La liberté des mots et dimentions extraterrestres. Certificat de moralité et transcendance des moeurs. Je crains l'extinction , des lumières, des feux, la saute des plombs et des dés. Cher hasard quotidien engendrant cosmos et logos.Je suis femme. Femme de l'époque épique. Je plaide, encore, la liberté des mots : Prose, vers, et peu m'importe quoi encore.
J'aime . Plonger les mots au coeur d'une aquarelle, encier remplit, pret a dévorer pages et spiritualités. Pret a manger les hommes, pret a tuer nos mains, essoufler l'instant, inspiration que dans un dernier souffle l'on expire. Nous suons notre mal comme notre bien en tout simplicité vitale.
Et d'un coup.
Le calme.
Une première fois, mes écris a la mer, véritablement, bouffés par ces délicieuses abymes océaniques. Je plaide, la dimention extraterrestre: Cosmos, imaginaire, paroles divines, croyances ou utopies. Dans l'entreprise de légitimisation des traditions sublimes. Je crains, l'abolition des symboles, le craquèlement des coeurs passionées, la satire des choses que l'on nomme graves. L'enjeu ici, Morale.
Joie du voyage intellectuel vers l'Eldorado de Candide. J'aime, comprendre ces hommes pathétiques corps et ames en prières. J'aime. La sublimation des choses que l'on qualifie d'impossible.
Le Paradis.
Je plaide, le certificat de moralité. Sa justesse et légitimité. La considération des choses simples comme un baiser. La course vers les monts salvateurs: Parchemins, codex, essais, traités ,apologues et que sais-je. J'aime. Mettre l'homme au coeur de l'abyme et aissi, lui prendre assurance et crédibilité. Lacher mes démones, qu'elles s'élancent crimes libres et abérations morales.
Je crains, la déshumanisation, la tyranie de monstres aux idéos obliques. Le despotisme crystallisé ,posé là, comme une déchirure idéologique ,l'insitation a la délation . Les politiques, ils suintent : Violence Vengeance.
Je plaide, la transcendance des moeurs. Les combats de femmes, la justesse des droits , la prise de conscience collective. Je crains, l'engouement facile, l'esprit volatile, l'adhésion tranquille.
Droits de l'homme, Lumières, Humanistes, Romantiques.
Je crains les hommes vivants trop simplement , ceux qui adorent des idoles , la société , l'interet simple et egoiste , le politiquement correct.
J'aime, l'art qui décolle , quelques Uniques qui nous culpabilisent enfin, j'aime les condamnés remis en liberté. L'abération mondiale, les révolutions sociales, économiques, culturelles et sexuelles.
J'aime que les hommes s'élèvent enfin , pour raviver les passions , meme les plus indéfendables. Je regrette, le temps ou les hommes trouvaient encore en eux la foi pour s'indigner.
J'aime . Plonger les mots au coeur d'une aquarelle, encier remplit, pret a dévorer pages et spiritualités. Pret a manger les hommes, pret a tuer nos mains, essoufler l'instant, inspiration que dans un dernier souffle l'on expire. Nous suons notre mal comme notre bien en tout simplicité vitale.
Et d'un coup.
Le calme.
Une première fois, mes écris a la mer, véritablement, bouffés par ces délicieuses abymes océaniques. Je plaide, la dimention extraterrestre: Cosmos, imaginaire, paroles divines, croyances ou utopies. Dans l'entreprise de légitimisation des traditions sublimes. Je crains, l'abolition des symboles, le craquèlement des coeurs passionées, la satire des choses que l'on nomme graves. L'enjeu ici, Morale.
Joie du voyage intellectuel vers l'Eldorado de Candide. J'aime, comprendre ces hommes pathétiques corps et ames en prières. J'aime. La sublimation des choses que l'on qualifie d'impossible.
Le Paradis.
Je plaide, le certificat de moralité. Sa justesse et légitimité. La considération des choses simples comme un baiser. La course vers les monts salvateurs: Parchemins, codex, essais, traités ,apologues et que sais-je. J'aime. Mettre l'homme au coeur de l'abyme et aissi, lui prendre assurance et crédibilité. Lacher mes démones, qu'elles s'élancent crimes libres et abérations morales.
Je crains, la déshumanisation, la tyranie de monstres aux idéos obliques. Le despotisme crystallisé ,posé là, comme une déchirure idéologique ,l'insitation a la délation . Les politiques, ils suintent : Violence Vengeance.
Je plaide, la transcendance des moeurs. Les combats de femmes, la justesse des droits , la prise de conscience collective. Je crains, l'engouement facile, l'esprit volatile, l'adhésion tranquille.
Droits de l'homme, Lumières, Humanistes, Romantiques.
Je crains les hommes vivants trop simplement , ceux qui adorent des idoles , la société , l'interet simple et egoiste , le politiquement correct.
J'aime, l'art qui décolle , quelques Uniques qui nous culpabilisent enfin, j'aime les condamnés remis en liberté. L'abération mondiale, les révolutions sociales, économiques, culturelles et sexuelles.
J'aime que les hommes s'élèvent enfin , pour raviver les passions , meme les plus indéfendables. Je regrette, le temps ou les hommes trouvaient encore en eux la foi pour s'indigner.
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