Régulièrement ami des bars et des serveuses
Puis buvant toujours son soul de manière heureuse
Croyant noyer ses problèmes
Et ses vieux soucis, ses démons dilemmes.
Certes tu seras victorieux, mais seulement les soirs
Car au levant quant seront éclipsés les effets noirs
Alors reviendront tes vieux démons te hantant sans passe
Jusqu'à l’avènement d’une autre nuit
Et comme un fidele, tu boiras encore ton soul qui nuit
Pourtant à ton âme, mais dont tu t’es fait l’esclave.
Ne sas tu pas que les picotements gustatives sont dus aux larves
Qui hantent ce liquide maudit, mais dont
Tu te sers avec gloire et rebond.
Puis au soir de ta vie, tu ressembleras à un vieux haillon
Ayant traversé des siècles comme chiffons.
Alors ! Dès maintenant et pour l’honneur rebelle toi !
Et assassine le gout de l’alcool en toi !
Car aucun compte n’est à rendre pour se faiseur d’holocauste.
N’est-il pas semblable à un démon de Faust !
Va, et venge-toi !
Pour ta santé et pour ton honneur, venge-toi !
Mais ne me dis pas que c’est te demander l’assomption de la Lune
Bien vrai qu’elle n’est pas si simple comme admire la brune.
Et si tu ne le veut point alors,
Bois, bois, bois !
Ce maudit liquide qui te bombe
Bois, bois, bois !
Tu ne prendras conscience que dans ta tombe.
Pour tant ce liquide est un mal certain
Aucun homme ne te dira le contraire, pas même un assassin
Sauf certains démons sans scrupule qui l’utilisent à leurs fins.
Bois ! Bois ! Bois !
Tu ne t’éveilleras que sous la terre.
Bois ! Bois ! Bois !
Tu ne prendras conscience que dans l’enfer.
Bois ! Bois ! Bois !
Chétif esclave de la bière,
Ta dévotion pour l’alcool de nuiras à jamais !
Puis buvant toujours son soul de manière heureuse
Croyant noyer ses problèmes
Et ses vieux soucis, ses démons dilemmes.
Certes tu seras victorieux, mais seulement les soirs
Car au levant quant seront éclipsés les effets noirs
Alors reviendront tes vieux démons te hantant sans passe
Jusqu'à l’avènement d’une autre nuit
Et comme un fidele, tu boiras encore ton soul qui nuit
Pourtant à ton âme, mais dont tu t’es fait l’esclave.
Ne sas tu pas que les picotements gustatives sont dus aux larves
Qui hantent ce liquide maudit, mais dont
Tu te sers avec gloire et rebond.
Puis au soir de ta vie, tu ressembleras à un vieux haillon
Ayant traversé des siècles comme chiffons.
Alors ! Dès maintenant et pour l’honneur rebelle toi !
Et assassine le gout de l’alcool en toi !
Car aucun compte n’est à rendre pour se faiseur d’holocauste.
N’est-il pas semblable à un démon de Faust !
Va, et venge-toi !
Pour ta santé et pour ton honneur, venge-toi !
Mais ne me dis pas que c’est te demander l’assomption de la Lune
Bien vrai qu’elle n’est pas si simple comme admire la brune.
Et si tu ne le veut point alors,
Bois, bois, bois !
Ce maudit liquide qui te bombe
Bois, bois, bois !
Tu ne prendras conscience que dans ta tombe.
Pour tant ce liquide est un mal certain
Aucun homme ne te dira le contraire, pas même un assassin
Sauf certains démons sans scrupule qui l’utilisent à leurs fins.
Bois ! Bois ! Bois !
Tu ne t’éveilleras que sous la terre.
Bois ! Bois ! Bois !
Tu ne prendras conscience que dans l’enfer.
Bois ! Bois ! Bois !
Chétif esclave de la bière,
Ta dévotion pour l’alcool de nuiras à jamais !