Je vis d'une ébauche à 50 degrés, Et j'ai froid. Mais je ne suis que Praida. La musique fais vibrer, Cette maison faites de bois. Je finis par hurler. Mais je ne suis que Praida. Avec moi ce trône, D'un roi gay victorieux, De l'imaginaire . Mais je ne suis que Praida. Saute tel une ligne perpendiculaire, A ma fesse gauche. Tu l'as perces, Et tout éclate. Mais je ne suis que Praida. Le bois se fragilise, Et la maison ce détruit. La musique ce libère et devient, Multicolore. Mais je ne suis que Praida. Je marche tel un roi, De la pop gay. Mais je ne suis que Praida. Je retourne loin dans le temps, Celui où le cow-boy se faisait prendre par derrière, Où ils dansaient du country sur de l'electro, Et pleurait face à "sauver Willy". Mais que dire? Je ne suis que Praida...