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Composé Lola/Luron : Quand ton doigt nous met au lit.

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Composé Lola/Luron : Quand ton doigt nous met au lit.

Quand ton doigt, nous met au lit. De luron1er

MELODIE SOUS TES DOIGTS, De Lola

A l'écho de tes mots qui parviennent à sourire sous tes mains,
La toile d'internet si riche ne gercera pas de petites incertitudes,
Facétieuse, la figure rosie, écrivant le petit désir pour demain,
Je m'égare sur tes traces, les pieds de tes vers m'émeuvent de plénitude.

Au son des vagues qui viennent mourir à tes pieds

Les étoiles argentées seule témoin bercent ta triste solitude
Face aux dieux, le visage pâle, les mains moites, le genou plié

Elle se perd sous tes doigts, vibre, se meurt, exsude

Ton œil exercé m'enflamme des saveurs des méandres de Lucifer,
Sourire sur cet air mélodieux où tes pas m'emportent en tendresse,
Tes mots sans lamentation, itinérant, se donnent aux jours de soleil,
Ils sont de discernement, dans toute ta gamme, clignotant de détresse.

Les yeux voilés de flammes, aux couleurs des cendres de l'enfer

Larmes de mélodie quand tes mains doucement l'emportent, caressent
Au son de ses gémissements, nomade pardonne lui tes nuits sans sommeil

Elle est au fond ta raison de vivre, l'éventail de tes faiblesses

Le jour a encore développé ton vague à l'âme, Eros t'a retrouvé encore,
Anime donc le site d'un p'tit bonheur, Ton climat de reine au pays toulousain,
Tes doigts écrivent tes mots qu'a mon oreille tu susurres, envieux, je t'adore,
Gardienne à l'énamourée réplique, fredonne toujours sur tes petits quatrains.

La nuit vient envelopper ton âme, quand tu brûles son corps

Ranime l'amour dans ton cœur, la fièvre de tes veines méditerranéen
Tes lèvres dessinent les maux que tu lui murmures, jaloux comme un mirador

Geôlier de sa langoureuse supplique, chante encore pour elle mandarin

Boléro, ce bohémien d'une dynastie rêche, exulte encore à la moindre étincelle,
Ta mélodie, embrasement d'émotion, vient magistrale sous ta belle plume,
Avec ta vue et ton caractère de fer, reste toi-même encore émotionnelle,
Cette belle touffe d'aventure me jette un froid et de suite je m'enrhume.

Moréno au sang tsigane sèche ta peine sur la mantille de cette belle

Cette guitare, ton feu de passion qui fait de toi son maître qu'elle allume
Sous ton regard elle ne reste de bois, devient vibrante, passionnelle

Celle qui est ton souffle de vie, quand de son arôme elle te consume,

Pour joindre l'amitié à l'érotisme seulement pour en rire.
 

lilasys

Maître Poète
#3
Ah les souvenirs !
ça fait du bien de relire les anciens textes !
Et voir comme tu es talentueux
Bisous