Deux roses s'offrent à mes yeux
Tellement semblable et pourtant
Leurs cœurs ont si longtemps
Peut être du supporter les gens qui ne voient qu'avec leurs yeux
Et qui ne grattent la surface que pour flatter leurs ego
Ils essayent peut être d'attirer leur sympathie
Moi qui ne les comprends pas
M'avance peut être d'un trop grand pas
En laçant sur ce papier
Ce qui me vaudrait d'être étiqueter
Et de me faire renvoyer
Dans un coin sombre d'où leur pensée
Ne vont sans une armure de mépris
Mais mon esprit n'aura pas regretter
D'afficher mes pensée a ces deux roses perlées
D'une impressionnante complexité
Et pourtant qui me font ressentir une sympathie
Surement non-partagé, mais rien de plus normale
Pour cette âme poétique à ses heures perdues
Et qui laisse vagabonder ses pensées
A la vue de deux roses nacrées
Tellement semblable et pourtant
Leurs cœurs ont si longtemps
Peut être du supporter les gens qui ne voient qu'avec leurs yeux
Et qui ne grattent la surface que pour flatter leurs ego
Ils essayent peut être d'attirer leur sympathie
Moi qui ne les comprends pas
M'avance peut être d'un trop grand pas
En laçant sur ce papier
Ce qui me vaudrait d'être étiqueter
Et de me faire renvoyer
Dans un coin sombre d'où leur pensée
Ne vont sans une armure de mépris
Mais mon esprit n'aura pas regretter
D'afficher mes pensée a ces deux roses perlées
D'une impressionnante complexité
Et pourtant qui me font ressentir une sympathie
Surement non-partagé, mais rien de plus normale
Pour cette âme poétique à ses heures perdues
Et qui laisse vagabonder ses pensées
A la vue de deux roses nacrées