L'incompréhension, ça arrive des fois.
Le respect des strophes, c'est très froid.
Ceux qui veulent écrire, vous dites poétiser.
Moi je dis qu'écrire c'est la liberté de penser.
Et tous les poètes, ont des mauvais passages.
De tous les poètes, aucun n'est le plus sage.
Comprendre la différence, c'est son faire valoir.
La dénigrer, faire semblant de l'ignorer, c'est noir.
Vous comptez encore en pieds ? En pouces et cætera ?
La main ne vous suffira, pour comprendre nos ébats.
De poètes à poètes, du passé au présent, la réalité.
des anciens messagers, reste gravée, dans nos idées.
Tout leur temps passé, laborieux et si peu pressés.
C'était une qualité, pour les jeunes une calamité.
Vous avez vu comme nous sommes pressés ?
Par le temps de se presser d'exister, comment ?
Aurons nous jamais le talent, de passer l'éternité.
Pour étudier sans parler, de tout garder évidemment.
Notre versification ne vaut pas vos grands écarts.
Pour certains qui ont cent ans de plus que nous.
nous n'avons ces années, pour nous c'est trop tard.
Le mérite et la compétence, vous vouliez avant nous.
Mais de toutes vos expériences, l'élitisme avant tout.
Et toutes nos pensées dans vos yeux, pas un clou.
Ne vaudront jamais, car vous devenez les fous.
Qui ont tués, par le passé, l'avenir de jeunes loups.
Quelle vérité, un écrit y passer la vie, c'est tout ?
Où la vie passée à l'écrit, qui est le plus fou ?
Acceptons nos bienveillances, c'est pareil après tout.
Arrêtons les malveillances, entre vieux et jeunes loups.
Personne n’en sortira heureux, sauf ceux peu ou prou.
Qui de leurs mots mielleux, nous volent tous nos sous.
Le respect des strophes, c'est très froid.
Ceux qui veulent écrire, vous dites poétiser.
Moi je dis qu'écrire c'est la liberté de penser.
Et tous les poètes, ont des mauvais passages.
De tous les poètes, aucun n'est le plus sage.
Comprendre la différence, c'est son faire valoir.
La dénigrer, faire semblant de l'ignorer, c'est noir.
Vous comptez encore en pieds ? En pouces et cætera ?
La main ne vous suffira, pour comprendre nos ébats.
De poètes à poètes, du passé au présent, la réalité.
des anciens messagers, reste gravée, dans nos idées.
Tout leur temps passé, laborieux et si peu pressés.
C'était une qualité, pour les jeunes une calamité.
Vous avez vu comme nous sommes pressés ?
Par le temps de se presser d'exister, comment ?
Aurons nous jamais le talent, de passer l'éternité.
Pour étudier sans parler, de tout garder évidemment.
Notre versification ne vaut pas vos grands écarts.
Pour certains qui ont cent ans de plus que nous.
nous n'avons ces années, pour nous c'est trop tard.
Le mérite et la compétence, vous vouliez avant nous.
Mais de toutes vos expériences, l'élitisme avant tout.
Et toutes nos pensées dans vos yeux, pas un clou.
Ne vaudront jamais, car vous devenez les fous.
Qui ont tués, par le passé, l'avenir de jeunes loups.
Quelle vérité, un écrit y passer la vie, c'est tout ?
Où la vie passée à l'écrit, qui est le plus fou ?
Acceptons nos bienveillances, c'est pareil après tout.
Arrêtons les malveillances, entre vieux et jeunes loups.
Personne n’en sortira heureux, sauf ceux peu ou prou.
Qui de leurs mots mielleux, nous volent tous nos sous.