Confessions en deux jours
Ce poème est dédié à l’âme du philosophe célèbre Jean Paul SARTRE,
pour son grand courage et sa bonne volonté;
et à ceux qui cachent la vérité sur sa revanche contre sa philosophie.
Ce poème est dédié à l’âme du philosophe célèbre Jean Paul SARTRE,
pour son grand courage et sa bonne volonté;
et à ceux qui cachent la vérité sur sa revanche contre sa philosophie.
Premier jour
Bonjour, ma petite vie ; bonjour, mon existence !
Moi, je suis Dieu de moi-même, sans compte, sans balance !
J’ai tué votre Dieu, le plus vieux, sans remords !
Je le vois tout le temps dans mes rêves quand je dors !
Ni Narcisse, ni Satan, ni cette terre qui est aride,
N’ont compris que la vie n’est qu’une sorte de poubelle !
Mon seul culte c’est ma tasse de café pleine ou vide.
C’est l’absurde qui m’apporte mon cadeau de Noël !
L’enfer, pour moi, c’est l’autre qui me voit dans sa foi
Ennemi de son sort, vagabond hors-la-loi !
Pour moi, certes, philosophe, j’ai tissé mon étoffe.
Maintenant je suis libre, bien à l’aise, sain et sauf !
Dernier jour
J’ai nagé dans la boue pour sortir des tabous.
Quand j’étais le plus fort, j’ai couru jusqu’au bout !
L’existence éphémère, les chagrins très amers,
M’ont appris que j’étais jalonné de misères !
Maintenant, me voilà sur mon lit, désarmé,
Accablé de douleurs, envahi de malheurs.
L’horizon qui était vaste, grand ouvert, est fermé !
J’implore mon Dieu Sacré qui s’éveille dans mon cœur !
A quoi sert d’être libre dans une vie éphémère ?
L’existence, à vrai dire, c’est la joie éternelle
Dans le monde d’Au-delà où la vie est plus belle !
C’est pour ça, maintenant, que je fais ma prière.
Dites à tous que j’étais le plus fou parmi vous !
Pourquoi vous leur cachez ma très belle confession ?
Je suis Sartre, Philosophe d’existence, et j’avoue :
« Rien n’est plus beau que revivre pour Dieu sa passion ! ».
Salamdag
Taza (Maroc) – Dimanche 8 Janvier 2006
Bonjour, ma petite vie ; bonjour, mon existence !
Moi, je suis Dieu de moi-même, sans compte, sans balance !
J’ai tué votre Dieu, le plus vieux, sans remords !
Je le vois tout le temps dans mes rêves quand je dors !
Ni Narcisse, ni Satan, ni cette terre qui est aride,
N’ont compris que la vie n’est qu’une sorte de poubelle !
Mon seul culte c’est ma tasse de café pleine ou vide.
C’est l’absurde qui m’apporte mon cadeau de Noël !
L’enfer, pour moi, c’est l’autre qui me voit dans sa foi
Ennemi de son sort, vagabond hors-la-loi !
Pour moi, certes, philosophe, j’ai tissé mon étoffe.
Maintenant je suis libre, bien à l’aise, sain et sauf !
Dernier jour
J’ai nagé dans la boue pour sortir des tabous.
Quand j’étais le plus fort, j’ai couru jusqu’au bout !
L’existence éphémère, les chagrins très amers,
M’ont appris que j’étais jalonné de misères !
Maintenant, me voilà sur mon lit, désarmé,
Accablé de douleurs, envahi de malheurs.
L’horizon qui était vaste, grand ouvert, est fermé !
J’implore mon Dieu Sacré qui s’éveille dans mon cœur !
A quoi sert d’être libre dans une vie éphémère ?
L’existence, à vrai dire, c’est la joie éternelle
Dans le monde d’Au-delà où la vie est plus belle !
C’est pour ça, maintenant, que je fais ma prière.
Dites à tous que j’étais le plus fou parmi vous !
Pourquoi vous leur cachez ma très belle confession ?
Je suis Sartre, Philosophe d’existence, et j’avoue :
« Rien n’est plus beau que revivre pour Dieu sa passion ! ».
Salamdag
Taza (Maroc) – Dimanche 8 Janvier 2006
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