Ô beauté imprenable et rayonnante,
Que je vous chérie, vous, débordante
D'une beauté que je ne puis profiter ;
Ma mocheté m'empêche de vous forniquer.
Vous qui idolâtrez l'argent et n'en avez pas ;
Voudriez vous, je vous prie, pour moi,
Palper mes bourses et les prendre fermement,
Les caresser et y extraire mon argent.
C'est ainsi que vous trouverez votre rêve
Et que ma chimère ne sera plus fictive.
Ô laitière ! Je convoite votre lait
Qui jaillit de deux monts parfaits,
Que je désirerais peloter et tripoter
Pour le plaisir de me ressourcer.
Votre silhouette est toute de courbes ;
Le milieu est en relief un bulbe,
Le haut n'est que montagne éminente.
Derrière une de ces collines marquantes
Bat un cœur me rejetant ;
Quand m'aimerez-vous, quand ?
Que je vous chérie, vous, débordante
D'une beauté que je ne puis profiter ;
Ma mocheté m'empêche de vous forniquer.
Vous qui idolâtrez l'argent et n'en avez pas ;
Voudriez vous, je vous prie, pour moi,
Palper mes bourses et les prendre fermement,
Les caresser et y extraire mon argent.
C'est ainsi que vous trouverez votre rêve
Et que ma chimère ne sera plus fictive.
Ô laitière ! Je convoite votre lait
Qui jaillit de deux monts parfaits,
Que je désirerais peloter et tripoter
Pour le plaisir de me ressourcer.
Votre silhouette est toute de courbes ;
Le milieu est en relief un bulbe,
Le haut n'est que montagne éminente.
Derrière une de ces collines marquantes
Bat un cœur me rejetant ;
Quand m'aimerez-vous, quand ?