elle leva ses yeux sur moi,
et c'est a cet instant que je compris,
a quel point, a quel point je me trompais..
elle n'allait pas mal, c'etais pire.
ce qui l'a denoncé, ce fut son sourire.
on vit dans un monde,
tu te rend compte...
on vit dans un monde,
dans un monde immonde!
regarde! regarde l'univers,
regarde les galaxie!
elles ont atteint la limite,
ça ne tourne plus rond..
regarde..! regarde autours de toi,
cette putain d'horizon!
et tu regarde ça avec tes yeux aveugle!
tu regarde et tu ne voit meme pas..
le soleil a la couleur de nos drogues!
la terre l'odeur de la morgue!
et puis c'est pas la pluie qui tombe,
reagis!
c'est le sang de ce dieu qui coule,
et ruisselle sur nos visages,
s'impregnent de nos ames,
souille nos mains..
ça creuse nos tombe!
ça creuse nos tombes...
et ça t'indiffere!
les larmes brillaient a la limite de ses yeux,
et elle restait là, immobile, tel l'etoile hallucinée
qui ne savait plus comment briller..
oh mon diable..
oui diable c'est a toi que je m'adresse.
puisque dieu est sourd dans son mutisme.
puisqu'il ne dit plus rien, et qu'il meurt!
oh diable! oh raison! oh illusions!!
entend le chant de la perdition..
vient nous sauver toi l'invincible!
toi l'invisible.. ouai toi "l'inexistencible" pas vrais?
salop. connards. vous etes tous pareil,
vous, descendant du ciel !
vous etes tous les memes. tous lache et tous faible..
et nous qui devont nous montrer fort!
plus fort que la mort, pour repparer VOS tords!
pas les notre.. jamais les notres.
car ça peut vous importe.
je me sentais mal, si mal..
d'etre impuissant devant elle.
de ne pouvoir rien faire,
surtout que là je savais,
que cela allait au delà de tout.
oui, au dela de tout desormais.
c'etais là mort au bout.
cen'etais pas comme d'habitude...
pas une de ces crises habituelles.
non.
pas comme d'habitude.
ç'etais bas.
au ras des certitudes,
en dessous.
pire que tout, oui..
pire que tout.
elle se tourna vers moi.
ce n'etais plus elle,
ce n'etais plus rien,
c'etais quoi? je sais ne pas!
ce n'etais pas humain.
et là je l'a senti..
tapie au plus profond de mon ame,
de mon etre, de ma sinistre existence,
je l'a sentie se deployer, grandir, fremir..
sinueuse et mauvaise..
elle etais là.
la peur.
la vrai, celle qui te coupe la respiration
t'empeche de parler de bouger..
celle qui te tue.
te detruit de l'interireur.
oh mon dieu...
oh mon diable..
oh putain de merde!!!
elle me sourit.
ce sourire.
celui qui la trompait...
il etais sale. et mauvais.
il etais pour la chose, au fond de moi...
elle tendit ses doigts,
on vit dans un monde..
dans un monde tu te rend compte!
sans regles. sans ordres.
pas anarchiste non.. anomiste!
sans loi, ni foi hahaha! sans foie pourquoi pas?
et puis pourquoi pas sans toi?
ses doigts s'enfoncerent,
profondement dans ma chaire..
a la recherche de mon coeur,
de ma peur? en quete d'horreur.
un cri, une douleur..
oh diable, ah dieu!
vindicatifs, vengeurs!
qu'avez vous fait d'elle?!
qui etes vous? ou etes vous?
batards cruels! monstre intemporels!!
oh alicia...
si belle, si triste alicia..
mais qu'est tu donc devenue?
-déteste la.
et c'est a cet instant que je compris,
a quel point, a quel point je me trompais..
elle n'allait pas mal, c'etais pire.
ce qui l'a denoncé, ce fut son sourire.
on vit dans un monde,
tu te rend compte...
on vit dans un monde,
dans un monde immonde!
regarde! regarde l'univers,
regarde les galaxie!
elles ont atteint la limite,
ça ne tourne plus rond..
regarde..! regarde autours de toi,
cette putain d'horizon!
et tu regarde ça avec tes yeux aveugle!
tu regarde et tu ne voit meme pas..
le soleil a la couleur de nos drogues!
la terre l'odeur de la morgue!
et puis c'est pas la pluie qui tombe,
reagis!
c'est le sang de ce dieu qui coule,
et ruisselle sur nos visages,
s'impregnent de nos ames,
souille nos mains..
ça creuse nos tombe!
ça creuse nos tombes...
et ça t'indiffere!
les larmes brillaient a la limite de ses yeux,
et elle restait là, immobile, tel l'etoile hallucinée
qui ne savait plus comment briller..
oh mon diable..
oui diable c'est a toi que je m'adresse.
puisque dieu est sourd dans son mutisme.
puisqu'il ne dit plus rien, et qu'il meurt!
oh diable! oh raison! oh illusions!!
entend le chant de la perdition..
vient nous sauver toi l'invincible!
toi l'invisible.. ouai toi "l'inexistencible" pas vrais?
salop. connards. vous etes tous pareil,
vous, descendant du ciel !
vous etes tous les memes. tous lache et tous faible..
et nous qui devont nous montrer fort!
plus fort que la mort, pour repparer VOS tords!
pas les notre.. jamais les notres.
car ça peut vous importe.
je me sentais mal, si mal..
d'etre impuissant devant elle.
de ne pouvoir rien faire,
surtout que là je savais,
que cela allait au delà de tout.
oui, au dela de tout desormais.
c'etais là mort au bout.
cen'etais pas comme d'habitude...
pas une de ces crises habituelles.
non.
pas comme d'habitude.
ç'etais bas.
au ras des certitudes,
en dessous.
pire que tout, oui..
pire que tout.
elle se tourna vers moi.
ce n'etais plus elle,
ce n'etais plus rien,
c'etais quoi? je sais ne pas!
ce n'etais pas humain.
et là je l'a senti..
tapie au plus profond de mon ame,
de mon etre, de ma sinistre existence,
je l'a sentie se deployer, grandir, fremir..
sinueuse et mauvaise..
elle etais là.
la peur.
la vrai, celle qui te coupe la respiration
t'empeche de parler de bouger..
celle qui te tue.
te detruit de l'interireur.
oh mon dieu...
oh mon diable..
oh putain de merde!!!
elle me sourit.
ce sourire.
celui qui la trompait...
il etais sale. et mauvais.
il etais pour la chose, au fond de moi...
elle tendit ses doigts,
on vit dans un monde..
dans un monde tu te rend compte!
sans regles. sans ordres.
pas anarchiste non.. anomiste!
sans loi, ni foi hahaha! sans foie pourquoi pas?
et puis pourquoi pas sans toi?
ses doigts s'enfoncerent,
profondement dans ma chaire..
a la recherche de mon coeur,
de ma peur? en quete d'horreur.
un cri, une douleur..
oh diable, ah dieu!
vindicatifs, vengeurs!
qu'avez vous fait d'elle?!
qui etes vous? ou etes vous?
batards cruels! monstre intemporels!!
oh alicia...
si belle, si triste alicia..
mais qu'est tu donc devenue?
-déteste la.