FEMMES DU MONDE
*INTRO SOLO : PIANO.
Comme les abats d’un sourire
Et de quelques souvenirs
Elles se ressemblent toutes
Il y à dans le fond de leurs yeux
Quelque chose de curieux
Qui s’amuse, qui pétille et qui s’intille
Crois moi, pour le simple plaisir
De te faire souffrir…
Elles joueront avec leurs corps, sans craindre de l’user
Elles te dévoileront au fil du temps, une attitude osée
Elles ne seront pas vraiment choquantes
Juste assez provocantes, pour t’aguicher
*REFRAIN X1 :
*Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Faisant semblant, de te connaître d’ailleurs
Elles t’allumeront le cœur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
C’est bien par des regards, de chiennes en chaleurs
Qu’elles accompliront leurs devoirs, pour ton malheur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Elles ressemblent comme deux goûtes d’eau, à ma propre femme
Moi, qui la croyais pourtant si différente, pour ne pas dire ; unique !
Elles savent d’une façon convaincante
Te faire comprendre, que ce sont elles qui commandent
Elles te chuchoteront toutes leurs envies
Te feront découvrir pour une nuit, parfois pour la vie
Que sans elles, tu vivais autrement
Mais qu’avec elles, c’est différent
Elles te diront, d’une voix plus douce que le miel
D’une voix plus chaude, que le soleil
Qu’il n’y à que toi, qui compte pour elles
Elles te promettront qu’elles t’aiment
Plus que tout au monde…
Qu’elles te veulent pour mari, le père de leurs enfants
*REFRAIN X1 :
*Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Faisant semblant, de te connaître d’ailleurs
Elles t’allumeront le cœur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
C’est bien par des regards, de chiennes en chaleurs
Qu’elles accompliront leurs devoirs, pour ton malheur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Elles ressemblent comme deux goûtes d’eau, à ma propre femme
Moi, qui la croyais pourtant si différente, pour ne pas dire ; unique !
Une fois mariée elles te diront, qu’elles sont heureuses
Qu’elles n’avaient jamais vécus, ce qu’elles vivent avec toi
Elles te feront même des confidences croustillantes
A propos de ta belle famille, mais elles n’auront pas le choix
Par peur et par crainte, elles feront semblant de t’épauler
Mais en faite, tu ne seras jamais accepté
Passé quinze ou vingt ans avec elles
Tu deviendras un problème
Leurs proches, et surtout toute leur famille voudront t’éliminer
Aux yeux de tes enfants, te discréditer
Te faire passer pour un alcoolique, un drogué
Pour quelqu’un, qui ne sait que frapper
*REFRAIN X1 :
*Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Faisant semblant, de te connaître d’ailleurs
Elles t’allumeront le cœur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
C’est bien par des regards, de chiennes en chaleurs
Qu’elles accompliront leurs devoirs, pour ton malheur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Elles ressemblent comme deux goûtes d’eau, à ma propre femme
Moi, qui la croyais pourtant si différente, pour ne pas dire ; unique !
Plus tard… Elles entameront une procédure de divorce
Histoire de dire que tout est de ta faute
Elles se feront passer pour des femmes
Réservées, timides et si gentilles
On se débarrassera de toi, le mari aimant mais dérangeant
Et on leur conseillera, de prendre un amant
Pendant que toute ta vie, bascule dans le vide et l’horreur
Leurs amants joueront aux grands seigneurs, avec leur pognon
Ils leurs feront croire, sous diverses apparences au bonheur
Grâce à ta belle famille, ta femme pensera à d’autres horizons
Elle en oubliera toutes les promesses, qu’elle a pu te faire
Manipuler et désabuser elle oubliera même ; son rôle de mère
*REFRAIN X2 :
*Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Faisant semblant, de te connaître d’ailleurs
Elles t’allumeront le cœur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
C’est bien par des regards, de chiennes en chaleurs
Qu’elles accompliront leurs devoirs, pour ton malheur
Femmes du monde et pyromanes
Femmes du monde et nymphomanes
Elles ressemblent comme deux goûtes d’eau, à ma propre femme
Moi, qui la croyais pourtant si différente, pour ne pas dire ; unique !
*LE FINAL : SOLO PIANO.