Pourquoi se voiler la face ?
Nos sentiments sont alimentés par notre peur,
Nous empêchant d'accéder a notre place,
Depuis notre univers est couvert de noirceurs.
Souvent on espère,
Mais jamais on ne voit ce qui nous saute aux yeux,
Notre monde est guidé par nos illusions de bien être,
Et en fin de compte la seule échappatoire est d'espérer à deux.
Pourquoi faire croire que l'on est heureux,
Alors que nous gardons tout,
Malheur, Tristesse, mépris, nous croyons que sans ceux là nous nous sentirions mieux,
Notre égoïsme nous a tous rendus fous.
Vivre dans le passé,
Une bonne manière de ne pas fondre en larmes,
Noyé dans les regrets,
Notre présent ne voit que ce qui touche notre paroxysme.
Etant aveuglé,
Notre conscience nous mène à l'insomnie,
En essayant de se convaincre que l'on a bien fait,
On se dit que ce n'est pas encore la fin de notre vie.
Je me déteste,
Nous nous détestons,
Vous vous détestez
Cela laisse peu de place pour la compassion.
Est-ce là le bonheur ?
Alors je ne chercherais plus ma vue.
Car je préfère vivre en tant que rêveur,
Plutôt que de vous voir tous marcher dans la rue.
Je suis un humain, cécité de nature, tout comme vous...
Nos sentiments sont alimentés par notre peur,
Nous empêchant d'accéder a notre place,
Depuis notre univers est couvert de noirceurs.
Souvent on espère,
Mais jamais on ne voit ce qui nous saute aux yeux,
Notre monde est guidé par nos illusions de bien être,
Et en fin de compte la seule échappatoire est d'espérer à deux.
Pourquoi faire croire que l'on est heureux,
Alors que nous gardons tout,
Malheur, Tristesse, mépris, nous croyons que sans ceux là nous nous sentirions mieux,
Notre égoïsme nous a tous rendus fous.
Vivre dans le passé,
Une bonne manière de ne pas fondre en larmes,
Noyé dans les regrets,
Notre présent ne voit que ce qui touche notre paroxysme.
Etant aveuglé,
Notre conscience nous mène à l'insomnie,
En essayant de se convaincre que l'on a bien fait,
On se dit que ce n'est pas encore la fin de notre vie.
Je me déteste,
Nous nous détestons,
Vous vous détestez
Cela laisse peu de place pour la compassion.
Est-ce là le bonheur ?
Alors je ne chercherais plus ma vue.
Car je préfère vivre en tant que rêveur,
Plutôt que de vous voir tous marcher dans la rue.
Je suis un humain, cécité de nature, tout comme vous...