main dans la main, Il était la prunelle de mes yeux, le Prince de ma vie
Je l'appelle encore mon Père quand me submerge Le souci
Ou la joie plein la tête , il était le courage , la bonté
Je l'appelle pour l'Amour qui vit au ciel de ma pensée
Il traverse les soleils et les averses prés de sa fille
Je vénére , je l'implore , c'est le seul Homme que j 'ai 'adoré
Il est tapi dans mon cœur ,à deux ,nous sommes plus forts
Contre les aléas qui frappent , de sa tombe et en guenilles
il surgit d'un voile de brume, me caresse de sa peau brune
Nous marchons, main dans la main, je redeviens la poupée
Je me fais belle pour le captiver, il trouve mes yeux verts
Verts comme ceux de Mére , "ils te sont restés , je les ai tant aimé"
"Mais tes cheveux sont blancs , fillette ! je n'ai pas de notion de temps
En pas de quatre nous baladons , bras dessus , bras dessous, réjouis ,
Il était le complice de ma vie, un sucre d'orge , du miel , un fondant
Je lui parle de la France , de ses ennuis, du travail des nôtres ,des amis
'
Dans mes veines coule son sang tel un énorme baiser
Et quand à mon oreille , il murmure ; "je dois m'en retourner"
A genoux sur sa pierre , s'est effacé son visage en silence
Je l'appelle encore,; " Reviens ,Papa,".. il n'est plus là, alors je le pense..
Je l'appelle encore mon Père quand me submerge Le souci
Ou la joie plein la tête , il était le courage , la bonté
Je l'appelle pour l'Amour qui vit au ciel de ma pensée
Il traverse les soleils et les averses prés de sa fille
Je vénére , je l'implore , c'est le seul Homme que j 'ai 'adoré
Il est tapi dans mon cœur ,à deux ,nous sommes plus forts
Contre les aléas qui frappent , de sa tombe et en guenilles
il surgit d'un voile de brume, me caresse de sa peau brune
Nous marchons, main dans la main, je redeviens la poupée
Je me fais belle pour le captiver, il trouve mes yeux verts
Verts comme ceux de Mére , "ils te sont restés , je les ai tant aimé"
"Mais tes cheveux sont blancs , fillette ! je n'ai pas de notion de temps
En pas de quatre nous baladons , bras dessus , bras dessous, réjouis ,
Il était le complice de ma vie, un sucre d'orge , du miel , un fondant
Je lui parle de la France , de ses ennuis, du travail des nôtres ,des amis
'
Dans mes veines coule son sang tel un énorme baiser
Et quand à mon oreille , il murmure ; "je dois m'en retourner"
A genoux sur sa pierre , s'est effacé son visage en silence
Je l'appelle encore,; " Reviens ,Papa,".. il n'est plus là, alors je le pense..
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