Concours : les derniers jours de l’été (en acrostiche)
Du 2 septembre au 28 septembre
Résultats 3 octobre
Thème : mettre en acrostiche 'les derniers jours de l’été'
Consignes :
En acrostiche
Métrique libre
Rimes croisées obligatoires (abab)
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes
Vous pouvez également participer en hors concours.
Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
1 Les derniers jours de l’été.
Le moment est venu d’écrire pour ce concours,
Et c’est maintenant l’aventure de la rentrée,
Sans avoir à se préoccuper pour la note qui court.
Décrire toutes nos aventures en guise d’entrée,
Est un pensum bienveillant pour encore s’amuser,
Rendez-vous des écrivaillons que tous nous sommes,
Notant au fur et à mesure nos visites aux musées,
Incluant nos balades, nos baignades ou tout comme.
Eté quand tu nous tiens, garde nous nos souvenirs,
Résumé de quelques jours qui passent trop vite,
Surprendre le travail et voir ainsi les sous venir.
Je vous relate ainsi mon farniente sans aucune limite,
Où les jours se ressemblent à l’ombre de ma glycine,
Un parasol naturel qui adoucit les effets du soleil,
Relaxant l’ensemble du corps dans l’onde de ma piscine,
Savourant ainsi un repos mérité en sieste de merveille
Déjà terminé la forêt n’est plus de charme, mais de boulot,
En reprise à mettre sur des feuilles de papier,
La sensation de mettre de coté tous nos petits bibelots,
‘
Entreposés sur un meuble pour de temps en temps les épier,
Tentation des jours chauds et heureux aujourd’hui disparus,
Et montrer les derniers jours de l’été, ici en un texte incongru.
2 Les derniers jours de l’été
Lueurs affaiblies sans chaleur,
Effacent l'azur si bleu du ciel,
Soleil se couche avant l'heure,
Désertant sans être artificiel.
Eclaire à peine les horizons,
Rayonnant sur les lacs, les étangs,
Navigant entres les derniers foisons,
Idéalisant les derniers jours de beaux temps.
Effleurant les fleurs encore écloses,
Roses, lilas, ou même les primevères,
Senteurs douces et douceurs telles de jolies proses,
Jardin d'Eden où planent les rêves et mystères.
Odorant et à la fois tellement enivrant,
Un parfum délicat, par de multiples fleurs colorées,
Ravissant les sens, un instant captivant,
Sous les dernières longues et belles journées dorées.
Dernières heures d'été ou règnent la chaleur,
Effleurant tant de souvenirs enfouis en nous,
Le ciel, et ses nuages reprennent leurs pâleurs,
Et les feuilles tombent, tout se dénoue.
Temps des rêves alors s'achève,
Eclairant de façon un peu trop brève.
L’amertume n’est pas de mise, même si les jours
Egrainent le message, d’une proche fin d’été
Sereins, à ce passage, peu à peu, plus court
Dans la belle lumière, et sa chaleur aimée
Entrer dans la période, douce mélancolique
Revoir Dame nature, transcender des couleurs
Nuancier de rouilles, et de jaunes magnifiques
Insufflant un sourire, envers le Créateur
Et ses nouveaux cadeaux, de fruits et de pétales
Raisins en belles grappes, figues, pommes d’hiver
Superbes les dahlias, aux variétés royales
Joyeuse pluie d’étoiles, d’amour, comme les asters
Observateur comblé, pour moins penser aux vacances
Un jour où la fraîcheur, voudra me rhabiller
Reste, cher soleil, ton rayonnement dispense
Santé, vitalité, la grande joie d’exister
Dehors, de mon regard, tu me sembles bien
Ecouter mes vers, ralentir les nuages
Laisser le souffle de l’air, aux degrés qu’il convient
‘
Ensemençant l’esprit d’idées de canotage
Tant, tout repose sur toi, en Septembre, la mer
En duo d’amoureux , nous chérira, j’espère...
L'été s'étire en doux soupirs, bientôt s'effaceront mes rêves,
Envolés comme des feuilles emportées par un vent mourant.
Sous le ciel pâlissant, les souvenirs dansent et se soulèvent d'une fugacité qui me trouble, où l'espoir se lève.
Dès cet instant fugitif, je m'égare dans l'écho des cieux grisonnant
Et mon âme perd ses feuilles, laissant le vent caresser ses pensées,
Rêvant d'un éternel jour où le temps serait silencieux.
Nostalgique des jours éphémère, le temps lui, s'égrène, vain et usé;
Images floues d'un temps révolu et parfois capricieux.
Entrons dans l'automne, vers l'horizon, l'été s'enfuit,
Rayonnant dans nos cœurs de milles feu tel un délice
Sur les ailes mélancolique du temps qui s'efface sans bruits.
Jamais je n'oublierai ces moments subtiles et complices,
Ode à la nature, ultime chant des dernières effervescences,
Unissons de couleurs, mélodies des jours déclinants, enchantés;
Requiem silencieux pour les derniers jours de cet été en décadence.
Sur ma page blanche, je vomis son souvenir enjolivé.
De sa douceur, l'astre céleste réchauffe nos cœurs,
Et sous ce ciel d'Azur danse une délicate brise légère.
Les écho mélodieux des derniers jours s'estompe en chœur,
Égrenant les souvenirs en une douce symphonie telle une prière,
Temps suspendu, douce langueur qui nous enveloppe de douceur;
Été tu t'enfuis, laissant derrière toi une douce miette, une nature qui frisonne, austère.
5 Les derniers jours de l'été.
La saison des vacances se termine.
Et c'est le moment de rentrer au bercail.
Sans plus attendre, retourner à sa citadine ;
Devant le fait accompli, se remettre au travail.
En continuant d'assumer ses responsabilités familiales,
Retrouver ses petits problèmes quotidiens.
Nécessité oblige, oublier cette période estivale.
Idem, reprendre métro boulot dodo, parmi tous les siens.
En affrontant ces épouvantables embouteillages ;
Revenir dans le monde de la réalité.
Souffler un peu, profitant quand même du paysage.
Jours qui raccourcissent, suivant la périodicité.
Offrant en partie des beautés optimales ;
Ultimes et superbes coloris ;
Reflétant certaines couleurs automnales,
Sous un ciel des plus purs, tel un bouquet fleuri.
Donnant place au nouvel automne ;
En imprégnant champs et forêts de ses senteurs ;
Laissant diffuser des parfums qui ne sont pas monotones.
,
Emettant dans l'air que de bonnes odeurs.
Tel un beau jardin paradisiaque,
En plein milieu tropical.
6 Les derniers jours de l’été
Les lueurs de l’été éblouissaient le ciel,
Et les lumières douces où la chaleur me parcourt,
Savourant juste quelques essentiels,
Des sentiments profonds, presque aveugles et sourds.
Éprouver celui-ci réellement m’est essentiel,
Remémorés des émotions gardées, cette belle sensation,
Naturellement, je rêve de toi, c’est essentiel,
Inoubliable nuits étoilées, pouvoir toujours t’aimer.
Ensemble, je rêve que nous soyons ensemble,
Retenir les étreintes douces, c’est pouvoir toujours aimer,
Soleil dessine les ombres qui nous ressemblent,
Jonglant avec des milliers d’oiseaux,
Orange fut le ciel, éclatant et beau,
Une étoile traverse l’azur si haut,
Rêver ensemble, c’est notre idéal,
Savourant chaque instant, bonheur vital.
Douceur des nuits, nos âmes en éveil,
Éclairant nos vies, un amour sans pareil,
Lueur de l’aube, promesse éternelle,
Éternité promise, nos cœurs en nous.
Tendrement, nos vies s’entrelacent, belle,
Et toujours ensemble, amour inégalé.
Le char d’Hélios est moins haut dans le ciel
Enlevant au zénith ses traits de braises
Sa course pourtant dicte encore aux mortels
De peux s’exposer sans baumes qui apaisent
Estourbir de chaleur, apanage du Lion
Rugissant au zodiac des jours d’été
Non sans songer à la belle constellation
Irrésistible Vierge, qui attend son bien-aimé
En amant zélé, il clamera sa flamme
Réduira la fournaise et un peu l’ardeur
Ses rais d’automne, la séduiront d’une gamme
Jaunes, rouilles et ors, d’un invisible bonheur
Ô, mon beau soleil, reste jusqu’à Octobre
Use de ton pouvoir, qu’attende la Madone
Résiste à ses charmes, elle te veut plus sobre
Saisis-moi encore de la fièvre où j’abandonne
Délaisse les soucis, me remémore la plage
Emoustillé d’embruns et de sable chaud
Lunettes à mirer, rêveur, son corsage
‘
Espérant son sourire, à mes tendres mots
Tu m’as touché si fort, de beauté, d’énergie
Et ton coup m’a sommé, de l’aimer pour la Vie
Les derniers jours de l’Été.....LYS
La lune pleine, majestueuse et rousse
Émerveille l'âme, caresse les bois verts,
Scintille sur les nuages, les éclabousse,
Danse l'onde où son reflet d'or se perd,
Enlaçant l'obscurité d'une lueur étoilée,
Révélation magique d'un décor à l'envers.
Nouvelle métamorphose en l'empyrée,
Incroyable quartier jouant à cache-cache
Esquissant vers l'Automne un pas de deux...
Repos des vendangeurs avant leur tâche,
Sous une tonnelle pétille un spiritueux...
Jours déclinant en beauté, douce caresse,
Oraison d'un Été qui se meure sous le vent,
Ultime sérénade d'une saison en détresse...
Réunis, quelques touristes sous l'auvent
S'épanchent...effet d'une légère ivresse...
Douceurs infinies de ces derniers moments,
Éternels souvenirs, images enchanteresses...
L'automne prépare sa palette de couleurs...
Écourte les heures d'été et souffles de vies,
Toute la nature tremble, retient ses pleurs,
Entre-ouvre ses portes aux parades infinies...
Le temps de la rentrée…triste et solennel …
Ecole fermée pour presque deux mois, dorénavant ouverte,
Sac, trousse et son contenu tout de neuf remplis…
Découverte d’une nouvelle instit dont on dépend,
Elèves heureux de se retrouver pour une autre année,
Récréations bienfaitrices pour tout se raconter
Niant devoirs, leçons et cahiers, sans contrefaçon…
Idées de jouer, sauter, courir en épi
Et oui…faut en profiter c’est encore l’été !
Rangeons au fond du cartable ce que nos parents auront à signer,
Sortons les souvenirs et l’insouciance de nos vacances !
Jamais je pensais qu’elles passeraient aussi vite que le p’tit dej,
Oublions les contraintes, elles ne valent que zéro,
Utilisons les rayons du soleil et tout son superflu
Rentrée des classes…je suis loin de t’aimer
Sans toi je serais encore en belles dilettantes !
Demain…ou après demain je me mettrai à étudier sans cafard
Encore que…peut être la semaine suivante …
L’avenir des prochains mois n’est pas mon idéal
En dépit de la Toussaint, Noël, Pacques et Trinité,
Toutefois j’envisage de bien travailler sans abrutissement
En attendant patiemment le prochain été …
Dédié à mon petit fils...le abab n'a pas été respecté mais je voulais faire l'essai d'un double acrostiche
Les derniers jours de l’été Lumierelive
Longue, interminable attente avant ton arrivée,
Espérance retardée, mais tu es enfin venu…
Silencieuses les cigales se morfondaient désespérées,
Dans des intonations estivales tu es apparu
Enfoui sous un halo d’azur entremêlé d’or,
Repoussant les jours tristes et froids qui nous ont éconduits,
Nichant sous ton aile, les attributs d’un Thermidor
Ignorant l’effusion de touffeur qui l’a suivi,
Emprises des rayons solaires sous d’infinies candeurs
Relayées par une nonchalance bienfaitrice,
Sacrant cette saison sous les hospices du bonheur…
Joie si éphémère, tu es sur le déclin et devenir ‘jadis’,
Ombrage automnale plane sur nos têtes
Usurpant ces trop courts moments d’enthousiasme,
Relayés bientôt par la froideur qui se silhouette
Suggérant la phase hivernale et son miasme,
Défaillance à ne vouloir admirer les beautés à venir :
Eblouissances de tonalités et de senteurs…
Lamentations vaines qui ne t’empêcheront pas de mourir
Enivre-toi du présent et de ses faveurs
Tablant sur ses offrandes que tu dois recueillir,
Eté… tu reviendras en toute ta splendeur !
Les derniers jours de l'été ANGEPAPILLONNANOU
La chaleur faisait naufrage dans le ciel,
Encore un peu le soleil sur notre vision qui s’égare
Sans nuage noir, juste des orages artificiels,
Déjà, les matins se lèvent sous le brouillard.
Épaisse arrive de plus en plus une brume en peine,
Recouvrant les clartés, quand tombe le soir
Narcisses, lilas et jonquilles se fanent dans le jardin d’Éden,
Inlassablement, j’observe la saison où tout se fini.
Elle semble être le reflet d’une vague éternelle,
Rêves et souvenirs se mêlent dans l’air,
Sérénité et mélancolie s’installent sans trop de bruits ni étincelles,
Jours d’été, moments de joie sous sono de DJ.
Ombres s’allongent, le temps n’est plus au crédo,
Un dernier rayon, un dernier adieu,
Rêveries d’un été qui s’achève sans résister,
Souvenirs en nos cœurs à jamais gravés
Douceur des soirées dans une chaleur qui surprend
Éclat de rire, instant qui chavire,
Lumière dorée, ciel d’azur si idéal,
Été saison des amours, tant apprécié.
Tendrement, tu nous quittes trop tôt,
Éphémère, mais inoubliable souvenirs d été.
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Du 2 septembre au 28 septembre
Résultats 3 octobre
Thème : mettre en acrostiche 'les derniers jours de l’été'
Consignes :
En acrostiche
Métrique libre
Rimes croisées obligatoires (abab)
Attention à l’orthographe, aux répétitions et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes
Vous pouvez également participer en hors concours.
Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
1 Les derniers jours de l’été.
Le moment est venu d’écrire pour ce concours,
Et c’est maintenant l’aventure de la rentrée,
Sans avoir à se préoccuper pour la note qui court.
Décrire toutes nos aventures en guise d’entrée,
Est un pensum bienveillant pour encore s’amuser,
Rendez-vous des écrivaillons que tous nous sommes,
Notant au fur et à mesure nos visites aux musées,
Incluant nos balades, nos baignades ou tout comme.
Eté quand tu nous tiens, garde nous nos souvenirs,
Résumé de quelques jours qui passent trop vite,
Surprendre le travail et voir ainsi les sous venir.
Je vous relate ainsi mon farniente sans aucune limite,
Où les jours se ressemblent à l’ombre de ma glycine,
Un parasol naturel qui adoucit les effets du soleil,
Relaxant l’ensemble du corps dans l’onde de ma piscine,
Savourant ainsi un repos mérité en sieste de merveille
Déjà terminé la forêt n’est plus de charme, mais de boulot,
En reprise à mettre sur des feuilles de papier,
La sensation de mettre de coté tous nos petits bibelots,
‘
Entreposés sur un meuble pour de temps en temps les épier,
Tentation des jours chauds et heureux aujourd’hui disparus,
Et montrer les derniers jours de l’été, ici en un texte incongru.
***************
2 Les derniers jours de l’été
Lueurs affaiblies sans chaleur,
Effacent l'azur si bleu du ciel,
Soleil se couche avant l'heure,
Désertant sans être artificiel.
Eclaire à peine les horizons,
Rayonnant sur les lacs, les étangs,
Navigant entres les derniers foisons,
Idéalisant les derniers jours de beaux temps.
Effleurant les fleurs encore écloses,
Roses, lilas, ou même les primevères,
Senteurs douces et douceurs telles de jolies proses,
Jardin d'Eden où planent les rêves et mystères.
Odorant et à la fois tellement enivrant,
Un parfum délicat, par de multiples fleurs colorées,
Ravissant les sens, un instant captivant,
Sous les dernières longues et belles journées dorées.
Dernières heures d'été ou règnent la chaleur,
Effleurant tant de souvenirs enfouis en nous,
Le ciel, et ses nuages reprennent leurs pâleurs,
Et les feuilles tombent, tout se dénoue.
Temps des rêves alors s'achève,
Eclairant de façon un peu trop brève.
*****************
3 Les derniers jours de l'étéL’amertume n’est pas de mise, même si les jours
Egrainent le message, d’une proche fin d’été
Sereins, à ce passage, peu à peu, plus court
Dans la belle lumière, et sa chaleur aimée
Entrer dans la période, douce mélancolique
Revoir Dame nature, transcender des couleurs
Nuancier de rouilles, et de jaunes magnifiques
Insufflant un sourire, envers le Créateur
Et ses nouveaux cadeaux, de fruits et de pétales
Raisins en belles grappes, figues, pommes d’hiver
Superbes les dahlias, aux variétés royales
Joyeuse pluie d’étoiles, d’amour, comme les asters
Observateur comblé, pour moins penser aux vacances
Un jour où la fraîcheur, voudra me rhabiller
Reste, cher soleil, ton rayonnement dispense
Santé, vitalité, la grande joie d’exister
Dehors, de mon regard, tu me sembles bien
Ecouter mes vers, ralentir les nuages
Laisser le souffle de l’air, aux degrés qu’il convient
‘
Ensemençant l’esprit d’idées de canotage
Tant, tout repose sur toi, en Septembre, la mer
En duo d’amoureux , nous chérira, j’espère...
***********
4 Les derniers jours de l'été L'été s'étire en doux soupirs, bientôt s'effaceront mes rêves,
Envolés comme des feuilles emportées par un vent mourant.
Sous le ciel pâlissant, les souvenirs dansent et se soulèvent d'une fugacité qui me trouble, où l'espoir se lève.
Dès cet instant fugitif, je m'égare dans l'écho des cieux grisonnant
Et mon âme perd ses feuilles, laissant le vent caresser ses pensées,
Rêvant d'un éternel jour où le temps serait silencieux.
Nostalgique des jours éphémère, le temps lui, s'égrène, vain et usé;
Images floues d'un temps révolu et parfois capricieux.
Entrons dans l'automne, vers l'horizon, l'été s'enfuit,
Rayonnant dans nos cœurs de milles feu tel un délice
Sur les ailes mélancolique du temps qui s'efface sans bruits.
Jamais je n'oublierai ces moments subtiles et complices,
Ode à la nature, ultime chant des dernières effervescences,
Unissons de couleurs, mélodies des jours déclinants, enchantés;
Requiem silencieux pour les derniers jours de cet été en décadence.
Sur ma page blanche, je vomis son souvenir enjolivé.
De sa douceur, l'astre céleste réchauffe nos cœurs,
Et sous ce ciel d'Azur danse une délicate brise légère.
Les écho mélodieux des derniers jours s'estompe en chœur,
Égrenant les souvenirs en une douce symphonie telle une prière,
Temps suspendu, douce langueur qui nous enveloppe de douceur;
Été tu t'enfuis, laissant derrière toi une douce miette, une nature qui frisonne, austère.
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5 Les derniers jours de l'été.
La saison des vacances se termine.
Et c'est le moment de rentrer au bercail.
Sans plus attendre, retourner à sa citadine ;
Devant le fait accompli, se remettre au travail.
En continuant d'assumer ses responsabilités familiales,
Retrouver ses petits problèmes quotidiens.
Nécessité oblige, oublier cette période estivale.
Idem, reprendre métro boulot dodo, parmi tous les siens.
En affrontant ces épouvantables embouteillages ;
Revenir dans le monde de la réalité.
Souffler un peu, profitant quand même du paysage.
Jours qui raccourcissent, suivant la périodicité.
Offrant en partie des beautés optimales ;
Ultimes et superbes coloris ;
Reflétant certaines couleurs automnales,
Sous un ciel des plus purs, tel un bouquet fleuri.
Donnant place au nouvel automne ;
En imprégnant champs et forêts de ses senteurs ;
Laissant diffuser des parfums qui ne sont pas monotones.
,
Emettant dans l'air que de bonnes odeurs.
Tel un beau jardin paradisiaque,
En plein milieu tropical.
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6 Les derniers jours de l’été
Les lueurs de l’été éblouissaient le ciel,
Et les lumières douces où la chaleur me parcourt,
Savourant juste quelques essentiels,
Des sentiments profonds, presque aveugles et sourds.
Éprouver celui-ci réellement m’est essentiel,
Remémorés des émotions gardées, cette belle sensation,
Naturellement, je rêve de toi, c’est essentiel,
Inoubliable nuits étoilées, pouvoir toujours t’aimer.
Ensemble, je rêve que nous soyons ensemble,
Retenir les étreintes douces, c’est pouvoir toujours aimer,
Soleil dessine les ombres qui nous ressemblent,
Jonglant avec des milliers d’oiseaux,
Orange fut le ciel, éclatant et beau,
Une étoile traverse l’azur si haut,
Rêver ensemble, c’est notre idéal,
Savourant chaque instant, bonheur vital.
Douceur des nuits, nos âmes en éveil,
Éclairant nos vies, un amour sans pareil,
Lueur de l’aube, promesse éternelle,
Éternité promise, nos cœurs en nous.
Tendrement, nos vies s’entrelacent, belle,
Et toujours ensemble, amour inégalé.
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7 les derniers jours de l'été
Le char d’Hélios est moins haut dans le ciel
Enlevant au zénith ses traits de braises
Sa course pourtant dicte encore aux mortels
De peux s’exposer sans baumes qui apaisent
Estourbir de chaleur, apanage du Lion
Rugissant au zodiac des jours d’été
Non sans songer à la belle constellation
Irrésistible Vierge, qui attend son bien-aimé
En amant zélé, il clamera sa flamme
Réduira la fournaise et un peu l’ardeur
Ses rais d’automne, la séduiront d’une gamme
Jaunes, rouilles et ors, d’un invisible bonheur
Ô, mon beau soleil, reste jusqu’à Octobre
Use de ton pouvoir, qu’attende la Madone
Résiste à ses charmes, elle te veut plus sobre
Saisis-moi encore de la fièvre où j’abandonne
Délaisse les soucis, me remémore la plage
Emoustillé d’embruns et de sable chaud
Lunettes à mirer, rêveur, son corsage
‘
Espérant son sourire, à mes tendres mots
Tu m’as touché si fort, de beauté, d’énergie
Et ton coup m’a sommé, de l’aimer pour la Vie
HORS CONCOURS
Les derniers jours de l’Été.....LYS
La lune pleine, majestueuse et rousse
Émerveille l'âme, caresse les bois verts,
Scintille sur les nuages, les éclabousse,
Danse l'onde où son reflet d'or se perd,
Enlaçant l'obscurité d'une lueur étoilée,
Révélation magique d'un décor à l'envers.
Nouvelle métamorphose en l'empyrée,
Incroyable quartier jouant à cache-cache
Esquissant vers l'Automne un pas de deux...
Repos des vendangeurs avant leur tâche,
Sous une tonnelle pétille un spiritueux...
Jours déclinant en beauté, douce caresse,
Oraison d'un Été qui se meure sous le vent,
Ultime sérénade d'une saison en détresse...
Réunis, quelques touristes sous l'auvent
S'épanchent...effet d'une légère ivresse...
Douceurs infinies de ces derniers moments,
Éternels souvenirs, images enchanteresses...
L'automne prépare sa palette de couleurs...
Écourte les heures d'été et souffles de vies,
Toute la nature tremble, retient ses pleurs,
Entre-ouvre ses portes aux parades infinies...
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Les derniers jours de l'été...ou le temps de la rentrée Lumierelive
Le temps de la rentrée…triste et solennel …
Ecole fermée pour presque deux mois, dorénavant ouverte,
Sac, trousse et son contenu tout de neuf remplis…
Découverte d’une nouvelle instit dont on dépend,
Elèves heureux de se retrouver pour une autre année,
Récréations bienfaitrices pour tout se raconter
Niant devoirs, leçons et cahiers, sans contrefaçon…
Idées de jouer, sauter, courir en épi
Et oui…faut en profiter c’est encore l’été !
Rangeons au fond du cartable ce que nos parents auront à signer,
Sortons les souvenirs et l’insouciance de nos vacances !
Jamais je pensais qu’elles passeraient aussi vite que le p’tit dej,
Oublions les contraintes, elles ne valent que zéro,
Utilisons les rayons du soleil et tout son superflu
Rentrée des classes…je suis loin de t’aimer
Sans toi je serais encore en belles dilettantes !
Demain…ou après demain je me mettrai à étudier sans cafard
Encore que…peut être la semaine suivante …
L’avenir des prochains mois n’est pas mon idéal
En dépit de la Toussaint, Noël, Pacques et Trinité,
Toutefois j’envisage de bien travailler sans abrutissement
En attendant patiemment le prochain été …
Dédié à mon petit fils...le abab n'a pas été respecté mais je voulais faire l'essai d'un double acrostiche
****************
Les derniers jours de l’été Lumierelive
Longue, interminable attente avant ton arrivée,
Espérance retardée, mais tu es enfin venu…
Silencieuses les cigales se morfondaient désespérées,
Dans des intonations estivales tu es apparu
Enfoui sous un halo d’azur entremêlé d’or,
Repoussant les jours tristes et froids qui nous ont éconduits,
Nichant sous ton aile, les attributs d’un Thermidor
Ignorant l’effusion de touffeur qui l’a suivi,
Emprises des rayons solaires sous d’infinies candeurs
Relayées par une nonchalance bienfaitrice,
Sacrant cette saison sous les hospices du bonheur…
Joie si éphémère, tu es sur le déclin et devenir ‘jadis’,
Ombrage automnale plane sur nos têtes
Usurpant ces trop courts moments d’enthousiasme,
Relayés bientôt par la froideur qui se silhouette
Suggérant la phase hivernale et son miasme,
Défaillance à ne vouloir admirer les beautés à venir :
Eblouissances de tonalités et de senteurs…
Lamentations vaines qui ne t’empêcheront pas de mourir
Enivre-toi du présent et de ses faveurs
Tablant sur ses offrandes que tu dois recueillir,
Eté… tu reviendras en toute ta splendeur !
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Les derniers jours de l'été ANGEPAPILLONNANOU
La chaleur faisait naufrage dans le ciel,
Encore un peu le soleil sur notre vision qui s’égare
Sans nuage noir, juste des orages artificiels,
Déjà, les matins se lèvent sous le brouillard.
Épaisse arrive de plus en plus une brume en peine,
Recouvrant les clartés, quand tombe le soir
Narcisses, lilas et jonquilles se fanent dans le jardin d’Éden,
Inlassablement, j’observe la saison où tout se fini.
Elle semble être le reflet d’une vague éternelle,
Rêves et souvenirs se mêlent dans l’air,
Sérénité et mélancolie s’installent sans trop de bruits ni étincelles,
Jours d’été, moments de joie sous sono de DJ.
Ombres s’allongent, le temps n’est plus au crédo,
Un dernier rayon, un dernier adieu,
Rêveries d’un été qui s’achève sans résister,
Souvenirs en nos cœurs à jamais gravés
Douceur des soirées dans une chaleur qui surprend
Éclat de rire, instant qui chavire,
Lumière dorée, ciel d’azur si idéal,
Été saison des amours, tant apprécié.
Tendrement, tu nous quittes trop tôt,
Éphémère, mais inoubliable souvenirs d été.
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