L’ombre est passagère,
La vie est éphémère,
La pénombre est étrangère,
N’est-ce pas Saint Omer ?
L’ombre suit son Maître,
Dans l’ombre totalement elle s’efface,
Elle se dédouble, se multiplie en trois puis en quatre pour renaître,
Elle ne domine plus l’espace.
Avec le soleil, elle fait surface,
Ombre ou silhouette ?
Pile ou face ?
Ou simple girouette ?
L’ombre qui se balade comme une brouette,
L’on ne peut nullement l’appréhender tel un mirage,
Changeante comme une pirouette,
Et que l’on se retrouve à la renverse, lorsqu’on rate un virage.
Telle l’image des flots sur un rivage,
Qui finit par s’éteindre telle une cigarette,
Une ombre que l’on ne reconnait plus quand on la dévisage,
Et qui n’arrive nullement à voler la vedette ne serait-ce à la sauvette.
La vie est éphémère,
La pénombre est étrangère,
N’est-ce pas Saint Omer ?
L’ombre suit son Maître,
Dans l’ombre totalement elle s’efface,
Elle se dédouble, se multiplie en trois puis en quatre pour renaître,
Elle ne domine plus l’espace.
Avec le soleil, elle fait surface,
Ombre ou silhouette ?
Pile ou face ?
Ou simple girouette ?
L’ombre qui se balade comme une brouette,
L’on ne peut nullement l’appréhender tel un mirage,
Changeante comme une pirouette,
Et que l’on se retrouve à la renverse, lorsqu’on rate un virage.
Telle l’image des flots sur un rivage,
Qui finit par s’éteindre telle une cigarette,
Une ombre que l’on ne reconnait plus quand on la dévisage,
Et qui n’arrive nullement à voler la vedette ne serait-ce à la sauvette.