Et c'est ainsi que n'aie : dans la verte prairie
Et c'est ainsi que n'aie : dans la verte prairie
Passant ce couvert bas ; je sentais ses colliers
De noirs cotons d'émaux sur les hauts escaliers
De son dos s'ébattant au soleil plein de vie,
Un léger frôlement de bleuet d'ancolie
De luzerne, c'était, comme fuit l'écolier
Son devoir, empruntant ce chemin journalier
Simplement posé là, sur l'une plus jolie ;
Pour admirer le flot de ses cheveux défaits
J'ai laissé partir loin l'intrigante des faits,
Qui je pense avec soin allait à la rivière,
Et qu'elle n'ait frôlé, cette tendre forêt,
Du regard, mon amour, et ses espiègles rais
En fit, reine du bois, plutôt la fleur légère...
Daniel beau le poète rêveur
12 mai 2021
Inknotpad
Google Chrome
09:30
Et c'est ainsi que n'aie : dans la verte prairie
Passant ce couvert bas ; je sentais ses colliers
De noirs cotons d'émaux sur les hauts escaliers
De son dos s'ébattant au soleil plein de vie,
Un léger frôlement de bleuet d'ancolie
De luzerne, c'était, comme fuit l'écolier
Son devoir, empruntant ce chemin journalier
Simplement posé là, sur l'une plus jolie ;
Pour admirer le flot de ses cheveux défaits
J'ai laissé partir loin l'intrigante des faits,
Qui je pense avec soin allait à la rivière,
Et qu'elle n'ait frôlé, cette tendre forêt,
Du regard, mon amour, et ses espiègles rais
En fit, reine du bois, plutôt la fleur légère...
Daniel beau le poète rêveur
12 mai 2021
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