...Complices...
La nuit vient parfois si perdue
Et presque rien ne semble être juste
Il y a quelque chose en nous d'inquiet et blessé
Et tout ce qui était profond reste près
Le sol de l'âme n'est pas toujours sûr
Le temps ne guérit pas toujours toutes les blessures
Et la saveur du fond de l'océan qui vient de l'ombre
Est bien souvent ce qu'il reste de la chaleur
Et presque rien ne semble être juste
Il y a quelque chose en nous d'inquiet et blessé
Et tout ce qui était profond reste près
Le sol de l'âme n'est pas toujours sûr
Le temps ne guérit pas toujours toutes les blessures
Et la saveur du fond de l'océan qui vient de l'ombre
Est bien souvent ce qu'il reste de la chaleur
Si j'étais ta peau
Si tu étais mon chemin
Si aucun de nous ne se sentait seul
Nous avons échangé les mots les plus cachés
Que seule la nuit arrache sans blesser
Nous serons complices le reste de nos vies
Ou peut-être jusqu'à l'aube
Si tu étais mon chemin
Si aucun de nous ne se sentait seul
Nous avons échangé les mots les plus cachés
Que seule la nuit arrache sans blesser
Nous serons complices le reste de nos vies
Ou peut-être jusqu'à l'aube
Il est si facile de donner son âme
À qui nous amène un souffle du désert
Regarder ou la distance ne calme jamais
En attendant ce qui viendra la poitrine ouverte
Si j'étais ta peau
Si tu étais mon chemin
Si aucun de nous ne se sentait seul
Si j'étais ta peau
Si tu étais mon chemin
Si aucun de nous ne se sentait seul
À qui nous amène un souffle du désert
Regarder ou la distance ne calme jamais
En attendant ce qui viendra la poitrine ouverte
Si j'étais ta peau
Si tu étais mon chemin
Si aucun de nous ne se sentait seul
Si j'étais ta peau
Si tu étais mon chemin
Si aucun de nous ne se sentait seul