Comme une idée,
Rejoins- moi,
Fais monter la température,
Il reste de l’amour dans la vie.
Comme une image furtive,
Un regard qui fuit les reflets,
Réponds-moi sincèrement,
Essai de trouver les mots.
Tu ne m’appartiens pas,
Mais que Dieu te bénisse,
Je pense à tes yeux angéliques
Dérivant de fantaisies,
Comme une balade au bord de l’eau
Avant que nos corps se touchent,
Caressant le fond de mes pensées,
Hypnotisant mon regard,
J’en paierai le prix
Je sais que mon coeur est prisonnier.
Mais je voudrai lire sur ton visage,
Dans le fond de ton regard,
Sans jamais te maudire
Des rêves sans mensonges,
Déboutonnant un à un le rose de ta peau,
La prison délicate et légère des mots,
Sur la lisière du bout des doigts
Glissant lentement si besoin.
Je prendrai mon temps
Dévoilant les accords de ta peau
Sous le corps à corps de ma plume ;
Déboutonnant doucement
Saisissant délicatement
Les expressions de la vie,
Emprisonnant ta peau
Comme si le paradis m'appartenait.
Je découvrirai les frissons de ton dos
Attendant les caresses légères,
L’accension de mot fait pour toi
Comme pour déboutonner cette boutonnière
Emprisonnant ton corps,
Observer tes petites fesses,
Attendant ces caresses
Je déboutonnerai ces petits boutons,
Ceux qui te parsèment de tes frissons
Pour faire durer le plaisir ;
Laissant les sensations t'envahir
Je savourai les préliminaires,
J’y déposerai ma bouche
Avant que nos deux corps se touchent,
Je te déboutonnerai de haut en bas
Pour enfin retrouver tes bras,
Sans aucune fine couture
Que l’orfèvre de tes lèvres pour seul bijou.
L.Deléglise
Rejoins- moi,
Fais monter la température,
Il reste de l’amour dans la vie.
Comme une image furtive,
Un regard qui fuit les reflets,
Réponds-moi sincèrement,
Essai de trouver les mots.
Tu ne m’appartiens pas,
Mais que Dieu te bénisse,
Je pense à tes yeux angéliques
Dérivant de fantaisies,
Comme une balade au bord de l’eau
Avant que nos corps se touchent,
Caressant le fond de mes pensées,
Hypnotisant mon regard,
J’en paierai le prix
Je sais que mon coeur est prisonnier.
Mais je voudrai lire sur ton visage,
Dans le fond de ton regard,
Sans jamais te maudire
Des rêves sans mensonges,
Déboutonnant un à un le rose de ta peau,
La prison délicate et légère des mots,
Sur la lisière du bout des doigts
Glissant lentement si besoin.
Je prendrai mon temps
Dévoilant les accords de ta peau
Sous le corps à corps de ma plume ;
Déboutonnant doucement
Saisissant délicatement
Les expressions de la vie,
Emprisonnant ta peau
Comme si le paradis m'appartenait.
Je découvrirai les frissons de ton dos
Attendant les caresses légères,
L’accension de mot fait pour toi
Comme pour déboutonner cette boutonnière
Emprisonnant ton corps,
Observer tes petites fesses,
Attendant ces caresses
Je déboutonnerai ces petits boutons,
Ceux qui te parsèment de tes frissons
Pour faire durer le plaisir ;
Laissant les sensations t'envahir
Je savourai les préliminaires,
J’y déposerai ma bouche
Avant que nos deux corps se touchent,
Je te déboutonnerai de haut en bas
Pour enfin retrouver tes bras,
Sans aucune fine couture
Que l’orfèvre de tes lèvres pour seul bijou.
L.Deléglise