Un jour où je visitais la magnifique cathédrale d’Albi un grand mariage avait lieu et un monsieur accompagné de sa guitare chantait une chanson que je ne connaissais pas mais qui m’avait profondément touché ;Rentré à la maison j’ai écrit des couplets supplémentaires sur le même thème, plus tard j’ai découvert que cette chanson était de Mannick vous pouvez l’écouter
Je connais des bateaux qui suivent le courant
Ballottés par les flots au gré de tous les vents
Je connais des bateaux qui cherchent l’horizon
Tels des oiseaux perdus, ne sachant où ils vont
Je connais des bateaux qui ne se parlent plus
Qu’à grands coups de sirène comme des chiens perdus
Je connais des bateaux qui n’ont plus de repères
Ils sont déboussolés, naufragés de l’enfer
Je connais des bateaux qui n’ont jamais d’histoire
Naviguent bord à bord mais sans jamais se voir
Et sont tout étonnés quand un jour l’un d’entre eux
D’un violent coup de barre à l’autre dit adieu
Je connais des bateaux qui vont de port en port
Infidèles et volages sans souci de leur sort
Je connais des bateaux qui sont prés de mourir
Car ils ne savent plus ce que s’aimer veut dire
Je connais des bateaux après un bel orage
Qui voyant l’arc en ciel en sont plein de courage
Pour aller de l’avant affronter l’océan
Jouant avec le vent comme les goélands
Je connais des bateaux dont les jardins fleuris
Ont embaumé les cœurs de tant de gens meurtris
Qui ont trouvé alors le sourire et la vie
Pour suivre leur chemin qui à nouveau fleuri
Je connais des bateaux qui rayonnent sans cesse
Etraves d’allégresse et voiles de tendresse
Si rayonnant de joie dans l’éclat de leurs feux
Qu’on ne peut vraiment y voir que l’image de Dieu
Je connais des bateaux qui s’étaient déchirés
Par un signe du ciel ils se sont retrouvés
Guidés par les étoiles et par deux réunis
Chaque jour maintenant ils s’aiment pour la vie
Jacou
Je connais des bateaux qui suivent le courant
Ballottés par les flots au gré de tous les vents
Je connais des bateaux qui cherchent l’horizon
Tels des oiseaux perdus, ne sachant où ils vont
Je connais des bateaux qui ne se parlent plus
Qu’à grands coups de sirène comme des chiens perdus
Je connais des bateaux qui n’ont plus de repères
Ils sont déboussolés, naufragés de l’enfer
Je connais des bateaux qui n’ont jamais d’histoire
Naviguent bord à bord mais sans jamais se voir
Et sont tout étonnés quand un jour l’un d’entre eux
D’un violent coup de barre à l’autre dit adieu
Je connais des bateaux qui vont de port en port
Infidèles et volages sans souci de leur sort
Je connais des bateaux qui sont prés de mourir
Car ils ne savent plus ce que s’aimer veut dire
Je connais des bateaux après un bel orage
Qui voyant l’arc en ciel en sont plein de courage
Pour aller de l’avant affronter l’océan
Jouant avec le vent comme les goélands
Je connais des bateaux dont les jardins fleuris
Ont embaumé les cœurs de tant de gens meurtris
Qui ont trouvé alors le sourire et la vie
Pour suivre leur chemin qui à nouveau fleuri
Je connais des bateaux qui rayonnent sans cesse
Etraves d’allégresse et voiles de tendresse
Si rayonnant de joie dans l’éclat de leurs feux
Qu’on ne peut vraiment y voir que l’image de Dieu
Je connais des bateaux qui s’étaient déchirés
Par un signe du ciel ils se sont retrouvés
Guidés par les étoiles et par deux réunis
Chaque jour maintenant ils s’aiment pour la vie
Jacou
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