Je soulève le monde pour décrire ses frontières
Elle accueille parfois mes vipères
Je digère mal le sang qu’il coule en moi
Pour cause il me rappelle que je suis vivant
Je saute souvent dans les flaque de l’oubli
Pour goûter aux gouttes de l’ennui
Pour tout dire j’ai presque honte quand j’écris
Dans le ciel j’aime décrire la beauté des nuages
Recourir à mon imagination pour les transformé
En une passion enivrante qui balance dans
mon cœur en quête de bonheur
Elle accueille parfois mes vipères
Je digère mal le sang qu’il coule en moi
Pour cause il me rappelle que je suis vivant
Je saute souvent dans les flaque de l’oubli
Pour goûter aux gouttes de l’ennui
Pour tout dire j’ai presque honte quand j’écris
Dans le ciel j’aime décrire la beauté des nuages
Recourir à mon imagination pour les transformé
En une passion enivrante qui balance dans
mon cœur en quête de bonheur