Patiemment, mon regard se pose sur mon visage,
Teinté des couleurs de l’amour et de la rage.
Sur cette surface lisse il se dépose
Comme un dessin inachevé ou un poème sans prose.
J’observe la nuance de mes yeux
Vert, brun, profonds et mystèrieux.
Ils m’ouvrent une porte sur mon âme
Et me laissent voir l’enfer de mes flammes.
Ma bouche reste immobile,
Pourtant, d’habitude si habile.
Elle est mon sourire et mes cries,
Exprime les angoisses de mes nuits.
Je remarque que mon visage reflète ma vie.
Mes rides mes joies et mes soucis.
Oui, le reflet dans ce miroir est aussi le reflet de mon esprit
Des gens qui m’entour, de mes amis et de ma famille.
Teinté des couleurs de l’amour et de la rage.
Sur cette surface lisse il se dépose
Comme un dessin inachevé ou un poème sans prose.
J’observe la nuance de mes yeux
Vert, brun, profonds et mystèrieux.
Ils m’ouvrent une porte sur mon âme
Et me laissent voir l’enfer de mes flammes.
Ma bouche reste immobile,
Pourtant, d’habitude si habile.
Elle est mon sourire et mes cries,
Exprime les angoisses de mes nuits.
Je remarque que mon visage reflète ma vie.
Mes rides mes joies et mes soucis.
Oui, le reflet dans ce miroir est aussi le reflet de mon esprit
Des gens qui m’entour, de mes amis et de ma famille.