Un jour où nous étions, ma dulcinée et moi
En vacances partis chez nos amis bretons
En pleine Brocéliande quel fut pas notre émoi
De tomber sur la plus étrange des conventions…
Dans cet’ grande forêt, sous nos yeux éberlués
Nymphes, gnomes et fées du peuple merveilleux,
Là, tout près du grand lac, tenaient leur assemblée
Qui les rendait tous gais, avenants et joyeux.
Mon ami, cachons-nous me dit ma bien-aimée
Si jamais ils nous voient, je crains un mauvais sort
Et c’est alors ainsi, que tous deux camouflés
Fûmes les seuls témoins d’un spectacle trop fort…
Ils étaient donc tous là prêts à batifoler
Et parmi tous ces êtres, j’avais bien reconnu
Quelques célébrités que je n’imaginais
Nullement attirés par les plaisirs du cul…
Dans un coin Fée Morgane et vieux maître Merlin
Qui malgré corps chenu et grande barbe blanche
S’occupait de la belle, lui pétrissait les seins
Et lui fourrait le con de son valeureux manche.
Dans le ciel on voyait Clochette et Peter Pan
Faisant maintes voltiges,tous les deux beaux et nus
Dans les airs suspendus, la fée pompant le gland
De son petit Peter qui lui broutait le cul…
Et puis un peu plus loin fée Bleue et Pinocchio
S’adonnaient eux-aussi à d’érotiques jeux
Fée Bleue vociférant « vas-y, mens-moi !! Pino »
La figue sur le nez de notre bienheureux
Et partout alentour ce n’était que partouze
Trolls, elfes et satyres s’aimant à satiété
Copulant ça et là par deux par cinq par douze
Dans une folle ambiance d’orgasmes exaltés
Cette vision orgiaque l’ayant émoustillée
Ma douce se pencha et me dit sur ce ton :
« Moi aussi je suis fée, je vais te le prouver »
Et elle me prodigua une divine f(é)ellation !!!!
En vacances partis chez nos amis bretons
En pleine Brocéliande quel fut pas notre émoi
De tomber sur la plus étrange des conventions…
Dans cet’ grande forêt, sous nos yeux éberlués
Nymphes, gnomes et fées du peuple merveilleux,
Là, tout près du grand lac, tenaient leur assemblée
Qui les rendait tous gais, avenants et joyeux.
Mon ami, cachons-nous me dit ma bien-aimée
Si jamais ils nous voient, je crains un mauvais sort
Et c’est alors ainsi, que tous deux camouflés
Fûmes les seuls témoins d’un spectacle trop fort…
Ils étaient donc tous là prêts à batifoler
Et parmi tous ces êtres, j’avais bien reconnu
Quelques célébrités que je n’imaginais
Nullement attirés par les plaisirs du cul…
Dans un coin Fée Morgane et vieux maître Merlin
Qui malgré corps chenu et grande barbe blanche
S’occupait de la belle, lui pétrissait les seins
Et lui fourrait le con de son valeureux manche.
Dans le ciel on voyait Clochette et Peter Pan
Faisant maintes voltiges,tous les deux beaux et nus
Dans les airs suspendus, la fée pompant le gland
De son petit Peter qui lui broutait le cul…
Et puis un peu plus loin fée Bleue et Pinocchio
S’adonnaient eux-aussi à d’érotiques jeux
Fée Bleue vociférant « vas-y, mens-moi !! Pino »
La figue sur le nez de notre bienheureux
Et partout alentour ce n’était que partouze
Trolls, elfes et satyres s’aimant à satiété
Copulant ça et là par deux par cinq par douze
Dans une folle ambiance d’orgasmes exaltés
Cette vision orgiaque l’ayant émoustillée
Ma douce se pencha et me dit sur ce ton :
« Moi aussi je suis fée, je vais te le prouver »
Et elle me prodigua une divine f(é)ellation !!!!