Fougues brulantes
Solitaire, je le suis parfois,
Saisie par les vagues de mes émois,
Mes pas s’enfoncent, je me noie.
Quand une brulure se fait sentir,
Sur ma peau ne pouvant que rougir,
Celle-ci, je ne saurai la décrire.
Sa main s’est posée sur épaule,
Alors que j’ai senti glissée mon étole,
Toujours et un peu plus, il me frôle.
Dans sa fougue, il m’entraîne,
Rien entre nous ne nous freine,
Entre ses bras, je rêve d’être sa reine.
Auprès de lui, des frissons prennent mon corps,
Les fureurs de nos gestes trouvent leurs accords,
À la lueur de ce jour, je veux l’aimer encore.
Pourvu que nos fougues soient ardentes,
Nos fusions furent si évidentes,
Prés de lui, la passion devient des fougues brulantes.
Solitaire, je le suis parfois,
Saisie par les vagues de mes émois,
Mes pas s’enfoncent, je me noie.
Quand une brulure se fait sentir,
Sur ma peau ne pouvant que rougir,
Celle-ci, je ne saurai la décrire.
Sa main s’est posée sur épaule,
Alors que j’ai senti glissée mon étole,
Toujours et un peu plus, il me frôle.
Dans sa fougue, il m’entraîne,
Rien entre nous ne nous freine,
Entre ses bras, je rêve d’être sa reine.
Auprès de lui, des frissons prennent mon corps,
Les fureurs de nos gestes trouvent leurs accords,
À la lueur de ce jour, je veux l’aimer encore.
Pourvu que nos fougues soient ardentes,
Nos fusions furent si évidentes,
Prés de lui, la passion devient des fougues brulantes.
