Cœur de la passion
C’est une passion dévoilant ce doux rêve
Quand le fleuve flamboie au délice plaisir
À consoler la terre en sa feuille si brève
Car l’automne décrit l’incendie à gésir
Quand nos corps éblouis se dressent d’une danse
Elle emporte le temps pour entrer dans le vent
Le souffle qui dévoile à l’instar de la chance
Un regard engageant qui mène au cœur souvent.
Maria-Dolores