Ô, Que vienne l'Aurore
Défigurée de fards,
Colorés, dont arbore
Son visage blafard.
Toi, amour d'un soir
Amante d'un songe,
Âme d'un mensonge,
Toi, morte d'un soir.
Et que vienne la nuit
Douce et apaisante,
Amante d'une vie
Où l'omniprésente
Mort se languit
dans ses draps d'Or.