Créer un poème avec l’intelligence artificielle ! C’est à la hauteur du plagiat !
- Auteur de la discussion Maurice Marcouly
- Date de début
L'amour du vrai.
Oh, que n'ai-je vu, là, dans cette autre lecture
Qu'un artefact précis, justement dénoué
De toute l'âme hélas, dont le lapsus noué
Fait toute la beauté de la douce aventure,
Un si sublime amour qui s'appelle écriture
Née au fond de l'esprit, un projet avoué
Au for intérieur de soi-même échoué
Bien plus secret en fait d'une belle rature,
Va ! Ta machine hère, ne fera pas le récit
Qu'en fait la main toujours, d'un aspect plus précis,
Que verbiage éclair de tes mots fabulistes,
Oui, je démontre erreur à ton projet en toc,
Car rien ne vaut le pur, de l'esprit fait, et toc,
Alors, range-les, bas, tes trismégistes listes...
Daniel beau le poète rêveur
10 Avril 2023
Inknotpad
Google Chrome
08:54
Oh, que n'ai-je vu, là, dans cette autre lecture
Qu'un artefact précis, justement dénoué
De toute l'âme hélas, dont le lapsus noué
Fait toute la beauté de la douce aventure,
Un si sublime amour qui s'appelle écriture
Née au fond de l'esprit, un projet avoué
Au for intérieur de soi-même échoué
Bien plus secret en fait d'une belle rature,
Va ! Ta machine hère, ne fera pas le récit
Qu'en fait la main toujours, d'un aspect plus précis,
Que verbiage éclair de tes mots fabulistes,
Oui, je démontre erreur à ton projet en toc,
Car rien ne vaut le pur, de l'esprit fait, et toc,
Alors, range-les, bas, tes trismégistes listes...
Daniel beau le poète rêveur
10 Avril 2023
Inknotpad
Google Chrome
08:54
comme je me plais à le dire quand je parle ou compare parfois la poésie libre et classique surtout pour les puristes, comme en peinture j'aime le trait qui dérape, la touche de couleur qui déborde, comme en poésie la petite erreur la virgule mal placée, le mot cru qui tombe incongru, ces petites imperfections qui nous rendent plus humain,
ce que l'ia ne sera jamais faire,
mais le danger est là, l'ia pour qui, pour quoi, en matière d'art et de poésie,
"le poète à dit la vérité, il doit être exécuté" voilà grâce à l'ia plus d'artistes rebelles encore un moyen de plus de contrôler nos pensées et la liberté d'expression,
extrait de la chanson des bérurier noir "descendons dans la rue"
Et tous les chômeurs qui n'ont pas peur
Oh tous les cascadeurs qui sont de bonne humeur
Et tous les entraîneurs qui se lèvent de bonne heure
Tous les restos du coeur et toutes nos petits soeurs
Toutes les folles mal rasées, les poètes révoltés
Les clowns déconnectés et les jongleurs masqués
Le Front d'Libration de tous les animaux
Les combattants martiaux, le Front des Marginaux
Lalala Lalalalala...
ce que l'ia ne sera jamais faire,
mais le danger est là, l'ia pour qui, pour quoi, en matière d'art et de poésie,
"le poète à dit la vérité, il doit être exécuté" voilà grâce à l'ia plus d'artistes rebelles encore un moyen de plus de contrôler nos pensées et la liberté d'expression,
extrait de la chanson des bérurier noir "descendons dans la rue"
Et tous les chômeurs qui n'ont pas peur
Oh tous les cascadeurs qui sont de bonne humeur
Et tous les entraîneurs qui se lèvent de bonne heure
Tous les restos du coeur et toutes nos petits soeurs
Toutes les folles mal rasées, les poètes révoltés
Les clowns déconnectés et les jongleurs masqués
Le Front d'Libration de tous les animaux
Les combattants martiaux, le Front des Marginaux
Lalala Lalalalala...
Fabriqué par l'intelligence artificielle
OUPOCO
Du couteau, dans un terrain mou,
Dans un vaste fauteuil commodément assise ,
Regard né d'un mystère où moururent des choses,
En une mare étale aux ombres d'amadou.
Les moyens aujourd'hui sont devenus plus doux.
Car vivre, c'est aimer, le reste est peu de chose;
Elle a tant vu de lits sous la blanchâtre mise
Dans des soldats de plomb exposés à vos coups :
Il s'arrête parfois, tourne la tête, song-e :
L'encre sèche, le soir vient et l'ombre s'allong-e
Et les suears du front qu'une auréole plombe ;
Ils s'asseyaient aux pieds des saints hiératiques,
Gardera verdoyants, au fond des catacombes,
Sous les étoiles d'or d'un nouveau zodiaque.
OUPOCO
Du couteau, dans un terrain mou,
Dans un vaste fauteuil commodément assise ,
Regard né d'un mystère où moururent des choses,
En une mare étale aux ombres d'amadou.
Les moyens aujourd'hui sont devenus plus doux.
Car vivre, c'est aimer, le reste est peu de chose;
Elle a tant vu de lits sous la blanchâtre mise
Dans des soldats de plomb exposés à vos coups :
Il s'arrête parfois, tourne la tête, song-e :
L'encre sèche, le soir vient et l'ombre s'allong-e
Et les suears du front qu'une auréole plombe ;
Ils s'asseyaient aux pieds des saints hiératiques,
Gardera verdoyants, au fond des catacombes,
Sous les étoiles d'or d'un nouveau zodiaque.
idem en 1 seconde
Il a donc tressailli, votre adoré fardeau !
L'asphodèle s'incline et voile ses appas ;
Ni de vous, ni de nous, il ne fait point état
On dirait d'une cage où jasent titille oiseaux.
Dépasser la ceinture morne des îlots,...
J'entends toujours sa plainte et ses soupirs bien bas,
Christ dit: « — L'un de vous doit me trahir! » — « Est-ce moi
Ils ont tout saccagé, de la tombe au berceau.
Pourtant si, par hasard, il franchit sa frontière,
D'autre délice, d'autre prix et d'autre espoir
Vient de poser son doux paraphe.
Suivi d'un grand qui l'accompagne,
Et, le cœur réjoui, l'on nargue les tartufes,
Pendu comme une carogne !
Il a donc tressailli, votre adoré fardeau !
L'asphodèle s'incline et voile ses appas ;
Ni de vous, ni de nous, il ne fait point état
On dirait d'une cage où jasent titille oiseaux.
Dépasser la ceinture morne des îlots,...
J'entends toujours sa plainte et ses soupirs bien bas,
Christ dit: « — L'un de vous doit me trahir! » — « Est-ce moi
Ils ont tout saccagé, de la tombe au berceau.
Pourtant si, par hasard, il franchit sa frontière,
D'autre délice, d'autre prix et d'autre espoir
Vient de poser son doux paraphe.
Suivi d'un grand qui l'accompagne,
Et, le cœur réjoui, l'on nargue les tartufes,
Pendu comme une carogne !