A la manière de Georges Sand
Aujourd’hui il fait chaud et
Depuis quelques jours j’ai une envie folle
De me manger une glace,
D’avaler cette matière tellement crémeuse et blanchâtre
Qu’est la crème, de préférence à la vanille
Mais pas tout d’un coup, en prenant mon temps
Sans en perdre une goutte
Et toi aussi, parce que tu aimes lécher mais
Tu dois faire attention, car avec tes dents c’est assez mal-
Sain, ça te titille. À chaque lapement, une chaleur monte
En toi et pour moi aussi d’ailleurs
Et c’est tellement agréable, tellement bon
J’en pleure et du coup
Je mouille, je trempe mon
Visage de larmes et tu en ries comme un
Con! Je me sens bien, j’ai du plaisir. Puis tu as voulu
Parler un peu, tu voulais partir en vacances. Là c’était vraiment
Me prendre par ce que j'aime. T'as
Compris que dans mon cœur, c’est là que j’ha-
Bite, le Nirvana de mes désirs les plus profonds. Tu me connais tellement
Et lorsque tu as quelque chose en tête
Tu l’enfonces si profondément
Dans mon esprit, que je ne peux qu’accepter d’y vivre
Je prend les va-et-vient
Pour y trouver du travail,
Je ne vais plus tarder à
Te prendre la tête avec ça, déjà, je sens mon visage se ré-
Jouir et toi aussi du même éclat de plaisir que moi
À l’idée d’aller vivre là-bas.
C’est si bon. L’
Envie de vouloir vivre encore plus notre grande histoire d’
Amour, avec toi
Se fait encore plus présente. Normal puisque
Je t’aime
Aujourd’hui il fait chaud et
Depuis quelques jours j’ai une envie folle
De me manger une glace,
D’avaler cette matière tellement crémeuse et blanchâtre
Qu’est la crème, de préférence à la vanille
Mais pas tout d’un coup, en prenant mon temps
Sans en perdre une goutte
Et toi aussi, parce que tu aimes lécher mais
Tu dois faire attention, car avec tes dents c’est assez mal-
Sain, ça te titille. À chaque lapement, une chaleur monte
En toi et pour moi aussi d’ailleurs
Et c’est tellement agréable, tellement bon
J’en pleure et du coup
Je mouille, je trempe mon
Visage de larmes et tu en ries comme un
Con! Je me sens bien, j’ai du plaisir. Puis tu as voulu
Parler un peu, tu voulais partir en vacances. Là c’était vraiment
Me prendre par ce que j'aime. T'as
Compris que dans mon cœur, c’est là que j’ha-
Bite, le Nirvana de mes désirs les plus profonds. Tu me connais tellement
Et lorsque tu as quelque chose en tête
Tu l’enfonces si profondément
Dans mon esprit, que je ne peux qu’accepter d’y vivre
Je prend les va-et-vient
Pour y trouver du travail,
Je ne vais plus tarder à
Te prendre la tête avec ça, déjà, je sens mon visage se ré-
Jouir et toi aussi du même éclat de plaisir que moi
À l’idée d’aller vivre là-bas.
C’est si bon. L’
Envie de vouloir vivre encore plus notre grande histoire d’
Amour, avec toi
Se fait encore plus présente. Normal puisque
Je t’aime
