Mon esprit chancelle quand je te vois.Un désir charnel s’éveille en moi.Mes yeux sont éblouis par ta lumière.Dans mon esprit mes mains caressent ta longue crinière.Mes oreilles écoutent la douce mélodie de ta voix.Ma bouche frétille,elle a peur,se cache devant toi.Des bataillons d’anges s’inclinent devant ta beauté.Le miroir d’Aphrodite lui ment depuis que tu es née.Sur ton berceau se sont pressées toutes les fées.
Cupidon ce batard m’a transpercé de toutes ses flèches.J’aimerai bien le retrouver et lui casser la gueule .Tu n’aimes pas être aimée.Je déteste aimer.C’est vrai je t’aime mais face à ma tristesse je suis seul.Il t’a mis dans ma tête,je ne peux plus t’oublier.Il m’a injecté le vénin de l’Amour.Quand je te vois,un frisson m’envahit tout entier .Mon sang s’arrête dans me veines tant je suis atteré.
Voilà c’est fait.Je t’ai dit que je t’aimais.j’ai la honte dans le cœur.A vrai dire j’ai peur.Comment ais je pu te réveler ma blessure ?Maintenant je suis là,cœur à vif,à nu.Pourquoi confier si vite un aveu que je devais taire ?Et surtout pourquoi l’avoir si mal fait ?J’aurais dû mieux sonder ses sentiments.J’aurais dû ne livrer qu’un morceau de voile,attendre.Attendre la douce brise et voguer sur une mer sans danger.C’est trop tard.J’ai laissé les vents diaboliques déchirer mes voiles.Je suis là au milieu de l’océan.Je suis tout seul,j’ai peur.Je m’engloutis dans les abîmes de l’Océan.Cupidon s’acharne encore sur moi,il consume mon cœur de ses feux .Seule ta voix pourrait éteindre l’incendie.Voilà…J’ai imploré,j’ai écrit.Je déteste t'aimer.Mais je ne te déteste pas.Je t'aime trop.
Cupidon ce batard m’a transpercé de toutes ses flèches.J’aimerai bien le retrouver et lui casser la gueule .Tu n’aimes pas être aimée.Je déteste aimer.C’est vrai je t’aime mais face à ma tristesse je suis seul.Il t’a mis dans ma tête,je ne peux plus t’oublier.Il m’a injecté le vénin de l’Amour.Quand je te vois,un frisson m’envahit tout entier .Mon sang s’arrête dans me veines tant je suis atteré.
Voilà c’est fait.Je t’ai dit que je t’aimais.j’ai la honte dans le cœur.A vrai dire j’ai peur.Comment ais je pu te réveler ma blessure ?Maintenant je suis là,cœur à vif,à nu.Pourquoi confier si vite un aveu que je devais taire ?Et surtout pourquoi l’avoir si mal fait ?J’aurais dû mieux sonder ses sentiments.J’aurais dû ne livrer qu’un morceau de voile,attendre.Attendre la douce brise et voguer sur une mer sans danger.C’est trop tard.J’ai laissé les vents diaboliques déchirer mes voiles.Je suis là au milieu de l’océan.Je suis tout seul,j’ai peur.Je m’engloutis dans les abîmes de l’Océan.Cupidon s’acharne encore sur moi,il consume mon cœur de ses feux .Seule ta voix pourrait éteindre l’incendie.Voilà…J’ai imploré,j’ai écrit.Je déteste t'aimer.Mais je ne te déteste pas.Je t'aime trop.
