C'est.comme si c'était hier,
Cet air que l'on respire, le soleil qui brule de toutes ses forces. Il y a aussi le petit jardin qui grandit près de la clôture de bois et les nuages qui traversent un paysage bleu au dessus de nos yeux égarés.
Comme.si c'était hier, la même musique qui bourdonne. Les oiseaux parlent tjrs le même langage, nous aussi d'ailleurs. On sent l'odeur des steaks sur leur BBQ et le son de la terre qui tourne au même rythme.
Si.c'était hier on n'aurait rien à regretter encore, tout est identique. Quand on y réfléchit bien, on entend tjrs le mm refrain de chacun. Les fillettes pleurent en serrant leurs doudous, les filles qui pleurnichent sur leur dernier amour, les garçons se vantant de leur nouvelle aventure. Et le son des chaises berçante des grands-parents qui eux n'ont plus rien à dire. Le silence parle pour eux.
C'était.hier, même mot, même phrase, même chapitre du livre. Rien à redire, sinon que le chemin est semblable si ce n'est que cette légère pluie qui picote la peau de temps en temps. On goûte à cette chaleur salée et à ce vent sucré. On dirait que tout n'a plus rien de nouveau.
Hier ,.même odeur d'été et de nourriture épicé, même sons bourdonnant et à chacun son langage, à chacun ses plaintes. Pareil pour ces gouts sucrés-salés qui se querellent à savoir qui est le meilleur. Même chose pour la chaleur et les gouttes de pluies, elles sont toutes semblables, voir identiques.
Mais, mais peut-être qu'au-dessus de tous ces indifférents. Quelque chose à changer.
Nous avons grandit. L'indépendance nous a gagnés. En espérant tous garder un cœur d'enfant et une tête de grand. Les yeux pétillants de la jeunesse et les paroles sages des plus vieux.
Et si jamais je changerai trop demain, je te le dis aujourd'hui :
Cet air que l'on respire, le soleil qui brule de toutes ses forces. Il y a aussi le petit jardin qui grandit près de la clôture de bois et les nuages qui traversent un paysage bleu au dessus de nos yeux égarés.
Comme.si c'était hier, la même musique qui bourdonne. Les oiseaux parlent tjrs le même langage, nous aussi d'ailleurs. On sent l'odeur des steaks sur leur BBQ et le son de la terre qui tourne au même rythme.
Si.c'était hier on n'aurait rien à regretter encore, tout est identique. Quand on y réfléchit bien, on entend tjrs le mm refrain de chacun. Les fillettes pleurent en serrant leurs doudous, les filles qui pleurnichent sur leur dernier amour, les garçons se vantant de leur nouvelle aventure. Et le son des chaises berçante des grands-parents qui eux n'ont plus rien à dire. Le silence parle pour eux.
C'était.hier, même mot, même phrase, même chapitre du livre. Rien à redire, sinon que le chemin est semblable si ce n'est que cette légère pluie qui picote la peau de temps en temps. On goûte à cette chaleur salée et à ce vent sucré. On dirait que tout n'a plus rien de nouveau.
Hier ,.même odeur d'été et de nourriture épicé, même sons bourdonnant et à chacun son langage, à chacun ses plaintes. Pareil pour ces gouts sucrés-salés qui se querellent à savoir qui est le meilleur. Même chose pour la chaleur et les gouttes de pluies, elles sont toutes semblables, voir identiques.
Mais, mais peut-être qu'au-dessus de tous ces indifférents. Quelque chose à changer.
Nous avons grandit. L'indépendance nous a gagnés. En espérant tous garder un cœur d'enfant et une tête de grand. Les yeux pétillants de la jeunesse et les paroles sages des plus vieux.
Et si jamais je changerai trop demain, je te le dis aujourd'hui :
Tu vis dans chacun de mes mots et je revischacundes tiens.
