Tout d'abord, je veux que vous sachiez que ce poème n'a pas été très travaillé, en fait pas du tout, c'est simplement venu sur le moment, alors ne soyez pas trop critiques
Couché
Couché sur ce lit
Tu attends
Que je te rejoigne
Tu espères me faire jouir
Et tu ne tiens plus en place
Ton corps brûle de désir
Et tu ne me laisse pas de glace
Et pourtant
C'est la même chose pour moi
Je n'en peux plus de te voir
Si peu habillé
Si excité
Dans cette position
Qui ne me laisse
Vraiment pas de glace
Tu prends des airs
Des airs de séducteur
Ne me laissant guère paraître
Que tu ne peux plus attendre
Calmement, je te rejoins
Incapable de rester là
Je me blottis dans tes bras
Et tu commences
À me déshabiller
Avec tendresse
Puis, plus tard,
Avec une ardeur déchaînée
Tu me dis des mots doux
Des mots chauds
Et rien qu'en y pensant,
J'ai des frissons
Qui parcourent tout mon corps
Mon corps brûlant
D'un désir impatient
Nous nous découvrons
Peu à peu, à l'unisson
Pendant que nos langues
Se caressent sans aucun son
Puis, sans m'avertir,
Tu m'enlèves le peu de vêtements
Qu'il me restait
Tes doigts parfaits caressent
Ma peau de déesse
Je frémis sous tes caresses
Puis te rend la pareille
Ce que tu es loin de détester
Tu enlèves tes boxers,
Le reste, je ne peux le décrire
Car je ne saurais comment
Mais ce doit être magnifique
Vu des yeux de mes treize ans
Sans trop savoir comment,
Nous nous unissons
L'un à l'autre, dans un frisson
Puis nous parcourons
Les délices tant convoités
De cette nouvelle union
Couché sur ce lit
Tu attends
Que je te rejoigne
Tu espères me faire jouir
Et tu ne tiens plus en place
Ton corps brûle de désir
Et tu ne me laisse pas de glace
Et pourtant
C'est la même chose pour moi
Je n'en peux plus de te voir
Si peu habillé
Si excité
Dans cette position
Qui ne me laisse
Vraiment pas de glace
Tu prends des airs
Des airs de séducteur
Ne me laissant guère paraître
Que tu ne peux plus attendre
Calmement, je te rejoins
Incapable de rester là
Je me blottis dans tes bras
Et tu commences
À me déshabiller
Avec tendresse
Puis, plus tard,
Avec une ardeur déchaînée
Tu me dis des mots doux
Des mots chauds
Et rien qu'en y pensant,
J'ai des frissons
Qui parcourent tout mon corps
Mon corps brûlant
D'un désir impatient
Nous nous découvrons
Peu à peu, à l'unisson
Pendant que nos langues
Se caressent sans aucun son
Puis, sans m'avertir,
Tu m'enlèves le peu de vêtements
Qu'il me restait
Tes doigts parfaits caressent
Ma peau de déesse
Je frémis sous tes caresses
Puis te rend la pareille
Ce que tu es loin de détester
Tu enlèves tes boxers,
Le reste, je ne peux le décrire
Car je ne saurais comment
Mais ce doit être magnifique
Vu des yeux de mes treize ans
Sans trop savoir comment,
Nous nous unissons
L'un à l'autre, dans un frisson
Puis nous parcourons
Les délices tant convoités
De cette nouvelle union