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Curieuse langue française !

#1
« Énigmes et Bizarreries du Français »

- Le plus long mot palindrome de la langue française est « ressasser ». C’est-à-dire qu’il se lit dans les deux sens.

· « Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e ». C’est-à-dire qu’il ne comporte aucun « e ».

· L’anagramme de « guérison » est « soigneur » C’est-à-dire que le mot comprend les mêmes lettres.

· « Endolori » est l’anagramme de son antonyme « indolore », ce qui est paradoxal.

· « Squelette » est le seul mot masculin qui se finit en « ette ».

· « Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave. Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul !

· Le mot « simple » ne rime avec aucun autre mot. Tout comme « triomphe », « quatorze », « quinze », « pauvre », « meurtre , « monstre », « belge », « goinfre » ou « larve ».

· « Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d’être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle. Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l’amour au pluriel.

C’est ainsi !

· « Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des lettres
!
« oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les voyelles.
 

Matthale

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#4
Ah, Rimbaud ! Le météore de la poésie, celui qui a bouleversé les mots et les âmes avant de s’éteindre dans un silence intrigant. Arthur Rimbaud, c’est le génie adolescent, l’insolent visionnaire qui a révolutionné l’art de dire et de ressentir.

Son œuvre est une explosion, une fulgurance. À seulement 20 ans, il abandonne la poésie, mais laisse derrière lui des textes qui hantent encore : Une Saison en Enfer, Les Illuminations, et ces vers, immortels, de Voyelles ou du Bateau ivre. Rimbaud, c’est la fuite perpétuelle, la rébellion contre les conventions, le rejet de la banalité.

Il écrivait :
"Je est un autre."
Une phrase qui résonne comme un défi lancé au monde. Rimbaud avait compris que l’identité est fluide, que nous sommes traversés par des forces qui nous échappent, que la poésie n’est pas une vérité fixe, mais une recherche sans fin.

Et puis, il y a l’homme derrière les mots : un enfant rebelle de Charleville, un vagabond aux semelles de vent, un amant tumultueux de Verlaine, un aventurier qui finit sa vie dans l’exil et le commerce. Rimbaud ne s’est jamais contenté d’une vie, d’une forme, d’une voie. Il a tout brûlé pour renaître, quitte à s’effacer.

Qu’est-ce qui te fascine le plus chez lui ? Sa poésie, sa révolte, son mystère ? Ou peut-être un peu de tout ça ?
 
#5
Ah, Rimbaud ! Le météore de la poésie, celui qui a bouleversé les mots et les âmes avant de s’éteindre dans un silence intrigant. Arthur Rimbaud, c’est le génie adolescent, l’insolent visionnaire qui a révolutionné l’art de dire et de ressentir.

Son œuvre est une explosion, une fulgurance. À seulement 20 ans, il abandonne la poésie, mais laisse derrière lui des textes qui hantent encore : Une Saison en Enfer, Les Illuminations, et ces vers, immortels, de Voyelles ou du Bateau ivre. Rimbaud, c’est la fuite perpétuelle, la rébellion contre les conventions, le rejet de la banalité.

Il écrivait :
"Je est un autre."
Une phrase qui résonne comme un défi lancé au monde. Rimbaud avait compris que l’identité est fluide, que nous sommes traversés par des forces qui nous échappent, que la poésie n’est pas une vérité fixe, mais une recherche sans fin.

Et puis, il y a l’homme derrière les mots : un enfant rebelle de Charleville, un vagabond aux semelles de vent, un amant tumultueux de Verlaine, un aventurier qui finit sa vie dans l’exil et le commerce. Rimbaud ne s’est jamais contenté d’une vie, d’une forme, d’une voie. Il a tout brûlé pour renaître, quitte à s’effacer.

Qu’est-ce qui te fascine le plus chez lui ? Sa poésie, sa révolte, son mystère ? Ou peut-être un peu de tout ça ?
C’est un mélange de tout ça en effet ! C’est un éternel révolté pour moi, toutefois, son manque de maturité l’a desservi ! L’ensemble de son œuvre sauvée par Verlaine et Isabelle sa sœur est néanmoins de haute voltige !
Mon regret c’est qu’il a cessé d’écrire bien trop jeune, j’aurais aimé le lire avec quelques années de plus.
Baudelaire pour moi a survolé la littérature un peu avant lui !
Arthur Rimbaud le qualifiait de premier poète voyant ce n’est pas pour rien.
 
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