Il s’ennuit de sa vie sans surprise
Tout ce qui l’entoure le méprise
Alors ce fut un jour devant sa télé HD
Une chose qui régla tous ses soucis
A présent tout ce qu’il voit l’apprécie
Derrière un écran télévisé de sa réalité
Même mieux encore de voir le monde différemment
Et il peut vous confirmer que c’est si apaisant
Écran noir qui s’allume affichant une image de haute qualité
C’est ce qu’on appelle de la haute définition bien détaillé
Des traits fin de chaque ride qu’on voit sur cette femme
Tellement qu’elle est moche, tellement qu’elle est laide
Que même un aveugle ne voudrait pas d’elle pour femme
Encore le mot est si gentil qu’il est si méchant
Mais voyez qu’à cette image de ce bipède
Est tout simplement et légalement si apaisant
Un enfant qui pleure
Une famille qui s’agrandit
Un peuple qui meurt
Un dictateur qui s’enrichit
De ces idiots qu’ils lui restent fidèle
Qu’il peut se faire la belle
Par la tyrannie et le sang
Qui rend si apaisant
Une rébellion qui résiste face l’armée
Souffrant pour l’égalité, la liberté et la fiscalité
Qui veut la paix se prépare à la guerre
Pour ensuite une vente aux enchères
Un monde esclave de l’argent
Ca sonne si bien que ça devient si apaisant
Par sa cervelle droite et celle de gauche
Qu’il en écrit une poésie de sa main gauche
« L’argent, maître de nous
N’étant guère humain, animal ou végétal
Non, notre maître à nous
N’est en faite et clairement qu’un minéral
Oui, sans minéral on ne peut survivre,
Par déshydratation ou par pauvreté
Qui est le fait de vivre
sous loyer »
A oui nous sommes tous dépendant
Que ça lui redevient si apaisant
Zapper, zappons sur d’autre chaine
Voir d’autres catastrophes qui s’enchainent
Par les colères de notre belle et si pure planète
Notre mère à qui l’on doit la vie et la mort
De cette légende du berceau de la vie qui est une cuvette
Bien profond qui cache ces mystères par clore
Une trêve pour l’humanité qui reste poignant
Donnant d’un divertissement si apaisant
Stoppons par ces deux lignes de ce poème
Qui n’apporte que haine et qu’il aime
Encore je me suis énormément retenue
D’après ce que j’ai relu
Apaisant c’est si apaisant pour lui
De voir les malheurs des autres pour en faire son bonheur
Une énergie si puissante, aussi forte que l’amour
Par ci, par là de ce que je dis et j’écris
N’est pas des mots qui viennent du cœur
Carboniser par mon four
Tout ce qui l’entoure le méprise
Alors ce fut un jour devant sa télé HD
Une chose qui régla tous ses soucis
A présent tout ce qu’il voit l’apprécie
Derrière un écran télévisé de sa réalité
Même mieux encore de voir le monde différemment
Et il peut vous confirmer que c’est si apaisant
Écran noir qui s’allume affichant une image de haute qualité
C’est ce qu’on appelle de la haute définition bien détaillé
Des traits fin de chaque ride qu’on voit sur cette femme
Tellement qu’elle est moche, tellement qu’elle est laide
Que même un aveugle ne voudrait pas d’elle pour femme
Encore le mot est si gentil qu’il est si méchant
Mais voyez qu’à cette image de ce bipède
Est tout simplement et légalement si apaisant
Un enfant qui pleure
Une famille qui s’agrandit
Un peuple qui meurt
Un dictateur qui s’enrichit
De ces idiots qu’ils lui restent fidèle
Qu’il peut se faire la belle
Par la tyrannie et le sang
Qui rend si apaisant
Une rébellion qui résiste face l’armée
Souffrant pour l’égalité, la liberté et la fiscalité
Qui veut la paix se prépare à la guerre
Pour ensuite une vente aux enchères
Un monde esclave de l’argent
Ca sonne si bien que ça devient si apaisant
Par sa cervelle droite et celle de gauche
Qu’il en écrit une poésie de sa main gauche
« L’argent, maître de nous
N’étant guère humain, animal ou végétal
Non, notre maître à nous
N’est en faite et clairement qu’un minéral
Oui, sans minéral on ne peut survivre,
Par déshydratation ou par pauvreté
Qui est le fait de vivre
sous loyer »
A oui nous sommes tous dépendant
Que ça lui redevient si apaisant
Zapper, zappons sur d’autre chaine
Voir d’autres catastrophes qui s’enchainent
Par les colères de notre belle et si pure planète
Notre mère à qui l’on doit la vie et la mort
De cette légende du berceau de la vie qui est une cuvette
Bien profond qui cache ces mystères par clore
Une trêve pour l’humanité qui reste poignant
Donnant d’un divertissement si apaisant
Stoppons par ces deux lignes de ce poème
Qui n’apporte que haine et qu’il aime
Encore je me suis énormément retenue
D’après ce que j’ai relu
Apaisant c’est si apaisant pour lui
De voir les malheurs des autres pour en faire son bonheur
Une énergie si puissante, aussi forte que l’amour
Par ci, par là de ce que je dis et j’écris
N’est pas des mots qui viennent du cœur
Carboniser par mon four