le poème médaillé d'or du concours :
Une étoile filante, la lampe magique, peu importe votre choix, vous avez droit à un vœu et juste un seul, lequel?
soyez créatifs et poétiques.
Type de rime : Libres, mais obligatoires
Longueur des strophes 4 ou 6 vers
Nombre de vers maximum : 48
Nombre de vers minimum : 16
Contrainte du poème :
Maximum 3 fautes d'orthographe
Si une des conditions si dessus n'est pas respectée, cela entrainera une annulation du poème systématique et sans justification (0)
Information pour les juges :
Attention aux fautes d'orthographe.
chef de jury : isa90
est :
Boites à Thé
A londres, savez-vous que les génies,
Habitent les boites élégantes où l’on range le thé,
Et vous apostrophent d’un air flegmatique et poli,
Pour, gentlemen, vous offrir des vœux de félicité.
C’est ainsi qu’un jour, dans mon Orange-Cannelle,
Je vis apparaître une tête aux yeux chafouins,
Proposant d’exaucer le vœu d’un pauvre mortel
Un seul me dis-je ? Palsembleu, quel radin !…
Quand dans les histoires on vous en offre trois,
Celui-ci ne voulut rien entendre de ce fait avéré,
Et réitéra son offre, d’un seul choix.
Flairant l’embrouille, je pris le temps d’y penser.
La fortune, l’amour, la gloire, la santé,
Comment ne pas vouloir exaucer tout ces désirs
Et profiter pleinement de cette opportunité
Mais que faire quand on ne peut choisir ?
Mon bon génie aux poches pleines d’oursins,
Me voyant soudain sourire d’un air malin,
Me dit, si votre vœu est d’en demander trois,
Sachez que ceci va à l’encontre de nos lois.
Non fis-je, point du tout Mais voyez-vous, cher ami,
J’ai pour la boisson où vous avez élu domicile,
Une grande prédilection, une telle envie
Que mon vœu serait de posséder tout le thé de votre Île.
Et c’est ainsi que je fis d’une pierre deux coups!
Je ne manque plus de ma boisson préférée,
Et lorsque j’ouvre une nouvelle boite, d’un air filou
J’apprécie de rencontrer un nouveau génie du thé!
A londres, savez-vous que les génies,
Habitent les boites élégantes où l’on range le thé,
Et vous apostrophent d’un air flegmatique et poli,
Pour, gentlemen, vous offrir des vœux de félicité.
C’est ainsi qu’un jour, dans mon Orange-Cannelle,
Je vis apparaître une tête aux yeux chafouins,
Proposant d’exaucer le vœu d’un pauvre mortel
Un seul me dis-je ? Palsembleu, quel radin !…
Quand dans les histoires on vous en offre trois,
Celui-ci ne voulut rien entendre de ce fait avéré,
Et réitéra son offre, d’un seul choix.
Flairant l’embrouille, je pris le temps d’y penser.
La fortune, l’amour, la gloire, la santé,
Comment ne pas vouloir exaucer tout ces désirs
Et profiter pleinement de cette opportunité
Mais que faire quand on ne peut choisir ?
Mon bon génie aux poches pleines d’oursins,
Me voyant soudain sourire d’un air malin,
Me dit, si votre vœu est d’en demander trois,
Sachez que ceci va à l’encontre de nos lois.
Non fis-je, point du tout Mais voyez-vous, cher ami,
J’ai pour la boisson où vous avez élu domicile,
Une grande prédilection, une telle envie
Que mon vœu serait de posséder tout le thé de votre Île.
Et c’est ainsi que je fis d’une pierre deux coups!
Je ne manque plus de ma boisson préférée,
Et lorsque j’ouvre une nouvelle boite, d’un air filou
J’apprécie de rencontrer un nouveau génie du thé!
par : Légende
