant une écorce trop corsée
Je ne suis que le petit cornichon
Veut que concorde ne devienne chiffon
Où bientôt l’on tirera la corde
Du corbillard de la discorde.
Il nous faut décorder les petites écorchures,
Pour édulcorer toutes ces vilaines morsures,
Obtenons la miséricorde, encore et encore
Restons encordés, non encornés aux scores.
Restons incorruptibles, évitons les corrompus
Ecorchons la corruption, refermons la cornue,
Soyons raccord contre tous ces pécores
Pour que notre décor soit un record plus fort.
Il opéra en juste au corps
Pour un ballet en corps à corps
Ces ballerines lui évitant les cors,
Quand résonnait le son du cor.
J’aurai pu parler de corps nus enfermés dans la cornue
J’aurai pu aussi vous dire que le décor n’était pas celui des cors
J’aurai pu vous dire que chez le podologue corrompu, fut mon cor rompu
J’aurai pu vous dire que pour faire un raccord, j’n’ai pas fait le record surtout sans votre accord **
Et bien sur quand le con cor danse, il ne fait pas la concordance
Mais cette danseuse au corps beau ne ressemble pas au noir corbeau
Et pour que jamais mon cor ne m’use, je joue de la cornemuse
Et sans être malsain, je ne vous narre pas ce cornichon.
Qui est celui du politicien dont le cor « es » pond.
