Cessons de nous lamenter!
Les périodes de grandes chaleurs et de pluie existent depuis très longtemps dans notre région et ailleurs! Alors arrêtons de nous plaindre sans arrêt!
Le début du 14eme siècle a subi une période glaciaire, qui a été precédé d une période caniculaire…..on a vendangé en Alsace au mois de juin!
Ça c’est de l’information! Les jeunes journalistes en herbe devraient lire ce qui suit, eux qui prêchent la surchauffe climatique continuellement afin d’entretenir la psychose de la peur!
Les anales de Figeac, j’ai eu le courage de recopier ce passage historique terrible!
Trois ans de pluie continuelles!
Des fléaux plus cruels, lancés par la main du Tout-Puissant, firent encore plus de mal : c’était la peste et la famine, qui désolèrent nos contrées pendant les années 1348 et 1349. La peste portée du Levant en Italie, et de là en France, fit de si grands ravages qu’elle enleva la huitième partie des habitants. On se figurait que tous ces malheurs, et ceux de la guerre qui les suivit, avaient été présagés par l’apparition de deux effarantes comètes!. Toujours dans les anales de Figeac page 82 : année 1031
Peu de temps auparavant, un phénomène surprenant effraya toute l’Aquitaine. Il y tomba, pendant trois jours, une pluie de sang, qui imprimait sur la chair, sur les pierres et les étoffes des tâches ineffaçables ; mais qui s’enlevaient aisément sur le bois. Ce phénomène fut un avant coureur d’une des plus cruelles famine que l’histoire fasse mention. Elle commença en 1030 et dura trois ans, pendant lesquels des pluies presque continuelles empéchèrent les moissons et les autres fruits de la terre à venir à maturité. Les éléments paraissaient tellement altérés, et les saisons si dérangées, qu’il semblait que le monde allait rentrer dans le choas d’où il était sorti. On imagine aisément ce que les peuples eurent à souffrir d’une indigence qui ne fit qu’augmenter pendant trois années consécutives, mais on aurait peine à croire, les détestables attentats que la rage et la faim fit alors commettre, si un auteur de ces horreurs n’avait pris le soin de nous les retracer. Après avoir cherché en vain quelques suppléments de nourriture ordinaires dans l’herbe des prairies dans les racines des arbres, on en vint jusqu’à déterrer les morts pour s’en nourrir. On se porta ensuite à des excès plus horribles pour austenter une misérable vie, bien plus triste que la mort. Il faut que la faim soit une passion bien cruelleet bien impérieuse !...elle porte les chrétiens à se manger les uns les autres, ce que les bêtes les plus féroces de la même espèce ont horreur de faire. Les hommes allaient, pour ainsi dire, à la chasse aux hommes!. Ils s’attaquaient les uns les autres sur les chemins; non pour se voler, mais pour se manger! Les hottelleries étaient devenues des coupe-gorges et on trouvait la mort en cherchant un asile. Les voyageurs qui s’y retiraient dans l’espérance d’y rencontrer quelque nourriture pour de l’argent, y étaient assassinés pour servir d’aliment aux autres. On prit près de Macon, un aubergidte qui en avait tué et fait mangé quarante huit, dont on trouva les têtes dans la cave. Il fut brûlé par ordre d’Otton comte de Macon. (Justice était ainsi rendue!) Un autre porta même plus loin l’audace il exposa publiquement en vente sur le marché de Tournus de la chair humaine et fut condamné au feu! On fit enterrer la chair qu’il vendait, mais un homme affamé remarqua l’endroit, et fut la déterrer pour s’en nourrir. C’est avec peine que l’on rappelle de pareilles horreurs, qui déshonorent l’humanité, mais les crimes que cette peste et famine fit commettre répandent plus d’éclats sur les actions de pitié qu’elle donna lieu de pratiquer.
La grippe espagnole fit près de soixante millions de morts entre 1919 et 1920.
Les gens avaient l’habitude de mourrir mon grand-père participa à la bataille de la Somme qui tua 30 000 jeunes soldats en une seule journée!
Alors, vivons ces chaleurs sans nous alarmer, nos ancêtres ont connu tellement pire sans qu’on les assiste comme des demeurés!
Je rappelle qu’en 1956 durant tout le mois de février, nous avons eu sur toute la France des températures négatives entre moins quinze et moins 26 degrés. Je n’ose pas imaginer, ce que pourraient dire les jeunots de l’information, si une période hivernale comme celle là se reproduisait! Ils prêcheraient sûrement la fin du monde! Une nouvelle ère glaciaire?
Les périodes de grandes chaleurs et de pluie existent depuis très longtemps dans notre région et ailleurs! Alors arrêtons de nous plaindre sans arrêt!
Le début du 14eme siècle a subi une période glaciaire, qui a été precédé d une période caniculaire…..on a vendangé en Alsace au mois de juin!
Ça c’est de l’information! Les jeunes journalistes en herbe devraient lire ce qui suit, eux qui prêchent la surchauffe climatique continuellement afin d’entretenir la psychose de la peur!
Les anales de Figeac, j’ai eu le courage de recopier ce passage historique terrible!
Trois ans de pluie continuelles!
Des fléaux plus cruels, lancés par la main du Tout-Puissant, firent encore plus de mal : c’était la peste et la famine, qui désolèrent nos contrées pendant les années 1348 et 1349. La peste portée du Levant en Italie, et de là en France, fit de si grands ravages qu’elle enleva la huitième partie des habitants. On se figurait que tous ces malheurs, et ceux de la guerre qui les suivit, avaient été présagés par l’apparition de deux effarantes comètes!. Toujours dans les anales de Figeac page 82 : année 1031
Peu de temps auparavant, un phénomène surprenant effraya toute l’Aquitaine. Il y tomba, pendant trois jours, une pluie de sang, qui imprimait sur la chair, sur les pierres et les étoffes des tâches ineffaçables ; mais qui s’enlevaient aisément sur le bois. Ce phénomène fut un avant coureur d’une des plus cruelles famine que l’histoire fasse mention. Elle commença en 1030 et dura trois ans, pendant lesquels des pluies presque continuelles empéchèrent les moissons et les autres fruits de la terre à venir à maturité. Les éléments paraissaient tellement altérés, et les saisons si dérangées, qu’il semblait que le monde allait rentrer dans le choas d’où il était sorti. On imagine aisément ce que les peuples eurent à souffrir d’une indigence qui ne fit qu’augmenter pendant trois années consécutives, mais on aurait peine à croire, les détestables attentats que la rage et la faim fit alors commettre, si un auteur de ces horreurs n’avait pris le soin de nous les retracer. Après avoir cherché en vain quelques suppléments de nourriture ordinaires dans l’herbe des prairies dans les racines des arbres, on en vint jusqu’à déterrer les morts pour s’en nourrir. On se porta ensuite à des excès plus horribles pour austenter une misérable vie, bien plus triste que la mort. Il faut que la faim soit une passion bien cruelleet bien impérieuse !...elle porte les chrétiens à se manger les uns les autres, ce que les bêtes les plus féroces de la même espèce ont horreur de faire. Les hommes allaient, pour ainsi dire, à la chasse aux hommes!. Ils s’attaquaient les uns les autres sur les chemins; non pour se voler, mais pour se manger! Les hottelleries étaient devenues des coupe-gorges et on trouvait la mort en cherchant un asile. Les voyageurs qui s’y retiraient dans l’espérance d’y rencontrer quelque nourriture pour de l’argent, y étaient assassinés pour servir d’aliment aux autres. On prit près de Macon, un aubergidte qui en avait tué et fait mangé quarante huit, dont on trouva les têtes dans la cave. Il fut brûlé par ordre d’Otton comte de Macon. (Justice était ainsi rendue!) Un autre porta même plus loin l’audace il exposa publiquement en vente sur le marché de Tournus de la chair humaine et fut condamné au feu! On fit enterrer la chair qu’il vendait, mais un homme affamé remarqua l’endroit, et fut la déterrer pour s’en nourrir. C’est avec peine que l’on rappelle de pareilles horreurs, qui déshonorent l’humanité, mais les crimes que cette peste et famine fit commettre répandent plus d’éclats sur les actions de pitié qu’elle donna lieu de pratiquer.
La grippe espagnole fit près de soixante millions de morts entre 1919 et 1920.
Les gens avaient l’habitude de mourrir mon grand-père participa à la bataille de la Somme qui tua 30 000 jeunes soldats en une seule journée!
Alors, vivons ces chaleurs sans nous alarmer, nos ancêtres ont connu tellement pire sans qu’on les assiste comme des demeurés!
Je rappelle qu’en 1956 durant tout le mois de février, nous avons eu sur toute la France des températures négatives entre moins quinze et moins 26 degrés. Je n’ose pas imaginer, ce que pourraient dire les jeunots de l’information, si une période hivernale comme celle là se reproduisait! Ils prêcheraient sûrement la fin du monde! Une nouvelle ère glaciaire?
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